Mon compte
    Le Cercle des poètes disparus
    Note moyenne
    4,3
    52994 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Cercle des poètes disparus ?

    768 critiques spectateurs

    5
    385 critiques
    4
    228 critiques
    3
    78 critiques
    2
    42 critiques
    1
    22 critiques
    0
    13 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Benoit B.
    Benoit B.

    13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2019
    Ce film est un chef-d'œuvre, à voir et à revoir sans limite.
    La poésie est mise en valeur par un très grand Robin Williams
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 novembre 2019
    Je me souviens encore du jour où j’ai vu ce film pour la première fois, en cours de français, au collège. J’avais alors environ l’âge des protagonistes et celle que je considère encore aujourd’hui comme ayant été ma meilleure professeure de français, aux traits de caractère étonnement similaires à ceux du professeur Keating, passionnée par les lettres et le théâtre, et ayant une personnalité aussi farfelue que ce dernier, a présenté ce chef d’œuvre à la classe dont je faisais partie. Et je ne saurais jamais la remercier suffisamment pour cette découverte qui a contribué à mon intérêt pour la littérature. Mais revenons au film à proprement parler.
    Réalisé en 1989 par le talentueux Peter Weir (également connu pour The Truman Show), Le Cercle des poètes disparus offre au regretté Robin Williams le rôle le plus bouleversant et reconnu de sa carrière. Un choix qu’il faut saluer quand on sait que ce premier rôle ne lui était initialement pas destiné, et il s’agit de remercier Peter Weir pour cette décision qu’il prit lorsqu’il remplaça Jeff Kanew à la réalisation. Un autre choix hautement appréciable quand on voit la filmographie du réalisateur initial. On se réjouit donc de ces deux décisions et on préfère ne pas penser à ce que serait devenu le film si Kanew avait été maintenu aux commandes.
    Quoiqu’il en soit, cette merveille cinématographique prend ses racines dans le scénario de Tom Schulman, à l’origine, la même année, de celui du non moins connu Chérie, j’ai rétréci les gosses. Cette histoire, en partie fictive, prend place dans l’académie d’excellence Welton, une école destinée exclusivement à former les fils des élites pour les préparer aux hautes carrières. Et c’est dans ce cadre mondain que le professeur Keating, ancien élève de l’académie, est nommé à la fonction de professeur de lettres. Dans un rigorisme académique aux strictes valeurs morales, cet enseignant passionné et novateur fait souffler un vent de fraîcheur et de liberté sur les rangs de ce lycée classique et formaté, initiant les étudiants à la beauté des belles lettres et à l’élégance de la poésie. Néanmoins, cette méthode d’enseignement finit par choquer le personnel de l’établissement et heurte le puritanisme et l’austérité de traditions et valeurs dominantes, bien qu’archaïques. C’est cette confrontation qui est au cœur du film et qui va avoir de terribles conséquences pour les amoureux de la liberté.
    Au-devant de l’affiche, « le capitaine » Robin Williams, dans un rôle qui lui est taillé sur mesure et qu’il interprète avec talent et émotion. A ses côtés, les recrues du renaissant Cercle des poètes disparus comptent plusieurs jeunes acteurs, dont la grande majorité ne connaitront aucun autre rôle majeur, exceptés Robert Sean Leonard (Dr House) et Ethan Hawke, dont on assiste ici au début d’une longue carrière.
    Bien que nominé dans de multiples catégories, le film ne reçut que deux récompenses majeures : l’Oscar 1990 du meilleur scénario original et le César 1991 du meilleur film étranger. Cet injuste crédit apporté à la qualité de cette réalisation n’a toutefois pas empêché les foules de la consacrer, rassemblant près de 250 millions de dollars de recettes au box-office mondial (pour un budget initial de 16 millions), faisant du Cercle des poètes disparus le cinquième film le plus visionné au niveau international pour l’année 1989.
    Alors comme le répète l’extraordinaire professeur Keating, « cueillez dès à présent les roses de la vie », visionnez ce merveilleux film si ce n’est pas encore fait et plongez-vous ensuite dans les textes de nos pères Lord Byron et Walt Whitman, mais jetez à la poubelle les théories rigides de J. Evans Pritchard, qui n’a rien compris à la beauté de la poésie.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    « Tradition. Honneur. Discipline. Excellence. » Il est rare d'atteindre la perfection au cinèma! Et pourtant en 1989, Peter Weir y parvient en signant un chef d'oeuvre qui a la grâce des plus grands! il y a des films, des acteurs, des histoires, des èmotions que l'on oubliera pas! A commencer par notre regrettè Robin Williams (« Ô Capitaine, mon Capitaine ») qui confirme avec èclat le grand comèdien qu'il ètait! il restera à jamais le professeur John Keating avec ses mèthodes d'enseignement peu courantes, son oeil rieur et sa folie inventive! De bien des façons, Weir fut en quelque sorte le premier rèalisateur a rèvèlè des acteurs comme Robert Sean Leonard, Ethan Hawke ou Josh Charles! John Keating à l’acadèmie de Welton avec une belle nature qui enveloppe tout ça! C'est un peu l'environnement que tout èlève aurait aimè connaître malgrè le côtè très autoritaire! L'immense succès à travers le monde est amplement mèritè et à la hauteur des ambitions de Weir qui signait peut-être là son meilleur film! Carpe Diem...
    stephane s
    stephane s

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    Le sujet est sublimement intéressant.
    un jour, poser vous. Prenait votre temps. ayez l'esprit ouvert…
    et vous découvrirez un chef d'œuvre.
    celui ci est en est un!!!
    a votre prochaine occasion il marquera votre vie
    vive les poètes disparu
    Juliettemtrop
    Juliettemtrop

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 août 2019
    Et bien ça y est, j'ai vu "Le Cercle des poètes disparus", comment dire ? Film serait un peu bas, chef-d'oeuvre déjà plus approprié.
    Quelle belle oeuvre ! Une grande palette d'émotions y est déployée, de l'émerveillement en passant par l'admiration, la surprise jusqu'à la tristesse. C'est un film qui me touche énormément.

    John Keating nous fait rêver, c'est le genre de professeur que l'on veut tous avoir, et que l'on peut rarement rencontrer au cours d'une vie.
    Nills, personnage auquel l'on s'attache beaucoup, est l'incarnation d'un idéal qu'on ne peut atteindre faute d'obstacles. Il a alors fait le choix de la troisième option, celle que l'on envisage lorsque l'on voit la barrière de l'impossible.

    Ce chef-d'oeuvre est une ôde à l'affranchissement, la libre pensée et l'anti-conformisme auquel nous sommes tous sujets, et remet en cause les méthodes actuelles que l'enseignement nous propose.
    "Vous devez tous avoir la tête carrée ! Toi qui a la tête ronde là-bas, tu ne vaux rien !"
    Ce film nous laisse comprendre qu'ensemble, nous pouvons être libres. Mais c'est une liberté qui n'est pas totale, le début d'un mouvement.

    Le fil rouge de l'histoire est très bien trouvé, à travers la poésie, l'on apprend un découvrir le monde sous un angle nouveau. D'autant plus que les acteurs jouent à merveille.

    Enfin, "Le Cercle des poètes disparus" est une oeuvre que tout le monde devrait voir, et d'où chacun devrait se questionner.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 août 2019
    En 1989, alors au sommet de sa carrière, Robin Williams incarnait dans « Le cercle des poètes disparus » John Keating, un professeur de lettres aux méthodes peu conventionnelles dans une académie très stricte. Ses jeunes élèves se demandent au départ à quel professeur étrange ils ont affaire, puis se prennent au jeu de la méthode « Keating » qui les pousse à se dépasser, à s’affranchir et à être libres.

    Le jeune Neil, interprété par Robert Sean Leonard (connu plus tard sous le nom de Wilson, meilleur ami de Dr House) se « prend au jeu » au-delà des espérances de Keating, et se prend à rêver d’une carrière d’acteur, et se lance à corps perdu dans le théâtre. Mais son père, dur et intransigeant (voire psychorigide) ne l’entend pas du tout de cette oreille… Neil continuera ses études comme prévu et fera le métier choisi. spoiler: Mais Neil, désespéré, ne voit que comme seule issue le suicide…


    Si la méthode est radicale (mais si ça ne s’était pas passé ainsi la « morale » de la fin du film aurait été inexistante), cela amène au moins certains de ses camarades à réfléchir, même si son père ne se remettra pas en question et pointera du doigt les méthodes du professeur Keating. Certains autres membres du « cercle » ne seront pas pour autant courageux et se sentiront obligés d’appuyer la version du père de Neil, pour ne pas être exclus de l’école.

    Le « cercle » où les élèves se réunissent (et auquel je n’ai pas toujours tout compris, il faut l’avouer…) n’est qu’un prétexte pour raconter cette histoire d’attachement entre un professeur et ses élèves.

    Malgré que le film soit trop « académique » (après avoir entendu parler de ce film je m’en faisais peut-être l’idée de quelque chose de plus « extraordinaire »), « Le cercle des poètes disparus » fait réfléchir à beaucoup de sujets : la faiblesse, le manque de courage, mais aussi croire en soi et ses rêves, toujours garder son libre arbitre…

    Voir mon analyse complète sur mon blog: reves-animes.com
    LeGlaude
    LeGlaude

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2019
    Ce film est tout bonnement incroyable. J'écrit cette critique juste après l'avoir regarder et je ne vais pas vous mentir je suis en pleure. L'histoire était magnifique, la bande son magnifique, le film était magnifique. Regarder ce film, il faut le voir au moins 1 fois dans sa vie.
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2019
    Je n'avais pas eu envie de le voir à l'époque de sa sortie, le tapage qu'on faisait autour des valeurs d'éducation humaniste me gonflait sévèrement et de loin, je trouvais tout cet appareillage philosophico-poétique bien neuneu. 30 ans plus tard, la petite lucarne d'Arte me fait découvrir un film moins pénible que je ne le pensais. Déjà, ce qui est au centre du film, c'est cette idée intéressante de confronter une bande d'adolescents à la question existentielle et à des choix dramatiques voire tragiques... Alors, c'est vrai, les meilleures intentions forcent un peu le trait de ce discours plus ou moins naïf et parfois agaçant de manichéisme. Robin Williams, le soit disant révélateur de l'histoire n'a finalement qu'un second rôle là-dedans; c'est la petite bande emmenée par Ethan Hawke qui occupe toute la place. Ils ont tous le brushing, ils sont beaux et propres, bien dirigés, l'image est soignée... Mais la mise en scène se fait attendre. D'ailleurs, puisque ça se passe dans une académie, les partis pris sont ....académiques ! Bref, un bel objet bien lisse, bien long mais pas dépourvu de sincérité. Peter Weir a fait bien mieux, je pense, que ce cas d'école émotionnel. A voir par curiosité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 juillet 2019
    Avec "Le Cercle des poètes disparus", Peter Weir frôle la perfection. Le film dramatique, sorti en 1989, nous plonge aux États-Unis en 1959. Todd Anderson, garçon timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton, dans l'État du Vermont, qui est réputée pour être l'une des plus fermées et austères du pays et où son frère aîné a suivi de brillantes études. Il y fait la rencontre d'un professeur de lettres anglaises, M. Keating, qui encourage le refus du conformisme, l'art de profiter de l'instant et la liberté. Certains élèves vont vouloir redonner vie au cercle des poètes disparus, un groupe d'esprits libres et oniriques, dont M. Keating fut, en son temps, l'un des membres influents. La vie de ces étudiants va être bouleverser à jamais. Le scénario signé Tom Schulman est presque irréprochable. Ce film est doté d'un casting prestigieux dont l'excellentissime Robin Williams qui incarne M. Keating, mais aussi Ethan Hawke ou encore Robert Sean Leonard. La musique du film, réussite, on la doit au compositeur français Maurice Jarre ! Il s'agit par ailleurs de sa quatrième collaboration avec Peter Weir. A savoir : c'est Liam Neeson qui était envisagé pour le rôle de M. Keating lorsque Jeff Kanew devait être le réalisateur. Fait rare pour être souligné, "Le Cercle des poètes disparus" a été tourné dans l'ordre chronologique de son scénario ! Le réalisateur Peter Weir souhaitait ainsi que le développement des relations entre les élèves et M. Keating soient encore plus naturelles. Le film a acquis le statut de film culte tant pour la prestation de Robin Williams qui joue ici l'un de ses meilleurs rôles que pour la multitude de phrases cultes. "Carpe Diem", "Oh Capitaine ! Mon Capitaine" et "Sucez la moelle de la vie mais n'avalez pas l'os" sont parmi les phrases les plus marquantes de ce film. La toute dernière scène de ce film est également l'une des scènes les plus marquantes du cinéma. Le film est oscarisé et a connu un très beau succès au box office. Un chef-d'œuvre frôlant la perfection, amenant à réfléchir, à voir au moins une fois dans sa vie !
    RamiValak
    RamiValak

    7 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juillet 2019
    Film à Oscars

    Peut-on faire plus basique et classique ? Je ne crois pas non, à part la performance plutôt bonne de Robin Williams (pas non plus transcendante), il n'y vraiment rien à sauver de ce film. La réalisation, hormis quelques plans sympathiques, est plate au possible, champ contre champ constant et lumière naturelle, donc pas grand chose à se mettre sous la dent. Histoire basique, sur des gosses chiants et jamais attachants, je ne me suis personnellement attaché à aucun personnage de ce film, à part Robin Williams. C'est juste une histoire sur des pauvres garçons dans une école ultra conformiste, mais qui se rebellent grâce au pouvoir de la poésie, pour se libérer de l'oppression sociale en montant sur des tables. Plus classique tu meurs, c'est l'éternel histoire du gamin qui veut s'envoler mais qui se fait couper les ailes par son papa, forcément, et une histoire peut se permettre d'être un peu cliché, mais elle doit proposer autre chose. Mais là non, le gentil garçon veut faire du théâtre et il est doué pour ça, mais le méchant papa ne veut pas, point barre. La fin est également prévisible à souhait, car au final le message c'est juste, faites ce que vous aimez dans la vie et ne n'écouter pas les autres, merci pour ce conseil, j'aurais jamais su sans toi film. Ce film à trente ans de retard, sa ne sert à rien de faire une histoire sur ce thème en 1989, et même si l'histoire se déroule dans le passé, sa ne change rien sur l'inutilité de son propos de nos jours.
    Le jeu des gamins est très peu crédible, et frôle même le ridicule par instant, surtout dans la dernière scène, quand la caméra fait un gros plan sur le visage d'au moins six gamins en montrant "Vont-ils se rebeller ?" et on voit bien que les acteurs ont du mal à jouer quelque chose de si mal écrit. La bande des gamins n'est pas attachante, on ne ressent pas les liens qui unissent ce groupe, et on sent bien qu'eux mêmes ne croient pas trop à leurs personnages. Et l'intrigue amoureuse entre l'un des gamin et une fille d'une autre école n'est absolument pas exploité, et ne sert absolument à rien.
    Comme je disais, la réalisation est plate, et les beaux plans sont assez rares, je retiens seulement deux plans-séquences avec une caméra qui ne cesse de tourner sur elle-même, et deux plans assez beaux, l'un où l'on voit un arbre avec le crépuscule en fond, et celui où l'on voit Ethan Hawke s'éloigner dans la neige. Et dans un tas de film je n'aurais même pas pris la peine de citer des plans tels que ceux ci, preuve de la pauvreté visuelle du film.
    Bref, très déçu par ce film, un simple film à Oscars qui essaie désespérément d'arracher une larme au spectateur, en vain.
    Slim E
    Slim E

    31 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2019
    C'est vraiment dommage qu'il a quelques longueurs ci et là qui doivent bien faire un quart d'heure. Avec ce quart d'heure en moins, j'aurais bien mis une étoile de plus ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 avril 2019
    Ce film est une ode à l'audace de vivre sa vie comme on l'entend tant qu'il en est encore temps. Les acteurs sont excellents.
    carpe diem !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 février 2019
    Tout le monde dans la "vraie vie" aimerait bien sur un professeur de ce genre, mais le film ne transpose pas, aucun décalage, un film pour grand public culturellement pas au courant, j'ai eu bien du mal a le regarder en entier
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2019
    Un film qui marque le spectateur par sa fin tragique. La discussion qui s'en est suivi avec des personnes, lors d'une réunion, c'est que le père n'était pas fautif pour certain, et comme dans le film faisaient retomber la responsabilité sur le professeur uniquement. Pour ma part, le père est responsable à 70/100 et le prof à 30, car il n'a pas vu qu'il faisait germer dans la tête d'un étudiant un rêve impossible. Cela dit un film qui prête à réflexion sur l'éducation.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2019
    J'ai vu un film... d'exception, qui porte un message sublime sur l'importance de développer un esprit critique dans un monde conventionnel. Et même si la société aujourd'hui porte un peu moins de conventions lourdes, on se rend compte de la difficulté d'être un esprit libre... Et lorsque la liberté est portée par Robin Williams, on ne peut qu'être séduit... Le casting est de très haut niveau avec des jeunes comédiens qui ont ensuite pris du galon pour certains et de la bouteille (Ethan Hawke, Robert Sean Leonard ou Josh Charles). Ce qu'il faaut retenir du film, c'est son fameux "Carpe Diem", lequel a toujours de conséquences dans les choix d'une vie... qui fait face à la devise de l'école « Excellence, Discipline et Tradition ». Et en terminant ce film, on a envie de s'écrier "Capitaine, mon Capitaine" pour remercier ce professeur qui a su entrouvrir la porte de l'esprit de jeunes étudiants influencés par leur époque et leur milieu...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top