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CarpeDyem
15 abonnés
141 critiques
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5,0
Publiée le 16 mai 2014
"Je partis dans les bois car je voulais vivre sans me hâter, vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie. Je voulais chasser tout ce qui dénaturait la vie, pour ne pas, au soir de la vieillesse, découvrir que je n'avais pas vécu." Peter Weir assène la vérité, il la martèle. Fuyez le conformisme, l'existence est d'autant plus palpitante loin de sentiers battus !
Pas très loin de devenir à mes yeux un excellent film mais le final ne m'a pas transporté comme j'aurais dut l'être. D'abord pour ceux qui lisent que le début de cette critique je vais parler du positif car c'est un film qu'il faut voir car il est bien. En effet, les acteurs sont excellent surtout Robin William qui joue un professeur auquel on s'attache et à qui on a envie de ressembler. Par contre on ne s'attache pas assez aux jeunes étudiants dont l'état d'esprit et la démarche ne nous parle pas franchement. Le film aurait put monter plus en puissance,nous faire nous attacher plus aux personnages, la chute aurait été d'autant plus puissante. Le film français Le choristes m'a beaucoup plus touché, jusqu'au larmes même.
Mais bon film quand même, rien que grâce aux acteurs
Un peu trop bisounours et convenu pour moi mais c'était ici l'occasion de découvrir un grand film réputé avec Robin Williams. Il faut dire qu'ici et peut être plus qu'ailleurs le film doit être vu pour la prestation de ce dernier. C'est pas mal, c'est vraiment bonne esprit, drôle parfois mais vraiment bien trop long à moins d'être dans un parfait état d'esprit pour le supporter. J'ai préféré Will Hunting ou Mme Doubtfire, ça respire plus les année 90'. Un film à voir pour son message mais surtout pour Robin Williams, un film à montrer aux ados.
Le cercle des poètes disparus n'est pas perçu chez moi comme un simple film, mais comme une leçon de vie. Regarder ce film, c'est l'adopter. Robbin Williams y campe un enseignant banal au premier abord sauf qu'il n'en est rien. Il va transformer à jamais la vie de ses étudiants. C'est beau, on rit, on pleure, on est enclin à être optimiste dans la vie et à vouloir vivre l'instant présent comme si c'était le dernier. On a beau l'avoir vu une dizaine de fois, on ne s'en lasse pas... Je conseille à toutes les personnes qui ne l'ont pas encore regardé, croyez moi, vous louperiez un chef d'oeuvre !
Avec "Le cercle des poètes disparus", Peter Weir nous livre un bel hymne à la vie et à la liberté. C'est un film relativement simple dans sa mise en scène ou sa réalisation, c'est même très classique, mais le fond l'emporte sur la forme. L'intensité dramatique est présente et surtout est assez forte et l'histoire est vraiment bien et captivante. Sortir du conformisme d'une société qui nous entoure, vivre comme on l'entend et comme on le veut, c'est ce que nous dit "Le Cercle des poètes disparus". Le cadre du film est parfait, une belle école, de beau paysage, tout ceci nous donne une belle photographie. Certaines scènes sont vraiment bien faite et d'autres très belle (le départ dans la neige). Et à l'image de la poésie lue dans le film, des touches lyriques ressortent. La réussite du film doit aussi beaucoup aux acteurs, que ce soit Robin William ou tous les jeunes écoliers, tous très bon sans exception. C'est un film qui nous prend aux tripes, nous fait réfléchir et donne tout simplement envie de vivre. Carpe Diem !
Un film qui a bouleversé la jeunesse de beaucoup d'entre nous, très poignant, ils jouent très bien sur nos émotions ! Un hymne à la liberté et l'ouverture d'esprit !
"Le Cercle des poètes disparus" parle d'un lycée prestigieux, qui va connaître un tragique événement, mais cela, le spectateur ne le sait pas forcément lorsqu'il commence à visionner le film. C'est la rentrée et une bande de lycéens découvrent leur nouveaux professeur, un en particulier est très différents des autres. En effet, leur professeur de littérature anglaise présente une méthode d'enseignement qui diverge avec celle des programmes et manuels scolaires. Robin Williams incarne avec brio ce professeur atypique, et ajoute au personnage une touche dramatique. Le début du film est donc intéressant, montrant les cours originaux du professeur. Puis, pendant presque une heure, le spectateur observe les lycéens dans leur quotidien souvent beaucoup moins original, ces derniers ont retenu une leçon de leur professeur en particulier, "Carpe Diem". Alors, on s'attend à les voir faire des choses extravagantes, mais pas du tout. L'un cherche à jouer au théâtre, l'autre veut sortir avec une jolie fille. Et cela finit par aboutir à un événement tragique qui est donc peu crédible. Malgré cela, la fin est assez touchante. De plus, quelques scènes du film sont très bien tournées, avec beaucoup de légèreté. "Le Cercle des poètes disparus" n'est pas un grand film, mais il est globalement bien tourné et bien joué, si le film manque de substance, ce manque est compensé par l'excellent Robin Williams et d'une fin assez émouvante.
En 1990, Peter Weir (Master and commander, Les chemins de la liberté) frappe très fort avec « Le cercle des poètes disparus ». Véritable ode à la liberté de penser, ce film bouscule la rigidité et l’académisme qui règne dans certaines hautes écoles. Cette profonde réflexion sur les pressions subies par les élèves, l'omnipotence de certains professeurs et les exigences des parents donne une œuvre humaine et sensible qui touche le plus grand nombre. La dimension artistique, littéraire et poétique, développée par le réalisateur, accroît encore ce vent de liberté qui tente de bousculer le système. Parallèlement, il fait toucher du doigt que l'enseignant, même le plus libéral, influence forcément la personne qui l'écoute, avec des conséquences parfois dramatiques. La classe de ce professeur hors norme reste toutefois un espace de liberté dans lequel on se retrouve et qu'on idéalise... Ça donne envie de monter sur le bureau pour voir le monde sous un angle différent. Encore une petite chose, Robin Williams est un acteur extraordinaire et ce rôle lui va comme un gant.
Un film purement Hollywoodiens ne lésinant pas sur les effets quitte à en faire trop. Il n empêche il arrive à être efficace en suivant ce professeur de littérature non conventionnel qui secoue les conventions pour donner le goût de la vie à ses élèves. Le casting est excellent Robin Williams trouve ici un de ses rôles les plus marquants et lui collant à merveille.
Avec "Le cercle des poètes disparus", Peter Weir nous livre un bel hymne à la vie et à la liberté. C'est un film relativement simple dans sa mise en scène ou sa réalisation, c'est même très classique, mais le fond l'emporte sur la forme. L'intensité dramatique est présente et surtout est assez forte et l'histoire est vraiment bien et captivante. Sortir du conformisme d'une société qui nous entoure, vivre comme on l'entend et comme on le veut, c'est ce que nous dit "Le Cercle des poètes disparus". Le cadre du film est parfait, une belle école, de beau paysage, tout ceci nous donne une belle photographie. Certaines scènes sont vraiment bien faite et d'autres très belle (le départ dans la neige). Et à l'image de la poésie lu dans le film, des touches lyriques ressortent. La réussite du film doit aussi beaucoup aux acteurs, que ce soit Robin William ou tous les jeunes écoliers, tous très bon sans exception. C'est un film qui nous prend au tripe, nous fait réfléchir et donne tout simplement envie de vivre. Carpe Diem !
Un vrai chef d'oeuvre ! Le message du film est fort, la mise en scène est formidablement soignée, servie par des acteurs convaincants (Robin Williams, émouvant au possible, tient là l'un de ses plus beaux rôles), les images sont splendides, la musique de Maurice Jarre est une vraie réussite (et les quelques mesures de Beethoven ici et là donnent toujours autant de frissons), bref, c'est pour moi du grand et beau cinéma. Ce film m'a bouleversé, et je le revois avec toujours autant de plaisir et d'émotion.
Film du début des années 90 qui a révélé Robin Williams, Le cercle des poètes disparus a acquis grâce à son succès public un statut assez culte. De part son interprétation de qualité (Robin Willaims et les jeuneuses acteurs son très bons), son contexte parlant à tout le monde (l'adolescence et sa volonté de s’émanciper) et son propos fort (le "carpe diem" est dans tous les esprits), le film a marqué la génération précédente et n'a au final pas vraiment vieilli. Malgré tous ces bons points, il faut bien reconnaitre que la réalisation de Peter Weir n'est pas des plus intenses. Si le scénario est bon, le rythme ne l'est pas autant ce qui occasionne un certain nombre de longueur et si l'ennui n’apparait pas, c'est uniquement grâce aux acteurs tous inspirés. On pourra donc regretter que la puissance émotionnelle du film soit un peu terni par cette réalisation trop classique qui comporte cependant et heureusement quelques fulgurances à l’image de cette magnifique scène finale ou l'émotion parvient enfin au spectateur. Un bon film oui, culte oui. Un chef d’œuvre, quand même pas !