Avis sur Furtif

Chaque seconde grinçante de ce film était comme une nouvelle torsion du trident ardent de Lucifer sur mon visage. Des heures après que ce ne soit plus qu'un lointain souvenir sur mon écran de télévision les images étaient encore gravées dans mes rétines. Furtif qui dépasse facilement Fast and The Furious dans sa quête inébranlable du film le plus stupide de tous les temps a été réalisé par Rob Cohen qui l'a fait manifestement pour agresser tous les sens du public. Et oui je veux dire tous mes sens ce film avait l'air, le son, la sensation, l'odeur et même le goût de sandwich vieux d'une semaine. C'est Short Circuit qui rencontre Top Gun dans un film et une histoire improbable...

L'un des favoris de Cash Express! Un DVD que vous trouverez dans les rayons du magasin pour la modique somme de 50 centimes d'euro! Un luxe car le budget de ce film qui brille par sa mèdiocritè est tout autre! Un budget de 135 000 000 $ pour un film d'action sans temps mort mais aussi vide qu'une coquille! Cela se laisse voir, quelques passages s'avèrant même assez efficaces avec des scènes de destructions impressionnantes! Et comme le père Rob Cohen est un tâcheron sans la moindre personnalitè ("Fast and Furious", "xXx"...), le spectateur devra se coltiner deux bonnes heures de vitesses supersoniques, de missions de bombardements ou d'explosions à gogo sans scènario! De surcroit, comme la plupart des films de Josh Lucas "Furtif" offre en prime le sourire arrogant de ce bel acteur hollywoodien! La gente masculine se concentrera plus sur la plastique de Jessica Biel (en pilote lol) qu'autre chose! Regardable, à dèfaut d'être indispensable! Passons sur les dialogues à deux balles et sur les scènes idylliques et grotesques d'une Thaïlande de carte postale pour se concentrer uniquement sur les effets spèciaux et surtout sur cet avion de combat sans pilote humain! Y a pas à dire, ils sont forts les ricains...

Rob Cohen nous réalise l’un des blockbusters de l’été 2005, et le résultat est plutôt très décevant. Tant du côté du scénario, que par le jeu des acteurs.
Les 3 meilleurs pilotes d’avion de combat doivent intégrer un 4ème équipier, il s’agit de EDI, un avion de combat furtif à intelligence artificielle sans pilote humain. Après quelques réticences, ils l’acceptent au sain de leur équipe. Tout se passe bien jusqu’au moment où au retour d’une mission, EDI va être touché par la foudre, et à partir de ce moment là, tout va changer.
Il ne va plus répondre aux ordres que l’on va lui donner, et menace de créer une guerre nucléaire.
Un scénario futuriste, assez léger, et certainement pas assez développé, des acteurs statiques, et inexpressifs, malgré les présences de Josh Lucas, Jamie Foxx & Sam Shepard, sans compter la présence, presque inutile de Jessica Biel.
Seul point positif de ce film à gros budget, les effets spéciaux, qui, il faut l’avouer, malgré son maigre scénario, vous transportent à mach 4 durant deux heures, avec des effets visuelles réellement splendides !

Moqué par beaucoup notamment pour son aspect assez prétentieux, « Furtif » n'est finalement pas la daube auquel je m'attendais irrémédiablement. Cela est-il suffisant pour le trouver fréquentable? Bien entendu non. Car si je dois avouer avoir été curieusement séduit par un début semblant vouloir marcher (en mode mineur, est-il utile de le préciser) sur les pas de « 2001 : l'Odyssée de l'espace », le spectacle tourne finalement assez court. Oh non pas que cela soit vraiment mal fait (les scènes d'actions sont d'ailleurs plutôt correctes), mais que c'est lourd... Rob Cohen ne met en effet pas vraiment les moufles et nous offre en définitive un divertissement des plus calibrés, sans grande imagination et sous-exploitant terriblement un potentiel qui semblait réel. Et que dire des acteurs, se contentant ni plus ni moins d'être beaux sans jamais donner l'impression de se préoccuper un instant de leur jeu affreusement stéréotypé... C'est pourtant sans aucune animosité à l'égard du film que j'ai vu apparaître le générique de fin, peut-être grâce à ce savoir-faire Hollywoodien que l'on connaît maintenant depuis pas mal d'années, mais reste que ce « Furtif » demeure une oeuvre bien mineure de ce passionnant genre qu'est la science-fiction. Passable.

Un bon film assez classique mais qui reste très efficace et très bien fait surtout les scènes en numériques vraiment réussi.

Le concept aurait pu donner quelque chose, mais le résultat est catastrophique. Nous avons droit à un tissus de situations qui non seulement sont absurdes, mais sont mal explicitées. Si l'on excepte le passage nord-coréen dans lequel Jessica Biel se prend pour Superwoman, la quasi-totalité du film se passe dans les airs, au début c'est joli mais à force ça devient carrément gavant. Au titre des inepties on apprend que l'on peut envoyer valser un building entier sans faire aucune victime collatérale ! (WTF) Ça se regarde jusqu'au bout mais c'est très mauvais mais je ferais partie de ceux qui ajoutent un petit point pour le bikini de Jessica Biel et son sourire enjôleur.

Le réalisateur Rob Cohen tient une filmographie peut reluisante. Et Furtif ne laisse rien de bon, il ne faut pas compter sur un petit scénario sympa, ni au niveau du casting qui demeure invisible. Alors, on peut se dire mais peut-être que l'ensemble est divertissant !? Que dalle, tout est lourdeau.

Un film d'action bien bourrin et belliciste,qui représente tout la partie que l'on déteste dans les blockbusters hollywoodiens estivaux:Propagande en faveur de l'armée américaine,dénigrement de l'ennemi quel qu'il soit,apologie des soldats et de leur coolitude,effets spéciaux plus grossiers que grandioses,psychologie de cafard...Rob Cohen atteint des sommets de destruction,avec cet avion doté d'une intelligence artificielle qui échappe à tout contrôle,sauf lorsqu'il s'agit de détruire ensemble les Nord-Corréens.Beurk et re-beurk!Jessica biel et Jamie Foxx se sont égarés sans excuse dans ce "Furtif"(2005)décérébré.

Il y a de bons acteurs mais l'histoire laisse à désirer et les nombreux effets spéciaux ne sont pas concluants. Aucun personnage attachants et beaucoup d’orgueil inutile, spoiler: voire suicidaire.

Voilà un film d’action à la critique plutôt pas terrible, et pour cause, c’est vraiment le blockbuster lisse et policé aux grosses scènes d’action mais dépourvu d’âme.
Coté casting déjà on ne peut pas dire que ce soit enthousiasmant. Malgré un passage qui essaye de créer un peu de substance, les personnages demeurent tous très creux, et de fait fort peu passionnant. C’est assez terrible d’ailleurs car il y avait du potentiel avec un trio de tête sur le papier plutôt honorable, et qui se débrouille correctement dans les faits, même si Josh Lucas n’est pas un actioner-héros des plus charismatiques. Malgré quelques seconds rôles sympathiques, dont un Sam Shepard qui tire son épingle du jeu, malheureusement il est difficile de trouver là de quoi se sustenter.
Le scénario repose sur une idée correcte, avec un avion drone qui se trouve au cœur du film. Le souci c’est que l’histoire telle qu’elle se déroule est prévisible, sans surprise, riche en invraisemblances parfois vraiment marquantes, et qu’elle mise tellement sur l’action, omniprésente, qu’elle en oublie tout le reste ! Ca canarde, ca défouraille, mais il manque une colonne vertébrale à ce film pour le porter et lui donner de la consistance. Furtif apparait donc au final terne, et seuls les fans purs et durs d’action pourront vraiment trouver leur compte ici.
Visuellement Furtif est pas mal. Cohen livre une mise en scène un peu répétitive, et qui tend parfois à en surajouter dans les effets tapageurs. Malgré tout son efficacité dans les scènes d’action est bien là, il y a des effets pyrotechniques décoiffant, et il a un sens du rythme qui fait mouche. Les décors sont bons, même si le film se passe surtout dans le ciel finalement, et la photographie n’est pas trop artificielle, ce qui est toujours à craindre dans des superproductions de ce type. Les effets spéciaux en revanche sont inégaux. Furtif ne fait pas tellement mieux qu’un Firefox par exemple pour comparer avec un autre métrage, en s’appuyant beaucoup trop sur le numérique. Il y a des choses qui apparaissent tout de même assez artificiel, malgré un ensemble qualitatif de bonne tenue, et je persiste, les blockbusters devraient toujours privilégiés le recours à du concret, à des choses matériels, car malgré toute leurs précisions et leurs crédibilité, il est rare que des effets spéciaux numériques est le réalisme et un rendu aussi palpable, aussi physique que du vrai. Enfin la bande son est passable, dans le ton du film nerveuse et assez martial avec de l’épique bien entendu. Cela s’apparente plus à une musique de fond, Furtif ne dégageant pas un thème marquant.
En clair voilà un métrage assez faible il faut le dire, qui certes est explosif, rien à dire de ce point de vue, mais n’a pas de consistance. D’ailleurs le début est d’un point de vue narratif très laborieux. L’histoire peine à prendre, les acteurs doivent endosser des personnages flasques, et le spectacle apparait assez vain qui peine de surcroit à être vraiment fun. Furtif reste en effet trop sérieux, et Cohen n’a pas ici l’efficacité ludique d’un Bay par exemple. Je lui donne 2 pour ses qualités visuelles surtout.

Après avoir ancré dans le 21ème siècle le tuning avec Fast And Furious, les espions avec XXX et les motos dans Torque, Rob Cohen s'attaque désormais aux avions de chasses.
Le scénario est assez banal dans un genre qui cumule autant les navets que les ovnis mais Furtif a le mérite de nous en mettre plein la vue (un peu trop parfois même).
Le divertissement est au rendez-vous avec des scènes spectaculaires qui scotcheront les spectateurs venus s'injecter leur dose d'adrénaline.
Le casting tient ses promesses avec Jessica Biel et Josh Lucas, devenus en quelques années des inconditionnels du genre.
Jamie Foxx est quant à lui décevant avec un jeu d'acteur mou et une implication distante, presque absente.
Quoiqu'il en soit, Furtif est une traque infernale qui est, dans les limites d'un genre assez frivole, une agréable surprise.
En conclusion, Rob Cohen, sans être un cinéaste majeur, s'épanouit dans le cinéma de genre et réussit une série B divertissante et efficace.

Réalisateur à l’œuvre peu recommandable, Rob Cohen signe cette fois un mélange improbable de "Top Gun" et "2001". Ainsi, trois pilotes d'élites doivent collaborer avec un avion doté d'une intelligence artificielle, qui va évidemment dérailler. S'en suivent des péripéties assez grotesques, peu crédibles, et pourtant souvent prévisibles. La forme n'aide pas, avec en premier lieu des acteurs incarnant de manière profondément antipathique des personnages ultra caricaturaux (le charmeur crâneur tête brulée, le black comique de service, la femme raisonnée). Par ailleurs, la réalisation est prétentieuse et très lourde, enchaînant des effets clipesques et des déluges de CGI à en vomir. "Stealth" est donc un beau navet, qui n'a pas volé son cuisant échec au box office à sa sortie.

Après des débuts pas très glorieux, Rob Cohen s'est lancé efficacement dans le blockbuster bourrin avec des effets spéciaux, des muscles et du budget à ne pas savoir quoi en faire. On lui doit notamment Cœur de Dragon, Fast and Furious et xXx mais aussi quelques merdes qu'on a déjà oubliées. Bref, Rob Cohen c'est le Michael Bay du pauvre, le Renny Harlin du riche, le yes-man qui s'embarque dans des productions onéreuses mais qui n'ont dans la coquille que des scripts de gosses. Pour son onzième film, il s'embarque dans une histoire d'avion de chasse intelligent qui va se retourner contre ses créateurs. Du lourd quoi... Et ce qui aurait pu être un simple divertissement efficace comme on en voyait dans les 80's ne va demeurer au final qu'un produit raté qui s'éloigne considérablement de son sujet initial. Car si vous espériez avoir une lutte sans merci entre trois pilotes de l'extrême et un avion futuriste, vous serez fortement déçus, Furtif ne conservant cette idée que pendant un petit quart d'heure. Le reste du film n'est qu'une longue présentation d'une heure, mal fichue et peu entrainante, où nos héros s'envoie plus des joutes verbales d'adolescents qu'un véritable affrontement aérien contre l'avion. La suite change de registre avec les classiques gentils patrons qui sont en fait des méchants, le héros beau gosse qui va tirer tout le monde de la mouise et la bombe anatomique qu'il faut secourir. Passée à la trappe en un clin d'œil, l'idée toute aussi classique de l'intelligence artificielle qui échappe à ses concepteurs s'efface peu à peu pour laisser place à un vulgaire film d'action aux dialogues débiles, aux effets spéciaux approximatifs d'une rare laideur et au scénario manichéen. Même le trio d'acteurs n'arrive jamais à provoquer un soupçon d'émotion ou une quelconque alchimie, Jamie Foxx devenant le black rigolo de l'équipe tandis que l'énervant Josh Lucas incarne le pilote au sourire Colgate et Jessica Biel la femme forte aux gros nibards (Michelle Rodriguez devait sûrement être occupée ailleurs). Bref, ennuyeux et surtout jamais excitant, Furtif ne rentrera pas dans les mémoires et ne sera tout au plus que deux heures de perdues dans la vie d'un cinéphile.

R. Cohen n'est certes pas le plus grand réalisateur de tous les temps mais son envie d'offrir des scènes d'action spectaculaires trouve ici son aboutissement. Bon, le scénario est absolument crétin et fait figure de dépliant de propagande pour la Navy, nos héros font du tourisme dans des dépliants Club Med et on se fout de ce qui leur arriver vu qu'ils n'ont aucune profondeur, la palme revenant au héros, joué le fadasse J. Lucas, tête brûlée insupportable. Par contre, Cohen nous offre des séquences aériennes bluffantes, blindées de money shots ahurissants et certains plans restent incrustés dans la rétine par leur démesure. Si l'ennui ne vient pas grâce à un rythme infernal assez épuisant, les péripéties du héros et du pilote informatique nous laissent pantois, tandis que les rebondissement sont prévisibles au possible. Bourrin et stupide, furieux et vain, spectaculaire et sans âme, un blockbuster qui a amorcé le déclin hollywoodien qui souffre d'un manque d'innovation. D'autres critiques sur

Avec des films comme "Fast and furious" ou "xXx", Rob Cohen s’était fait un nom dans le blockbuster des années 2000. Et "Furtif", avec son scénario neuneu et son orgie d’effets spéciaux plus ou moins réussis, est de la même trempe. C’est très bête mais ça fait passer le temps.