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inspecteur morvandieu
36 abonnés
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3,0
Publiée le 9 octobre 2024
Ferdinand le vertueux travaille pour l'industriel Fourageot (Alerme), noceur et homme à femmes. Quelques péripéties et quiproquos faciles plus loin, associés à la rumeur et à l'imagination romanesque de quelques dames de province, et voilà le chaste Ferdinand qui passe pour un séducteur irrésistible. Toute la comédie repose sur cette méprise dont se trouve victime le personnage de Fernandel, lequel fait une composition de candide plutôt estimable comparée à certaines de ses prestations dans des nanars des années 30. Le film est un vaudeville élémentaire où les femmes sont volontiers polissonnes et où on trouve du beau monde autour de Fernandel: outre Alerme, les puritains colonel Félix Oudard et Madame la colonel, Pauline Carton, la pharmacienne concupiscente Jane Marken, sans oublier la jeune fille pas très fleur bleue Paulette Dubost.... Tous font de jolis numéros d'acteurs qui donne de la valeur ajoutée à la comédie. C'est plutôt amusant, à défaut d'être subtil ou imaginatif. La mise en scène, de l'inconnu René Sti, est, comme attendu, rudimentaire et impersonnelle.
Voilà une gentille comédie comme on en faisait beaucoup dans les années 30 : une histoire de couple qui se fait...ou pas. Il aurait pu s'évanouir au milieu de tous les autres films et ne pas émerger du lot, mais voilà, il y a comme un écueil. Il s'appelle Fernandel! Et il il en fait de l'effet, du mouvement et autre facéties ce Fernandel. Aidés par d'autre acteur, pas en reste, ce film est avant tout un exercice d'acteur, qui jouent parfaitement et qui sont bien menés. Un bon divertissement. A voir par les amateurs de comédie vieillotte, mais pas trop, et les fans de Fernandel, bien entendu.
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12 423 critiques
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2,5
Publiée le 8 mars 2017
Pas facile de trouver un honnête garçon de bonne famille, beau, intelligent et distinguè! En somme, le gendre parfait, pur, sincère...et fidèle! D'après la pièce de Lèon Gandillot, l'un des grands spècialistes du vaudeville à la française! Près de quarante ans après, Renè Sti dècide de l'adapter en film, avec Fernandel, dans le rôle principal, monsieur vertu alias Ferdinand Piat dit « le noceur » . Ajoutez y des situations gentiment amusantes et une bonne distribution pour l'èpoque avec les meilleurs des annèes 30 tels que Alerme (« Vous allez rèpandre dans la famille une austèritè et un ennui tout à fait règènèrateur ! ») , Carette, Jeanne Marken, Pauline Carton (« J'ai une brebis galeuse dans mon troupeau ! ») et la jeune Paulette Dubost! Ce "Ferdinand le noceur" n'ajoutera rien à la gloire de Fernandel avec des choses qui lui lèvent le coeur, mais une chose est sûre, c'est que les inconditionnels de l'acteur y trouveront leur compte! Voilà où mène le vice et ou conduit la vertu! « Octave, encore une »...
Zzzzzzzz…Hein quoi ? Ha, pardon, je me suis assoupi! Blague à part, ce film est d’un ennui mais alors d’un ennui atroce. Il ne se passe strictement rien! L’histoire forcément invraisemblable et les dialogues ne décollent jamais. Point de répliques marrantes et les gags sont quasi inexistants ou du moins pas drôles. Fernandel fait du Fernandel mais c’est pas de la haute voltige. Seul, l’intonation de voix d’André Alerme m’a parfois fait sourire mais ça s’arrête là. Bref, un véritable assommoir.