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Votre avis sur Embrasse-moi vampire ?
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Roub E.
Un film qui navigue entre les genres. À la fois comédie horrifique et dérive psychologique d un personnage, il offre quelques passages franchement intéressants mais aussi des scènes qui tombent dans le ridicule. À l image de l interprétation de Nicolas Cage tantôt inquiétant, tantôt amusant, tantôt consternant car pris dans un de ses grands numéros de cabotinage. La toile de fond du New York huppé de la fin des années 80 est intéressant à découvrir, un univers où effectivement j ai facilité à imaginer voir des vampires évoluer. Ce baiser du vampire à la fois sexy, déstabilisant connaît par moment de gros ratés mais c est aussi une belle curiosité.
Côtè sang nouveau, les Ricains ne sont jamais à court d'idèes puisque Nicolas Cage devient une sorte de Dracula des temps modernes en 1988 dans le mèconnu "Vampire's Kiss" de Robert Bierman! Les films fantastiques à l'humour noir sont un genre assez dèlicat à manoeuvrer et les succès au box-office sont peu courants. Cet « Embrasse moi vampire » est donc une petite surprise, le mythe du vampire ètant transposè une fois encore dans l'Amèrique de nos jours, ce qui permet la crèation de situations grinçantes grâce à la prestation dètonante de Cage qui n'hèsite pas à manger un cafard ou un pigeon! On frise le ridicule sans pourtant jamais y tomber! Tout l'humour du film repose en effet sur l'ambiguïtè de l'acteur dont on ne sait jamais vraiment où est ce que ça va nous mener! C'est drôle jusqu'au moment où cette comèdie fantastique nous entraîne dans sa paranoïa et sa folie! Maria Conchita Alonso est une bien charmante secrètaire èclipsant au passage une certaine Jennifer Beals! Ce qui n'est pourtant pas si facile...
Etonnement, "Embrasse-moi vampire" est loin de faire l'unanimité. Et pourtant, ce long métrage possèdent de nombreuses qualités, à commencer par une magnifique prestation de notre Nicolas Cage préféré. On suit la descente aux enfers progressive d'un homme en passant par certaines scènes du drôlerie ultime (j'ai parfois dû mettre pause tellement je n'en pouvais plus de rire) et d'autres par contre, qui font froid dans le dos… En tout cas, il ne laisse pas indifférent. Je recommande.
idée a potentiel complètement raté !! l'idée d'un gars bureaucrate qui se remet en question après être tombé amoureux d'une vampiresse et passe des entretient avec une psychologue est une idée plus qu'excellente SAUF que dans les fait c'est raté. une partie du film tourne en film érotique a plusieurs moment le film est soi en anglais soi en français ça switch de façon aléatoire dans la même scène entre la Vf et la vo sans aucune raison. plus le film avance plus ça devient étrange au départ il engueule sa secrétaire pour un rien deux scènes plus tard il hurle a mort dans son bureau et fait n'importe quoi, il se met a courser sa secrétaire qui a peur a cause de son comportement, ont dirait qu'il est constamment sous substances illicites. il a constamment un comportement de malade mentale tout droit échappé d'un asile.
« Embrasse-moi, vampire » une comédie réalisée par Robert Bierman, sortie en 1989 avec Nicolas Cage qui surprend pour l'un de ses premiers rôles. Ce film, assez étrange, oscille entre thriller psychologique et mystification délirante. Nicolas cage joue de façon survoltée et s’arroge des facéties capillaires à mourir de rire. Difficilement classable, le tout interpelle, inquiète et dérange, fait sourire et hypnotise à certains égards sans dépasser pour autant le stade du divertissement.
"Embrasse-moi, vampire" ou "Vampire's Kiss", une comédie réalisée par Robert Bierman, sortie en 1989 avec Nicolas Cage.
Un film de vampire, mais surtout un thriller psychologique, un film entre comédie et crise de paranoïa inquiétante.
Un Nicolas cage survolté, parfois fatiguant, un film intéressant, difficilement classable, mais qui prend le risque de de ne pas conserver le spectateur jusqu'au bout du délire. A voir pour essayer.
Un film de vampire, mais surtout un thriller psychologique, un film entre comédie et crise de paranoïa inquiétante.
Un Nicolas cage survolté, parfois fatiguant, un film intéressant, difficilement classable, mais qui prend le risque de de ne pas conserver le spectateur jusqu'au bout du délire. A voir pour essayer.
Vampire's kiss est pour moi une claque dans la gueule, en effet si beaucoup de cinéphiles y voit un "nanar un peut demeuré" pour certains, et un "navet parfaitement insensé" pour les moins jouasses... il n'en est rien pour moi, je le définirait comme un horrificomique satirique et bourrés de situations absurdes, a regardé en VOST de préférence bien que la VF soit assez convaincante aussi malgré que le doublage de Dominique Collignon-Maurin, doubleur pour la casi majorité des rôles de Nicolas Cage, aurait été plus judicieux... alors oui ! Nicolas Cage en fait des tonnes. Non ça ne décrédibilise en rien le film, les crises de folies furieuse, loufoque et extravagantes de son personnage de golden boy complétement maboul et psychotique m'ont fait hurler de rire a de nombreuses occasion, le montage semble quelque peut désordonné et le scénario n'a rien de particulièrement original puisque le thème nous fait foncièrement rappeler
"Martin" de Georges Romero.... mais la combinaison d'humour barré/insolite et de noirceur nihiliste marche a la perfection et l’interprétation de Nicolas Cage ne laissera personne indifférant : complétement frappé, hystérique et a la fois pitoyable, enfin breff, du freak-out a la Nicolas Cage comme on les aimais tant, en veut tu en voila ! Je me ferait par la même occasion un plaisir de troller les détracteurs de cet excellent acteur en affirmant que c'est l'un des comédiens les plus acharnés vis a vis de son travaille qu'on est pu observer au cinéma, même dans ses DTV fauchées dont il est a l'affiche, ce brave Nico parviens a montré qu'il ne sait pas seulement changé de coupes de cheveux a chaque films, mais qu'il sait aussi montrer qu'il est un grand acteur, parfois un peut cintré, parfois un peut risible, mais étonnamment toujours plaisant. pour ceux qui pensent qu'il a définitivement touché le fond je recommande "Joe" de David Gordon Green, houla merde, je m'égare ! Bon quoi qu'il en soit, Embrasse moi vampire aka Vampire's Kiss est une comedie horrifique plus que plaisante et je le recommande vivement.
"Martin" de Georges Romero.... mais la combinaison d'humour barré/insolite et de noirceur nihiliste marche a la perfection et l’interprétation de Nicolas Cage ne laissera personne indifférant : complétement frappé, hystérique et a la fois pitoyable, enfin breff, du freak-out a la Nicolas Cage comme on les aimais tant, en veut tu en voila ! Je me ferait par la même occasion un plaisir de troller les détracteurs de cet excellent acteur en affirmant que c'est l'un des comédiens les plus acharnés vis a vis de son travaille qu'on est pu observer au cinéma, même dans ses DTV fauchées dont il est a l'affiche, ce brave Nico parviens a montré qu'il ne sait pas seulement changé de coupes de cheveux a chaque films, mais qu'il sait aussi montrer qu'il est un grand acteur, parfois un peut cintré, parfois un peut risible, mais étonnamment toujours plaisant. pour ceux qui pensent qu'il a définitivement touché le fond je recommande "Joe" de David Gordon Green, houla merde, je m'égare ! Bon quoi qu'il en soit, Embrasse moi vampire aka Vampire's Kiss est une comedie horrifique plus que plaisante et je le recommande vivement.
Dans un mode revendiquant le burlesque le plus total2C2C un malheureux cadre cC3C3A9A9libataire2C2C sC3C3A9A9rieusement abimC3C3A9A9 par une sociC3C3A9A9tC3C3A9A9 socioprofessionnelle new2D2Dyorkaise insensC3C3A9A9e2C2C et achevC3C3A9A9 par ses trop nombreuses soirC3C3A9A9es dE2E280809999ivresse de tombeur transitoire2C2C se met dans la tC3C3AAAAte quE2E280809999il est lE2E280809999amant aliC3C3A9A9nC3C3A9A9 dE2E280809999une vampire et quE2E280809999il en est lui2D2DmC3C3AAAAme devenu un.0A0AA la fois ridicule2C2C pathC3C3A9A9tique et pitoyable2C2C odieux et dangereux2C2C il sE2E280809999acharne C3C3A0A0 appliquer ce postulat dans son domicile2C2C auprC3C3A8A8s dE2E280809999une copine2C2C de son bureau2C2C sa secrC3C3A9A9taire2C2C sa psychanalyste2C2C et ses sorties nocturnes2C2C face C3C3A0A0 un monde qui2C2C sain comme malsain2C2C lui retournera sa sordiditC3C3A9A9 risible en peine face2C2C y compris en rC3C3A9A9ponse C3C3A0A0 ses crimes tragi2D2Dcomiques que lE2E280809999on pressent prometteurs dE2E280809999un prix C3C3A0A0 payer.0A0AOn ne sait pas sE2E280809999il faut prendre ce film de 1988 par la pente du ridicule2C2C du dC3C3A9A9jantC3C3A9A92C2C du drame psychologique2C2C de la clownerie ou de lE2E280809999outrance. CE2E280809999C3C3A9A9tait sympa de revoir Nicolas Cage C3C3A0A0 24 ans2C2C dans une comC3C3A9A9die volontairement aberrante dont le sujet et la progression schizophrC3C3A9A9nique dE2E280809999un hC3C3A9A9ros qui en fait des tonnes sont parvenus C3C3A0A0 mE2E280809999attacher alors quE2E280809999habituellement ce style de confusion volontaire et dE2E280809999excC3C3A8A8s burlesque mE2E280809999ennuient trC3C3A8A8s vite. Il mE2E280809999en reste un sentiment mitigC3C3A9A9 qui a envie de dire que ce nE2E280809999C3C3A9A9tait pas si mal pour un film qui ne mE2E280809999a pas tellement plu.
Voyage au fond de la folie de Nicolas Cage. L'acteur nous livre un one man show parfois pathétique, parfois grotesque rarement comique (si ce n'est à son insu).
Nicolas Cage surjoue à n'en plus finir et devient agaçant à force de scènes d'hystéries et de gros yeux.
Le scénario est pourtant intéressant, mais la pilule ne passe pas
Nicolas Cage surjoue à n'en plus finir et devient agaçant à force de scènes d'hystéries et de gros yeux.
Le scénario est pourtant intéressant, mais la pilule ne passe pas
Ce film qui nous raconte la plongée dans la folie d'un type persuadé d'être devenu un vampire possède d'énormes qualités. Nicolas Cage tient très bien le rôle, la direction d'acteur est très efficace y compris pour les seconds rôles (la psy est extraordinaire) et les figurants. Les mouvements de caméra et le cadrage montre qu'on a affaire à un vrai pro. Certaines scènes paraissent d'une justesse étonnante, notamment
spoiler:
les humiliations incessantes de la secrétaire mais aussi la scène de meurtre dans la boite de nuit
. Le film est hélas entaché par un montage peu sérieux : les images de la scène d'amour avec Jennifer Beals sont utilisés deux fois, et les deux fois on peut voir comme un nez au milieu de visage un patch qui lui recouvre les tétons ! D'autre part la fin manque terriblement de panache !
. Le film est hélas entaché par un montage peu sérieux : les images de la scène d'amour avec Jennifer Beals sont utilisés deux fois, et les deux fois on peut voir comme un nez au milieu de visage un patch qui lui recouvre les tétons ! D'autre part la fin manque terriblement de panache !
Alors en pleine ascension depuis sa mémorable prestation dans Birdy, Nicolas Cage alterne les comédies dans les années 80, démontrant peu à peu un talent pour l'exagération et les exubérances. Ainsi atterrit-il en 1989 dans une comédie fantastique où il incarne un agent littéraire déjanté et tyrannique qui, après s'être fait mordre par une jeune femme, va peu à peu sombrer dans la folie en croyant devenir un vampire. Et si le pitch est original, son traitement s'avère en revanche terriblement décevant... Outre le cabotinage aujourd'hui culte de Nicolas Cage, c'est face à une histoire incompréhensible, des gags inexistants et une absence totale de malice qui rend le long-métrage repoussant. Avec sa mise en scène académique et ses ellipses narratives grotesques, Embrasse-moi vampire n'arrive jamais à être distrayant : le côté comédie délurée n'est assuré que par les élans incontrôlables d'un Nic Cage survolté tandis que le côté fantastique/paranoïaque n'est jamais exploité, le reste de l'intrigue consistant à montrer les brimades de plus en plus lourdes de notre héros face à une timide employée (María Conchita Alonso, paumée de chez paumée). De plus, on ne sait jamais vraiment si l'on a affaire à une comédie noire ou à un drame urbain, le ton étant à chaque fois ébranlé par des séquences s'enchaînant n'importe comment. Quant à la présence de la "vampire", interprétée par la plantureuse Jennifer Beals, on ne saura jamais son identité ni ses motivations, le film préférant rester sur un doute paranoïaque maladroit. Ainsi, Embrasse-moi vampire est sans hésiter l'un des pires films de Nicolas Cage, le long-métrage étant plus connu pour les grimaces de l'acteur et les memes qui en découlèrent sur Internet que pour sa qualité. Dispensable voire carrément évitable.
Nicolas Cage n'était pas encore au sommet de sa carrière qu'il livrait déjà dans ce film une prestation complètement hallucinée. Dans le rôle de Peter Loew, agent littéraire mordu par une vampire et qui est persuadé qu'il en devient un lui-même, l'acteur nous offre de grands moments. Il faut dire que le film repose énormément sur ses épaules car même si le scénario est truffé de bonnes idées, il manque clairement de rythme et la mise en scène n'a rien de particulièrement affolant. Mais Cage crève totalement l'écran dans la peau de cet homme qui perd peu à peu ses repères et qui en vient à se persuader d'être un vampire. Ses dérives, ses pétages de plomb, ses moments de pur délire : tout est un régal et il se montre parfaitement capable d'assumer le tout jusqu'au bout, se révélant aussi effrayant que pathétique. Grâce à lui, ce qui était un bon rôle sur le papier se transforme en un morceau d'anthologie dont la dernière demi-heure est un pur régal.
Yannickcinéphile
Embrasse moi vampire est ma foi un film sympathique, qui réussit plutôt bien en se risquant pourtant à ne pas prendre une ligne directrice quant au ton à employer, et c’était vraiment dangereux.
Les acteurs forment un des réels attraits du film. Cage démarre plutôt bien, ensuite par contre c’est vrai qu’il a des passages surjoués un peu gênant. Sa prestation fluctue vraiment entre du très bon (parfois il montre avec brio la déchéance de son personnage et a des moments drôles), et du très moyen (il est parfois à la limite de la caricature grotesque). Malgré tout il sauve globalement les meubles, et le film peu compter sur d’excellents seconds rôles, essentiellement féminins d’ailleurs. Si le film repose certes beaucoup sur Cage, Maria Conchita Alonso, Jennifer Beals et Elizabeth Ashley ont une place importante elles aussi, et elles se débrouillent très bien. Elles ajoutent du piquant, du charme, de l’humour, et les différentes confrontations entre Cage et ces trois femmes sont les meilleurs morceaux du film.
Le scénario est globalement sympathique, avec une bonne première partie, une dernière partie plus sombre et solide, et un milieu relativement moins bon, car plus lent, et moins surprenant. Les scènes les plus marquantes se tiennent vraiment dans la première et la dernière demi-heure. Embrasse moi vampire n’est pas une franche comédie, et certains passages sont même franchement sombres. Le film maitrise vraiment bien cette variation de ton, en reprenant les codes du vampire (sensualité, perversité, violence, crainte du soleil…) et en les utilisant ensuite à des fins variées, en entretenant constamment le suspens entre fantastique et délire mental. L’ensemble aurait pu virer au n’importe quoi, mais là j’ai été bien surpris, avec une sorte de gravité qui baigne l’ensemble du métrage.
Coté réalisation la mise en scène n’a rien de très mémorable, et je crois même que l’on a droit à la même séquence sexy entre Cage et Beals deux fois. Le réalisateur ne fait donc pas de folie, et s’avère même parfois un poil plan-plan dans des scènes qui aurait pu être nettement plus costaud, mais bon, c’est relativement acceptable pour une petite série B de ce genre. La photographie est pour sa part assez lumineuse, aérée, ce qui pourra surprendre pour un film de vampire d’ailleurs, et s’avère convaincante. Elle n’hésite pas à virer sur des atmosphères plus austère ou plus interlope lorsque c’est nécessaire (séquence de la boite de nuit) et en tout les cas elle est assez raffinée. Les décors pour leur part sont tout à fait acceptables, sans chichi mais très honnête malgré tout. Embrasse moi vampire propose par ailleurs quelques scènes sanglantes, très soft cependant (sauf peut-être la dernière scène), et une touche d’érotisme. Cette dernière fonctionne d’ailleurs étonnement bien avec finalement un travail là aussi très soft, qui doit beaucoup au charme indéniable et à la photogénie remarquable de Jennifer Beals, qui en femme fatale est brillante ici. La bande son est globalement absente et pas très plaisante.
En conclusion Embrasse moi vampire est un film plutôt agréable, qui, une fois n’est pas coutume, s’élève vraiment par sa capacité à gérer un thème traité ici sous un angle casse-figure. En effet, pour le reste il a des défauts de ci de là qui l’empêche d’être une anthologie, avec le jeu de Cage assez inégal, une dimension technique et esthétique qui n’a rien non plus de folichon. Il mérite un bon 3.5, et il vaut le coup d’être vu une fois.
Les acteurs forment un des réels attraits du film. Cage démarre plutôt bien, ensuite par contre c’est vrai qu’il a des passages surjoués un peu gênant. Sa prestation fluctue vraiment entre du très bon (parfois il montre avec brio la déchéance de son personnage et a des moments drôles), et du très moyen (il est parfois à la limite de la caricature grotesque). Malgré tout il sauve globalement les meubles, et le film peu compter sur d’excellents seconds rôles, essentiellement féminins d’ailleurs. Si le film repose certes beaucoup sur Cage, Maria Conchita Alonso, Jennifer Beals et Elizabeth Ashley ont une place importante elles aussi, et elles se débrouillent très bien. Elles ajoutent du piquant, du charme, de l’humour, et les différentes confrontations entre Cage et ces trois femmes sont les meilleurs morceaux du film.
Le scénario est globalement sympathique, avec une bonne première partie, une dernière partie plus sombre et solide, et un milieu relativement moins bon, car plus lent, et moins surprenant. Les scènes les plus marquantes se tiennent vraiment dans la première et la dernière demi-heure. Embrasse moi vampire n’est pas une franche comédie, et certains passages sont même franchement sombres. Le film maitrise vraiment bien cette variation de ton, en reprenant les codes du vampire (sensualité, perversité, violence, crainte du soleil…) et en les utilisant ensuite à des fins variées, en entretenant constamment le suspens entre fantastique et délire mental. L’ensemble aurait pu virer au n’importe quoi, mais là j’ai été bien surpris, avec une sorte de gravité qui baigne l’ensemble du métrage.
Coté réalisation la mise en scène n’a rien de très mémorable, et je crois même que l’on a droit à la même séquence sexy entre Cage et Beals deux fois. Le réalisateur ne fait donc pas de folie, et s’avère même parfois un poil plan-plan dans des scènes qui aurait pu être nettement plus costaud, mais bon, c’est relativement acceptable pour une petite série B de ce genre. La photographie est pour sa part assez lumineuse, aérée, ce qui pourra surprendre pour un film de vampire d’ailleurs, et s’avère convaincante. Elle n’hésite pas à virer sur des atmosphères plus austère ou plus interlope lorsque c’est nécessaire (séquence de la boite de nuit) et en tout les cas elle est assez raffinée. Les décors pour leur part sont tout à fait acceptables, sans chichi mais très honnête malgré tout. Embrasse moi vampire propose par ailleurs quelques scènes sanglantes, très soft cependant (sauf peut-être la dernière scène), et une touche d’érotisme. Cette dernière fonctionne d’ailleurs étonnement bien avec finalement un travail là aussi très soft, qui doit beaucoup au charme indéniable et à la photogénie remarquable de Jennifer Beals, qui en femme fatale est brillante ici. La bande son est globalement absente et pas très plaisante.
En conclusion Embrasse moi vampire est un film plutôt agréable, qui, une fois n’est pas coutume, s’élève vraiment par sa capacité à gérer un thème traité ici sous un angle casse-figure. En effet, pour le reste il a des défauts de ci de là qui l’empêche d’être une anthologie, avec le jeu de Cage assez inégal, une dimension technique et esthétique qui n’a rien non plus de folichon. Il mérite un bon 3.5, et il vaut le coup d’être vu une fois.
Embrasse moi vampire raconte l'histoire d'un agent littéraire qui va se faire mordre par une vampire et peu a peu il pensera lui même en devenir un ce qui le mènera dans une paranoïa et une folie bien drôle .
Le film est une comédie et non vraiment un film de vampire , Nicolas Cage surjoue a mort , tellement qu'il en devient hilarant et certaines scène sont presque culte , drôle et décalé l'histoire est aussi très original car on ne revisite pas le thème des vampire de façon classique ici .
L'histoire avance au fils des minutes dans la folie de plus en plus jusqu’à aller très loin , a la fois amusant et effrayant .
Un film qui mérite bien un visionnage pour les tranches de rires que procure Nicolas Cage lors de ses pétages de plombs , a voir aussi pour la fameuse scène du "meme" .
Au final ce n'est pas un film vraiment mémorable mais on passe un bon moment et on rit souvent .
Le film est une comédie et non vraiment un film de vampire , Nicolas Cage surjoue a mort , tellement qu'il en devient hilarant et certaines scène sont presque culte , drôle et décalé l'histoire est aussi très original car on ne revisite pas le thème des vampire de façon classique ici .
L'histoire avance au fils des minutes dans la folie de plus en plus jusqu’à aller très loin , a la fois amusant et effrayant .
Un film qui mérite bien un visionnage pour les tranches de rires que procure Nicolas Cage lors de ses pétages de plombs , a voir aussi pour la fameuse scène du "meme" .
Au final ce n'est pas un film vraiment mémorable mais on passe un bon moment et on rit souvent .
Redzing
Croyant s'être fait mordre par un vampire, un agent littéraire perd peu à peu les pédales, et est persuadé qu'il se vampirise lui-même. "Vampire's Kiss" est un curieux film, mélange de comédie et de thriller psychologique. Son idée de départ a le mérite d'être originale, mais malheureusement le film tourne en rond sans vraiment développer son propos. La réalisation est anodine, et l'intrigue se centre rapidement et presque exclusivement sur le personnage de Nicolas Cage, qui se voit ainsi contraint de porter le film sur ses épaules. Et si quelques scènes valent le coup d'oeil (notamment la fameuse scène où il tourmente sa secrétaire, devenue emblématique du mème "You don't Say" sur internet...), les mimiques de l'acteur frisent souvent avec le ridicule. Dispensable.
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