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GéDéon
85 abonnés
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3,0
Publiée le 28 mai 2022
Pour le second volet de la saga Jason Bourne, sorti en 2004, Paul Greengrass prend les commandes en tant que réalisateur. Même si le héros amnésique (Matt Damon) est toujours à la recherche de son identité, ce film d’espionnage prend une dimension moins psychologique pour le spectateur compte tenu de la connaissance établie de son passé. Le scénario se consacre essentiellement à l’action avec une caméra virevoltante qui donne l’impression d’être toujours en mouvement (parfois un peu trop d’ailleurs). On retrouve la fameuse scène de course-poursuite en voiture, cette fois-ci à Moscou, ayant dû envoyer une cinquantaine de véhicules à la casse ! Bref, un divertissement toujours aussi intense mais nettement plus conventionnel.
Le second opus de cette trilogie Jason Bourne est parfaitement dans la continuité du précédent. Les défauts restent plus ou moins les mêmes soit un vrai manque de scènes marquantes et de rythme parfois. Mais sinon il y a de vrai bonne chose à retenir de ce Bourne Supremacy. A commencer par le parti pris radical de faire tuer le personnage de Marie. Sur le coup je n'étais pas sur que c'était une bonne chose pour le film, mais au finale cela donne un nouveau souffle à la saga. Il y a aussi tout cet aspect plus politique et où les bureaucrates prennent une plus grande importance. Même si c'est dans la suite et conclusion de trilogie que cela est le plus passionnant. J'ai aussi plutôt bien aimé la prise en main par Paul Greengrass, qui malgré ce que j'ai pu dire sur l'aspect pas assez marquant du film, nous offre de réel bon moment d'espionnage et de courses poursuites. Une bonne suite donc, pas forcément supérieur au premier film mais pas moins bonne non plus, les 2 se valent. C'est très clairement le 3 qui est au dessus du lot pour moi.
JASON BOURNE: LA MORT DANS LA PEAU (2004): Suite à une opération de la C.I.A à Berlin, un agent et son indic seront assassinés par un inconnu. Celui-ci aura pris soin de créer des preuves inculpant Jason Bourne. Ce scénario bien ficelé demandera beaucoup d'attention, car situations et informations s'enchaineront à grande vitesse. Treadstone, cellule fantôme de la C.I.A, continuera à lever le voile sur sa véritable identité et sèmera le doute sur son intégrité. Beaucoup de noms seront à retenir, aucun ne devra être ignoré, tous auront de l'importance. Des autorités toujours à sa poursuite, mais Jason sera maître du jeu. Trafic d'argent, mort suspecte, trahison, un suspense très riche en évènements et en actions. Que dire de Matt Damon? Impressionnant, plus que parfait. Une excellente intrigue à condition d'avoir compris tous les rouages et tous les sous-entendus.
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5,0
Publiée le 8 septembre 2021
Bourne est un type intelligent et ce n'est pas un James Bond qui s'appuie sur un gadget potentiel. Il a cette intelligence qui lui permet de réfléchir sur-le-champ d'improviser d'élaborer un plan et de l'exécuter avec un talent incroyable en n'utilisant que ce qu'il a sous les yeux. Matt Damon possède tous les éléments de Bourne des capacités vraiment cool un sens du timing immaculé et un peu de compréhension aussi. Les instincts de Damon sont profonds alors que son personnage est en fait très sombre. Jason Bourne un ex-agent de la CIA imprégné de violence est un homme qui a tué des gens de sang-froid et pourtant on a l'impression qu'il est en guerre contre lui-même. Jason est avant tout émotionnellement vrai et c'est ce que le réalisateur Paul Greengrass nous montre c'est un sentiment de réalisme et de vérité. La poursuite en voiture est magnifique c'est le désespoir. Jason doit se rendre à l'appartement de sa jeune femme pour s'excuser car c'était son seul but à ce moment-là. Joan Allen apporte cette intelligence froide et cérébrale au rôle de Pamela Landy et elle est une adversaire de taille pour Bourne. La Mort dans la peau nous emmène pour notre plus grand plaisir dans des lieux réels d'Europe comme Berlin où se concentrait le conflit Est-Ouest à Moscou lieu d'incertitude de péril et de chance et à Goa la plus charmante des capitales indiennes...
Tres devenant, un des rare film ou je me suis endormi, non pas pour sommeil, mais par ennuie. Seul la poursuite a la fin m'a fait rentrer ds le film. Et les prises de vues sont pitoyable, on dirait un youtubeur qu'a filmé avec son smartphone.. PASSEZ VOTRE CHEMIN, se sera un gain de temps pour vous.
L’énorme succès de « La mémoire dans la peau », impliquait d’office une suite. Celle-ci se justifiait d’autant plus que l'écrivain Robert Ludlum avait consacré une trilogie aux aventures de l’agent amnésique Jason Bourne. Ce sera donc « La mort dans la peau » qui servira cette fois-ci de trame à la course folle de l’agent Jason Bourne qui après deux ans passés à Goa (Inde), se voit rattrapé par la patrouille selon l’adage bien connu qui veut qu’un espion ne puisse jamais décrocher. Le supérieur (Brian Cox aux faux airs du Marlon Brando de la dernière période) de son ancien chef l’a en effet mouillé dans un assassinat pour sauver sa peau, impliqué dans un trafic d’armes de grande ampleur. Une fois retrouvé, le top départ est lancé. Le rythme déjà intense du premier opus est encore intensifié, faisant de l’espion à la trombine adolescente que lui prête Matt Damon, une véritable machine à tuer, qui s’il n’a pas encore retrouvé sa mémoire n’a absolument rien perdu de son efficacité pour être partout chez lui dans le monde, parlant toutes les langues et connaissant chaque recoin de Berlin ou Moscou. Paul Greengrass qui remplace Doug Liman à la réalisation semble parfaitement à son aise pour orchestrer cette chasse à l’homme qui ne laisse aucun répit, autant à Jason Bourne qu’au spectateur qui n’a le droit qu’à des scènes très courtes en accéléré, ne laissant aucun personnage secondaire venir en relais d’un Matt Damon qui doit assurer seul l’essentiel du spectacle. Que retenir à part son souffle pendant près de 110 minutes ? Rien bien sûr ! C’est là que le bât blesse forcément. Mais il y a désormais une clientèle pour passer du temps devant ces films qui n’exigent aucune réflexion. Cela tombe bien, l’époque mise tout sur l’instantanéité et le premier degré. Donc « la mort dans la peau » a rapporté plus de bénéfices que « La mémoire dans la peau » qui lui-même en rapportera moins que « La vengeance dans la peau » . Dès lors, pourquoi changer ?
Dans la même intensité que le premier volet, c'est prenant tout le long du film. Matt Damon incarne à la perfection son personnage. On frôle le chef-d'œuvre.
Autant j'ai beaucoup aimé le premier épisode, autant j'ai beaucoup moins apprécié celui-ci...Non pas qu'il n'y ait pas de scènes d'action spectaculaire, de combats impressionnants etc...Mais j'ai trouvé tout cela un peu confus et surtout un peu vain...Il n'y a plus l'étrangeté de savoir d'où vient l'amnésique, de tenter de comprendre. Alors que dans le premier on découvrait en même temps que le héros ses énormes capacités de combat, d'espionnage etc..., dans ce film, tout est déjà fait, je n'ai pas eu l'impression de découvrir grand chose..J'ai donc trouvé ce film plutôt ennuyé, c'est une simple suite des scènes d'action...
Suite du très réussit La mémoire dans la peau, qui a pris tout le monde à contrepied, avec un Matt Damon, en tueur, qui court après la vérité et en même temps sauvé sa peau et découvrir qui il est. Ici, on reprend les mêmes formules, film d'énigmes à tiroirs, très stylisé, avec des scènes d'actions orchestrées au mini mètre, et des scènes de cascades en voitures époustouflantes. Bien sûr, on nous fait parcourir la moitié de la planète en un minimum de temps et Jason Bourne prouvera à tout le monde son innocence et son savoir faire au passage. Rien d'intellectualisé pour cet opus, un enchainement de scènes de fortes tensions, un récit qui est incroyablement efficace, il faudrait être difficile pour ne pas aimer.
Une longue traque entrecoupée de violentes bagarres qui sèment des cadavres un peu partout. Une poursuite automobile à travers Moscou ressemblant plutôt à une course de stockcars. On ne comprend pas mieux que lui-même ce qui arrive au héros. Bref le film d'action américain bien crétin...
Le film d'action-espionnage par excellence, au même niveau que les Bond. Ça bouge, ça fonce, ça castagne, ça n'arrête pas une minutes et aux 4 coins du monde. A voir par tous les amateurs de film d'action sans exception
Même recette, le duo Jason/Marie poursuit sa route dans ce deuxième volet tout aussi intéressant que le premier. De l'action bien dosée et une histoire qui nous tient encore une fois en haleine dans l'attente du troisième opus.
Bref, un bon divertissement qui répond une nouvelle fois aux attentes de ce genre de films.
Il n'y a qu'un seul moyen de vérifier, il faut le regarder ! :)
La camera au debut du film bouge trop vite dans la baggare entre les 2 homme alors on ne sais pas qui donne le coup qui domine qui se fait dominer. Ce qui est quand meme important dans une scene de baggarre ou d'action c'est de bien viser les acteurs qui sont impliquer pour qu'on puisse distinguer sans difficulter qui est qui ce qui n'es pas le cas ici.Sinon la mort dans la peau est une bonne suite un film interessant car il permet de developper plus les personnages notamment ward Abbott qu'on se met a detester spoiler: et on est content lors de sa mort il a quand meme assassiner son assistant simplement car il commencait a comprendre qu'il y avait un complot contre bourne Brian cox joue donc tres bien son role dans ce film.spoiler: on est triste aussi quand la copine de bourne meurt au debut du film j'aurais aimer que Marie reste plus longtemps dans la saga
Les courses poursuites interminable sont si délirantes que ça en devient comique, sans compter que l'image change de plan toutes les secondes et la musique rythmée à coups de gong ne cesse d'augmenter, trop c'est trop,