Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
la réussite majeure d'Après, ce qui en fait la richesse et la complexité, tient précisément dans l'articulation dialectique entre des trajectoires individuelles et un destin collectif que le film révèle, selon un mouvement sans cesse approfondi vers une causalité objective que la vérité toute relative de la relation entre filmeur et filmé(e)s vient humaniser.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Gheerbrant part [...] à la découverte de l'autre, celui qui est en eux, celui qui est en nous, exerçant ainsi ce qui demeure sans doute la plus noble et la plus essentielle fonction du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Africultures.com
par La rédaction
Un voyage comme un fil qui se tend, parce que voyager au Rwanda c'est accepter de se faire prendre dans les rets d'une exigence, une seule, celle de comprendre.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Elle
par Elisabeth Quin
"Tellement c'est dur que les gens préfèreraient la mort à la vie..." Cette phrase entêtante prononcée avec unn sourire désolé par Deo résonne tout le long du film. Gheerbrant éveille l'espoir qu'elle puisse un jour être démentie.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Benjamin Bibas
Le film incite à l'estime, surtout, parce que son auteur prend un risque, parce qu'il part avec l'ambition de "comprendre" un pays qui s'est autodétruit, mutilé, un pays hostile de surcroît (...). Et le film fascine également, parce que Gheerbrant finit par être emporté par son propre voyage, parce que la connaissance qui s'offre à lui le porte au-delà de ce qu'il était prêt à accueillir, de ce qu'il se sentait légitimé à apprendre (...).
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Après, en explorant chacun des ruisseaux de haine qui ont donné naissance au crime n'est pas d'une appréhension facile pour qui n'a pas une connaissance préalable de l'histoire du génocide.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
la réussite de Lolita malgré moi tient avant tout à l'implication de l'actrice et scénariste Tina Fey. Le film (...) développe ainsi, au travers des rebondissements attendus, une réflexion assez drôle sur l'individu et la société qui ira droit au coeur des rousseauistes en culottes courtes.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un sentiment de véritables rencontres avec un réel post-traumatique qui se livre simplement (...) et nous donne au passage des clés de compréhension de l'histoire, sans jamais tomber dans le cheminement préfabriqué de beaucoup de documentaires.
Libération
par Christophe AYAD
Comme tant d'autres, Denis Gheerbrant s'est perdu au Rwanda, ce si petit pays qui pose de si grandes questions. Il n'est pas dupe et prévient : "Vivre après, c'est ça : vivre avec une question inépuisable." Mais, comme ceux que le Rwanda et sa tragédie ont aspirés, il se cogne à la lumière noire du génocide tel un insecte affolé.
Première
par Gaël Golhen
Déchirant et pudique, ce film offre la vision d'un pays qui cicatrise tant bien que mal.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Parti seul avec sa caméra au Rwanda, dix ans après le génocide, Denis Gheerbrant livre un film intègre qui tire sa force de sa subjectivité.
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par boris Jeanne
Après n'est surtout pas un film pour comprendre, comme pouvait l'être le très dérangeant S21 : en ce qui concerne le Rwanda, on en est encore à l'étape du voir, de la récollection documentaire. La distance viendra ensuite.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
par François Granon
Tout le film se tient (...) dans un clair-obscur qui le rend tour à tour passionnant et frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Si vous voulez en apprendre plus que ce qui a déjà été dit et écrit sur la tragédie des Hutus et des Tutsis (...), sans doute serez-vous déçus. Non parce que le film manque sa cible, mais parce celle-ci ne se situe pas à cet endroit. Comme son titre le suggère, c'est avant tout l'"après" que veut comprendre Gheerbrant.
aVoir-aLire.com
par Emmanuelle Cocud
De la retenue du cinéaste, de son attention à la vie qui se fait, de son honnêteté qui consiste à ne traduire pour le spectateur que ce qui lui a été traduit, sans chercher à savoir ce qu'on n'a pas voulu lui faire comprendre, découle une sorte de frustration : on a parfois l'impression qu'on ne va pas au bout du sujet.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Malheureusement, et malgré quelques scènes ubuesques où les coupables se jugent entre eux puisqu'ils sont les seuls témoins rescapés, le film semble n'aller nulle part. Il perd ainsi toute sa force à vouloir intellectualiser les images sans jamais afficher réellement sa réflexion.
Positif
par Emmanuel Leclercq
On peut comprendre que les survivants d'un génocide aspirent à la paix, à cette "distance psy chique" sans laquelle leur douleur serait invivable. Mais c'est beaucoup plus difficile à admettre (...) de la part d'un spectateur aussi engagé que l'est, par définition, tout documentariste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Humanité
la réussite majeure d'Après, ce qui en fait la richesse et la complexité, tient précisément dans l'articulation dialectique entre des trajectoires individuelles et un destin collectif que le film révèle, selon un mouvement sans cesse approfondi vers une causalité objective que la vérité toute relative de la relation entre filmeur et filmé(e)s vient humaniser.
L'Obs
Gheerbrant part [...] à la découverte de l'autre, celui qui est en eux, celui qui est en nous, exerçant ainsi ce qui demeure sans doute la plus noble et la plus essentielle fonction du cinéma.
Africultures.com
Un voyage comme un fil qui se tend, parce que voyager au Rwanda c'est accepter de se faire prendre dans les rets d'une exigence, une seule, celle de comprendre.
Elle
"Tellement c'est dur que les gens préfèreraient la mort à la vie..." Cette phrase entêtante prononcée avec unn sourire désolé par Deo résonne tout le long du film. Gheerbrant éveille l'espoir qu'elle puisse un jour être démentie.
Fluctuat.net
Le film incite à l'estime, surtout, parce que son auteur prend un risque, parce qu'il part avec l'ambition de "comprendre" un pays qui s'est autodétruit, mutilé, un pays hostile de surcroît (...). Et le film fascine également, parce que Gheerbrant finit par être emporté par son propre voyage, parce que la connaissance qui s'offre à lui le porte au-delà de ce qu'il était prêt à accueillir, de ce qu'il se sentait légitimé à apprendre (...).
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Après, en explorant chacun des ruisseaux de haine qui ont donné naissance au crime n'est pas d'une appréhension facile pour qui n'a pas une connaissance préalable de l'histoire du génocide.
Les Inrockuptibles
la réussite de Lolita malgré moi tient avant tout à l'implication de l'actrice et scénariste Tina Fey. Le film (...) développe ainsi, au travers des rebondissements attendus, une réflexion assez drôle sur l'individu et la société qui ira droit au coeur des rousseauistes en culottes courtes.
Les Inrockuptibles
Un sentiment de véritables rencontres avec un réel post-traumatique qui se livre simplement (...) et nous donne au passage des clés de compréhension de l'histoire, sans jamais tomber dans le cheminement préfabriqué de beaucoup de documentaires.
Libération
Comme tant d'autres, Denis Gheerbrant s'est perdu au Rwanda, ce si petit pays qui pose de si grandes questions. Il n'est pas dupe et prévient : "Vivre après, c'est ça : vivre avec une question inépuisable." Mais, comme ceux que le Rwanda et sa tragédie ont aspirés, il se cogne à la lumière noire du génocide tel un insecte affolé.
Première
Déchirant et pudique, ce film offre la vision d'un pays qui cicatrise tant bien que mal.
TéléCinéObs
Parti seul avec sa caméra au Rwanda, dix ans après le génocide, Denis Gheerbrant livre un film intègre qui tire sa force de sa subjectivité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Après n'est surtout pas un film pour comprendre, comme pouvait l'être le très dérangeant S21 : en ce qui concerne le Rwanda, on en est encore à l'étape du voir, de la récollection documentaire. La distance viendra ensuite.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
Tout le film se tient (...) dans un clair-obscur qui le rend tour à tour passionnant et frustrant.
Zurban
Si vous voulez en apprendre plus que ce qui a déjà été dit et écrit sur la tragédie des Hutus et des Tutsis (...), sans doute serez-vous déçus. Non parce que le film manque sa cible, mais parce celle-ci ne se situe pas à cet endroit. Comme son titre le suggère, c'est avant tout l'"après" que veut comprendre Gheerbrant.
aVoir-aLire.com
De la retenue du cinéaste, de son attention à la vie qui se fait, de son honnêteté qui consiste à ne traduire pour le spectateur que ce qui lui a été traduit, sans chercher à savoir ce qu'on n'a pas voulu lui faire comprendre, découle une sorte de frustration : on a parfois l'impression qu'on ne va pas au bout du sujet.
MCinéma.com
Malheureusement, et malgré quelques scènes ubuesques où les coupables se jugent entre eux puisqu'ils sont les seuls témoins rescapés, le film semble n'aller nulle part. Il perd ainsi toute sa force à vouloir intellectualiser les images sans jamais afficher réellement sa réflexion.
Positif
On peut comprendre que les survivants d'un génocide aspirent à la paix, à cette "distance psy chique" sans laquelle leur douleur serait invivable. Mais c'est beaucoup plus difficile à admettre (...) de la part d'un spectateur aussi engagé que l'est, par définition, tout documentariste.