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HawkMan
178 abonnés
1 183 critiques
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4,5
Publiée le 17 septembre 2019
2 ans après, on prend le même et on recommence mais avec encore plus d'intensité. En effet, Jason Bourne finira par être de nouveau traqué par la CIA et devra tout tenter pour découvrir la vérité et faire punir les complotistes. Un film au rythme très élevé qui permet à Matt Damon d'assurer sa postérité dans le 7ème art. Bref : un film à ne pas oublier.
Scénario alambiqué et assez occulte avec complots sur complots, conspirations en veux-tu en voilà. Bref, rien de très original mais un film rondement mené avec pas mal de courses poursuites. Au-dessus du 1 ! La fin est volontairement ouverte avec une nouvelle fois des interrogations laissées en suspens.
C'est rare que j'éprouve autant de plaisir en regardant la suite d'un film qui m'avait enchanté et ici c'est le cas. Comme pour "Le Parrain 2" (The Godfather Part 2), la suite est du même niveau que l'original. En plus de conserver les éléments (crédibilité, rythme, interprétation, scénario) qui avaient fait le succès de "La Mémoire dans la Peau" (The Bourne Identity), ce nouvel opus nous permet d'entrer plus en profondeur à la fois dans le passé du héros et dans les dossiers cachés de la C.I.A. La cohérence entre les 2 volets de la série est renforcée par le fait que chaque personnage du 1er épisode ait été rappelé pour le second épisode, même l'espace d'une scène ou deux.
Alors, quelle est la valeur ajoutée qu'offre cette suite par rapport au premier opus ? Au début le film paraît moins primaire que le précédent avec une belle surprise scénaristique. Hélas ça ne dure pas, l'histoire devient confuse et vraiment peu intéressante. Et puis c'est quoi cette façon de filmer avec une caméra qui a la bloblote jusqu'à gêner la lisibilité des actions, il parait que c'est pour qu'on soit en immersion dans le film et accentuer son côté réaliste ! Réalisme quand on nous impose une improbable scène de poursuite automobile interminable ? Ajoutons à cela une absence totale d'humour, un manque de suspense abyssal, et une pleurnicherie finale WTF. Ah, un point positif quand même : Joan Allen a beaucoup de classe.
Très bon deuxième volet de la saga Jason Bourne. On retrouve ce qui a fait le succès du premier, à savoir du rythme, de l'action et du suspense. Le scénario nous tient en haleine même si les grosses ficelles sont plus prévisibles que lors du premier opus. Quant à Matt Damon, il excelle toujours dans son rôle d'agent traqué.
Jason vit tranquillement avec Marie dans le Sud Est asiatique, loin de tout en essayant quand même de se souvenir d’un passé qu’il veut fuir pour protéger Marie. Sauf que son passé le rattrape lorsqu’un agent le retrouve et tente de l’assassiner. Il n’y parvient pas mais tué accidentellement Marie. Jason va alors tout faire pour retrouver le tueur et surtout les commanditaires de cet assassinat. Matt Damon est efficace, le rythme est rapide, le scénario tient bien ma route, les scènes d’actions sont a la fois réalistes et spectaculaires, les jeux de pouvoirs et les manigances sont présents au sein de la CIA. Tous les ingrédients sont là pour un bon film, même si j’ai trouvé ce 2ème opus un ton en dessous du premier.
Il est aussi bon que le premier, tout simplement. Il ne s'agit pas d'un scénario copié-collé sur son prédécesseur, ce qui aurait été de toute façon impossible, mais il s'est renouvelé, et le rythme ainsi que l'intrigue sont aussi prenants. Et comme il est aussi bien joué, ce fut un plaisir de le suivre.
Paul Greengrass met son style tiré du documentaire au service de Jason Bourne. Et ça marche. Non seulement, il ridiculise sans peine les James Bond sortis à cette époque avec Pierce Brosnan. Mais même mieux. Il s'assoit et s'essuie allégrement les pieds dessus. Les scènes d'action aux quatre coin de l'Europe (Berlin, Naples, Londres, Moscou) sont entièrement filmées caméra à l'épaule sans que la lisibilité n'en pâtisse. Ça donne une idée du rythme (je sais que ce n'est pas pareil mais, dans l'esprit, imaginez l'introduction d'Il faut sauver le soldat Rayan sur deux heures). Pour tout dire, même les scènes de traque, censées être plus calmes, au sein de la CIA, bénéficient du même traitement même si, comme tout bon film d'espionnage qui va à deux cents à l'heure, je n'irai pas jusqu'à dire que l'intrigue est claire comme de l'eau de roche. Retenons juste un Matt Damon insaisissable comme une anguille et redoutable au corps à corps, une course-poursuite infernale dans les rues de Moscou, une pointe de romantisme (très jolie scène sous l'eau), des complots, des trahisons, un montage au scalpel...De quoi clouer le spectateur à son fauteuil, lui couper le souffle, et une fois la parole retrouvée l'entendre dire : "j'en veux encore". A défaut : revoir le film.
Après un premier épisode flamboyant, on a un copier coller décevant. Alors certes, les scènes d'action sont toujours aussi sympa mais avec un air de déjà vue. Le film reste agréable à regarder mais c'est inquiétant pour la suite s'ils continuent à faire les mêmes scénarios.
A peine arrivé dans la franchise que le jeune Doug Liman s’était déjà mis ses producteurs à dos. C’est donc tout naturellement que ceux-ci se tournent vers un vieux briscard pour le deuxième volet. Paul Greengrass, connu pour son Bloody Sunday, en plus de quelques contributions pour la télé, n’en est qu’à son quatrième film, mais il sait manifestement très bien ce qu’il fait. Plus dynamique et moderne que son prédécesseur, ce retour du fier Jason Bourne, précis, furtif et retors, plonge dans le grand bain du vrai espionnage. En comparaison, le premier opus fait papier canevas, brouillon malhabile surtout là pour poser les bases : un James Bond pas fun, amnésique et traqué, qui fouille son passé entre deux courses-poursuites. Un décor en place n’a plus besoin que d’être évoqué, alors le cinéaste n’a pas d’état d’âme à se consacrer entièrement à l’action. Il n’y a ici quasiment aucun temps mort, et le cerveau en profite pour se mettre au repos ; mais les yeux forcément clignotent devant cette déflagration de coups, de tirs, de cascades et autres explosions. Plus qu’à La mémoire, on accroche à cette Mort dans la peau, plus aboutie, classique, certes, mais très efficace. De quoi laisser une vraie chance aux prochains efforts.
Excellente suite des aventures de Jason Bourne. On y retrouve le réalisme et l’efficacité qui porta le premier film, « La mémoire dans la peau ». Matt Damon incarne toujours avec la même sobriété son personnage tout à la fois inquiétant et sensible. D’une dimension plus sombre, le scénario se complique, la mise en scène se densifie et tient en haleine jusqu’au générique de fin. En effet, Paul Greengrass a déjoué le piège de la facilité, évitant de décevoir le spectateur dans ce deuxième opus. Un vrai régal.
Film typique et presque exemplaire du film d'action sans aucun temps mort du début à la fin avec un super agent fabriqué, quasiment indestructible, qui se sort de toutes les situations et que son organisation veut éliminer pour faire oublier l'expérimentation de la formation de ces machines à tuer. Caché au bout du monde en Inde, ils tuent sa nouvelle compagne. C'est le début de la vengeance et la recherche de la vérité sur son identité, qui il est et comment il est devenu ce qu'il est après des effets secondaires d'amnésie semant derrière lui des multitudes d'agents, malfrats, traîtres, à terre avec des scènes ultra spectaculaires et en particulier des courses poursuites en voitures impressionnantes. Pas k'oscar du meilleur scénario mais la palme du film d'action et du divertissement.
Enfin,voilà le deuxième opus de la saga "Jason Bourne","La mort dans la peau" et non "La vengeance dans la peau" que TMC, a curieusement programmé dans le désordre,entretenant une confusion entre le deux et le trois... Mais ce qui était valable pour " La vengeance dans la peau",le reste pour celui-ci,par rapport au premier épisode: Le thriller est haletant et plus rythmé,gagnant en vitesse(et précipitation) ce qu'il perd de richesse psychologique chez les personnages. L'histoire sentimentale du premier épisode est assez vite évacuée,au profit du thriller pur et dur. A noter,le toujours excellent Matt Damon,très constant pour incarner, dans les trois épisode,ce personnage amnésique aux talents très spéciaux: Toujours un jeu simple,sobre,efficace et humain. Joan Allen apporte,de son côté, à son personnage de chef d'enquête au FBI,une touche de classe et d'élégance. On peut simplement regretter une poursuite bien trop longue de voitures,transformées en auto-tamponneuses,dans les rues de Moscou....