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BlueSkull
65 abonnés
523 critiques
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3,0
Publiée le 1 août 2011
Dans la lignée de La Mémoire dans la peau. Cependant, j'ai préféré un peu cet opus. L'histoire est toujours intéressante et rythmée. Le film nous tient en haleine d'un bout à l'autre. Matt Damon est toujours impeccable dans son rôle. L'action est également plus présente que dans le premier épisode de la trilogie Jason Bourne. Cependant, j'ai trouvé l'ensemble un peu trop classique ; parfois on a l'impression que l'on se rapproche plus d'une série que d'un véritable film. Néanmoins, La Mort dans la peau reste un film d'action très divertissant.
Jason bourne est de retour avec un second réalisateur Paul greengrass qui réalise un film plus nerveux que son prédécesseur, une caméra qui se déplace très vite si bien que parfois on ne voit rien des chorégraphies pour les combats.
Chaque scènes s'enchainent très vite, Bourne ne craint rien, les gens qui le traquent sont hyper expérimenté et très nombreux pourtant ils font dans leurs frocs à cause d'un seul homme qui n'est même pas un super-héro.
Je pense qu'il n'y avait vraiment pas besoin de faire une suite plus encore une après, mais bon c'est les affaires. Pour l'argent.
Deuxième épisode de la trilogie Jason Bourne, the Bourne supremacy reprend les grandes lignes à succès du premier épisode. Un héros traqué, marquant un peu plus encore le retour de Matt Damon (une fois de plus brillant dans le rôle du traqué), une caméra portée donnant beaucoup plus de réalisme à l’ensemble, une BO qui déroule tranquillement ses rythmes. On sent que le film gagne en profondeur. En un mot, Jason Bourne est sur la bonne voie…
Ça marche, ça cours, ça saute, ça roule, ça explose, c'est prenant, c'est haletant, c'est tout comme il faut, mais ça reste finalement dans les limites du film d'action classique, sans le petit plus qui fait pétiller nos yeux d'hyperactifs éternellement insatisfaits.
A l'inverse du premier volet, cette suite n'offre strictement aucun intérêt. Elle est purement commerciale et a ôté l'âme du personnage de Bourne. Il s'agit maintenant d'un film d'action caricatural, basique et bourrin, qui ne vaut pas mieux que les films de bruce willis. La réalisation de Greengrass est fouillis et n'offre aucune clarté. Le spectateur se noie dans l'enchaînement des plans. Je trouve qu'il n'y a aucune comparaison possible avec le premier opus, qui de surcroît se suffit à lui même.
Plutot decevant techniquement malgré une réalisation nerveuse la mort dans la peau deçoit surtout dans l'histoire moins intérressante et beaucoup plus bordélique. Reste un univers noire, réaliste et un personnage principal alias jason Bourne toujours joué à la perfection par matt Damon.
Second volet de la trilogie Jason Bourne. Tout aussi spectaculaire et explosif que le premier, Matt Damon, soldat assassin surentraîné de la CIA et devenu amnésique, est contraint de reprendre ses investigations car il redevient la cible de ses anciens formateurs. La caméra de Paul Greengrass confère à l’action un style indéniable saccadé mais le personnage principal perd en profondeur. Les voyages de Bourne dans son enquête le conduisent d’Inde en Russie via l’Allemagne notamment.
Plus subtile que son prédécesseur, La mort dans la peau en est d'autant plus appréciable. Dehors les scènes surréalistes et la surenchère de scène d'action et bonjour à un peu finesse, dans ce film qui se détache enfin de son étiquette de film d'action afin de devenir un savant mélange d'espionnage à rythme soutenu. Vous l'aurez compris, la mort dans la peau tente des gommer les défauts de prédécesseur. Il y parvient, seulement en partie malheureusement. Effectivement, le scénario reste assez prévisible, une déception pour un film d'espionnage qui, finalement, ne nous étend qu'un complot bête et méchant. Un minimum de profondeur n'aurait été du luxe non car à l'instar de son ainé, on garde l'impression que le film ne cherche à se satisfaire de son rythme endiablé au détriment d'une réelle intrigue. Au crédit du film, on retrouve un Jason Bourne plus humain, mais aussi plus sombre. En ce sens, Matt Damon est nettement plus convainquant que dans le premier opus. Puis exit l'insupportable Marie, voilà qui m'a plu ! Le film est dans la parfaite continuité du premier, ce qui contraint le spectateur à fouiller dans sa mémoire afin de se souvenir avec prévision de la mémoire dans la peau - était-ce fait exprès ? -. En effet, on se retrouve vite dans le flou si nous ne gardons pas à l'esprit les différents noms et lieux du film précédent, ce qui peut s’avérer relativement ennuyeux. Néanmoins, avec cette suite, le saga Jason Bourne s'affirme comme une référence, malgré ses imperfections, et grâce à une ingéniosité rare dans ce genre de film.
Un film d'action vraiment banal, bien plus que ce que sa réputation pourrait faire croire. Acteurs et techniciens, autant que le réalisateur paraissent avoir fait ce film avec une nonchalance exaspérante.