Votre avis sur Même pas mal ! (Dodgeball) ?
anonyme
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2,5
Publiée le 28 juin 2012
"Personne ne me fait saigner mon propre sang". Quand un film offre des répliques d'une telle grandeur philosophique, reléguant Hegel et Schopenhauer au rang de débutants de la pensée, on ne peut que s'incliner. Quand en plus le film en question est un festival de répliques scatos, homophobes et sexistes, il s'élève au niveau de pièces maîtresses comme Zoolander, Fou d'Irène et autres légèretés hollywoodiennes. Ben Stiller est axu côtés des frères Farrelly un pourvoyeur patenté de scénarios politiquement incorrects et, à ce titre, totalement indispensables dans le cinéma américain conventionnel. Il s'intéresse ici, avec Rawson Marshall Thurber, à la trop méconnue balle au prisonnier et en fait le prétexte de son nouveau film. Une pauvre salle de sport est menacée de rachat par une multinationale de la remise en forme. Pour sauver la salle "Monsieur tout le monde", une seule solution : gagner les 50 000 dollars du tournoi de balle au prisonnier. Le scénario est simpliste, pour ne pas dire inexistant, mais il n'est que le prétexte à des scènes hilarantes de violences contre des jeunes filles scouts, des Allemands, des blondes, des nains. Parfois les quatre à la fois. Défouloir jubilatoire, Même pas mal n'en oublie pas de servir sur un plateau d'argent des stars trop rares : David Hasselhoff, coach de l'équipe allemande, Chuck Norris, juge arbitre du tournoi, ou encore William Shatner, pour les fous fans de Star Trek. Sans oublier Lance Armstrong, le vainqueur de six Tour de France, qui donne la réplique à Vince Vaughn. Et il est excellent, nous faisant croire à son personnage comme lorsqu'il mimait la souffrance l'été sur les routes de France. Alors, n'hésitez pas à aller jouer à la balle au prisonnier avec tous ces cinglés. Il s'agit « d'un évènement plus excitant que la coupe du monde, les world series et la Deuxième Guerre mondiale réunis ». Rien que ça. Du lourd, du très lourd.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 15 novembre 2006
Quand les americains ne se prennent plus au serieux...une petite larme de rire pour Ben Stiller, ridicule à souhait, et une autre pour Rip Torn, exceptionellement loufoque.
anonyme
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2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Si vous êtes déprimés, si vous avez besoin de rire un bon coup, je vous invite alors à voir le film con de l'année : "Dodgeball". Le film part dans tous les sens et rappelle, dans son style, "Mary à tout prix". "Dodgeball" souffre de quelques longueurs, mais à ce niveau on s'en moque car on passe un bon moment. Faites vous plaisir : allez voir ce film.
anonyme
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2,0
Publiée le 20 janvier 2013
Humour très léger par rapport aux productions antérieures de la bande à Stiller. Oubliable.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Une comédie sympathique qui aurait pu etre encore mieux si elle ne s'était pas sentie obligée de céder par moments à l'humour trash malheureusement à la mode ces derniers temps.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Ok c'est gros et c'est gras! Mais un film qui montre un mec qui prend un ballon dans les valseuses ne peut pas réellement être mauvais!!! A voir entre potes avec de la bière!
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
C'est bien simple, pour moi, dire d'un film comique qu'il est à la "limite de la débilité profonde" est le plus beau compliment que l'on puisse lui faire. Alors fallait se douter que j'allais me ruer sur cette histoire de "tournoi de ballon-prisonnier". Seulement voilà, à part quelques jolis moments bien ciffonés (merci "Mitch - Mikael Knight" david hasselof) tout ca transpire un peu beaucoup trop le conventionnel et la guimauve. Bref, c'est dans le fond tellement niai, que ce n'est à conseiller qu'aux fans les plus hardcore de Mel Gibson.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Le film DEBILE par excellence mais peut ^tre un des meilleurs. En effet, j'ai toujours detesté çà et pourtant j'avoue qu'on se laisse prendre aux jeu. L'idée du concours de balle aux prisonniers est hilarant et on passe un bon moment avec des scènes cocasses des jeux de mots surprenants et des grimaces à tout va...un bon anti-stress de niveau maternelle...
anonyme
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2,5
Publiée le 20 décembre 2007
Une comédie sportive agréable mais prévisible qui nous ressort l'éternelle histoire des "gens moyens comme vous et moi, moches, chétifs (ou obèses), loosers, qui sont méprisés par les puissants-les-beaux-les-musclés mais qui vont quand même gagner à la fin". Pas de quoi faire la fine bouche pour autant grâce à un humour provocateur et volontiers cartoonesque et à la présence irrésistible de Ben Stiller.
2,5
Publiée le 6 mai 2024
Comédie des années 2000, DodgeBall est un film sympathique qui fait passer le temps. On rit un peu même si globalement ça ne vole pas très haut. Le scénario est mince et le casting est la plupart du temps à côté de la plaque. Ben Stiller est d’ailleurs en surjeu constant mais on va dire que par rapport à son personnage, ça passe (mention à la scène post-générique qui est géniale). Le plus gros point fort du film est finalement son aspect nostalgique d’une époque qui est déjà bien loin…
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Mouais moyen. J'aime bien Ben Stiller mais ça ne fait pas tout. On se marre quand même quelques fois.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
on va dire que ça se regarde pour une serie B

a ne pas regarder en cas de pluie
2,5
Publiée le 30 mars 2022
Une comédie américaine assez potache mais plutôt drôle dans l’ensemble avec des personnages attachants. Le film reprend ainsi le schéma narratif classique du coach aigri qui entraîne une équipe à la ramasse et c’est plutôt réussi.
Mais il est dommage que de nombreuses scènes aient été coupées alors qu’elles développaient les personnages. En plus, la continuité dans certaines scènes devient étrange et d’autres ont des passages incompréhensibles.
Et la fin du film n’est même pas la vraie fin : à l’origine, White Goodman ne devait pas franchir la ligne médiane et gagner contre Peter. Sauf que cette fin n’a pas plus aux spectateurs des projections test qui ont réclamé une happy end.
Ce n’est pas pour rien que sur le coffre des 5 millions de dollars, il est littéralement inscrit « Deus ex machina ». Car avant cette scène, rien ne laissait présager que Peter avait prévu quoi que ce soit contre White. C’était même carrément l’inverse puisqu’on le voyait abandonner et que seule la rencontre avec Lance Armstrong l’a fait changer d’avis à la dernière seconde.
La scène dans le générique de fin avec White Goodman redevenu obèse n’est ni plus ni moins qu’une critique aux spectateurs qui ont fait changer la fin : « Et voilà, vous êtes content maintenant ? Le gentil a gagné et le méchant a les boules. Et ben c’est une vache de surprise. J’adore les happy ends. Le seul problème du cinéma américain, il tolère aucune complexité. Vous voyez, c’est genre : « Me faites pas réfléchir, je veux seulement me distraire. » »
Je crois que ces dernières phrases résument assez bien les critiques qu’on peut faire pour cette fin.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
humour potache et bête mais bon ça passe quand meême un peu
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Ce film est complétement nul mais j'adore ce genre de film qui ne servent vraiment à rien sinon être de mauvais goût!!!

Un bon délire bien naze ce film.
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