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Un visiteur
4,0
Publiée le 14 mai 2008
Violent et captivent , Nikita est un films riche en rebondissement qui sort des conventions traditionnel du film d'action . Les acteurs sont excellent , la musique superbement adapté le tout servent un scénario devenu une référence .
J'avoue que j'ai vraiment accroché à ce film, du début à la fin! Fin qui d'ailleurs m'a laissé sur ma faim, si j'puis dire, on se dit "nan ça peut pas finir comme ça!" J'ai eu l'impréssion que c'était la fin qui ne collait pas avec le film, mais après re-visionnage (heu ça s'dit ça? (O.O) ),j'me suis rendu compte que si, c'était une belle fin. Anne Parillaud était très convaincante dans ce rôle de femme écorchée-vive, qui tente de recommencer sa vie, de se reconstruire. Tchéky Karyo dans un rôle de demi-gentil amoureux (?), un comble! (On est plus habitués à le voir dans des rôles de méchants d'ahbitude! =P)
bon scénario, film très dynamique, et le petit côté femme-enfant de Nikita est très sympathique, il donne toute sa profondeur au film, et à la complexité du personnage!
Un film en dessous de Léon, également de Luc Besson, mais qui garde le charme et le style de son successeur. En effet, Nikita, nous plonge à travers "l'esprit" d'une femme, formée pour devenir une "machine à tuer". Cette femme, comme n'importe quelle autre, ne sera pas insensible aux charmes d'autrui. Car elle est avant tout humaine et peut tomber facilement amoureuse. Nikita devra aussi faire face aux pièges tendus par l'organisation qui la forme. Bref, à ne pas louper, ne serait-ce que pour l'interprétation d'Anne Parrillaud ou le l'histoire elle-même.
C'est un classique mais il ne le sera pas pour moi. Pour l'époque c'est justifié, mais de nos jours je trouve que trop de choses manque à ce film. Pour moi tout est survolé, on ne va en profondeur dans rien, et par conséquent, on reste à la fin du film sur notre fin avec l'impression d'avoir vu que le début. Nikita, le lieu ou elle est en début de film, sa vie, ses missions, on voit tout mais rien n'est connu. C'est superficiel. Le rôle de Jean Reno est néanmoins divin. Dommage. Mais ca reste un avis personnel :)
Film surprenant, sympa et à l'ambiance particulière; certes aujourd'hui le temps s'est écoulé, mais le film n'a pas vielli pour autant, l'effet de surprise si, mais ne porte pas prejudice au film. Mention speciale pour Jean Reno, et son role de nettoyeur à mourir de rire. Un des meilleurs Besson.
Visiblement très influencé par la japanime et le polar made in HK, Luc Besson accouchait d'un polar très éfficace et très touchant à défaut d'être crédible, sublimé par la présence d'Anne Parillaud.
Je revois pour la troisième fois ce film. Luc Besson démontre à nouveau tout son talent et son originalité. On déguste cette histoire admirablement jouée (surtout Anne Parillaud, bluffante) comme on lit un roman d'action dont on feuillette les pages à grande vitesse. Certes, il ne faut pas chercher ici le réalisme et la fin n'est pas à la hauteur du reste, mais ça c'est du vrai cinéma !
Nikita est un film à regarder pour voir les origines de Léon, autre film de Luc Besson plus charismatique cette fois. L'ambiance des premiers film du réalisateur français est bien là avec son calme apparent et ses moments de folies sortie de nulle part. D'ailleurs, on retrouve très facilement la patte d'Éric Serra à la musique, pas de doute on est bien dans l'univers de Besson. Le casting est plutôt bon avec une Anne Parillaud qui se donne à fond (parfois trop) un Tcheky Karyo toujours au top et un Jean Hugues Anglade touchant, mais il faut avouer que le film est parfois ennuyeux et manque d'un personnage charismatique comme ce sera le cas quelques années plus tard dans Léon.
Réalisé à une époque où tout ce qu'il touchait se transformait en or, "Nikita" est sans conteste l'un des meilleurs films de Luc Besson. Imaginé alors qu'il écoutait la chanson éponyme d'Elton John, le scénario suit le destin d'une femme toxicomane et paumée, qui va retrouver sa féminité et devenir une véritable machine à tuer. La mise en scène est brillante et nous propose quelques moments d'anthologie, tels que la première mission de Nikita dans le restaurant, celle dans l'ambassade ou le "nettoyage" de Victor. Anne Parillaud y trouve le rôle de sa vie. Cantonnée à jouer les potiches dans les années 80, elle va enfin montrer ses capacités d'actrices dans ce film. Justement récompensée par un césar, elle livre une performance mémorable, faisant ressortir toute la force et la fragilité de son personnage. Le reste du casting est impressionnant. Tchéky Karyo interprète remarquablement Bob, son chaperon amoureux d'elle. Jean-Hugues Anglade retrouve Besson après "Subway" et incarne délicatement Marco, le conjoint protecteur de Nikita. Jean Reno tourne déjà son quatrième film avec Besson et joue l'inoubliable Victor, esquisse du futur Léon. Enfin, Jeanne Moreau apporte toute son élégance à son personnage, qui apprendra à Nikita à redevenir femme. L'excellente et énergique partition d'Eric Serra confirme son talent pour composer des musiques qui collent au plus près aux images (notamment l'incroyable morceau que l'on entend lors de la première mission de Nikita, qui ressemble à des battements de coeur). "Nikita" est un de mes trois films préférés de Luc Besson. Notons qu'il a donné lieu à un remake américain complètement raté, "Nom de code : Nina", et à pas moins de deux séries dérivées déjà plus intéressantes : la canadienne "La Femme Nikita" et l'américaine "Nikita".
Après avoir particulièrement apprécié Léon, j’étais impatient de découvrir Nikita, du même Luc Besson quelques années auparavant. La scène d’introduction vous mets rapidement au diapason de cette histoire relatant la formation puis le quotidien d’une tueuse à gages. Cette dernière est partagée entre son métier et ses sentiments. Le scénario est prometteur, mais après quelques minutes, le charme passe et l’ennui apparaît. Bourré de stéréotypes et de clichés, Nikita est interprétée par une Anne Parillaud complètement hystérique qui donne un peu trop dans la surenchère. Seul Tchéky Karyo s’en sort honorablement, car les personnages secondaires sont pour la plupart mal interprétés, en première ligne Jeanne Moreau. On ne compte pas non plus les incohérences scénaristiques. Quant à la réalisation, elle se voulait inventif, et le résultat n’est pas si mauvais si ce n’est la musique de Serra très année 80 qui a fait très mal vieillir le film. A éviter.