Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Entre humour et autodérision, Ross McElwee dévoile l'importance de la cigarette en tant que mode de vie mais également comme moteur économique de la Caroline du Nord. Son oeuvre est aussi une belle réflexion sur la filiation dans laquelle deux mythes se répondent.
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L'ambivalence de notre rapport au monde, la vitale accoutumance des hommes à ce qui les pousse au tombeau, et jusqu'à l'illusion de conserver la vie en filmant les êtres qui nous sont chers, voilà, en somme, tout ce dont parle La Splendeur des McElwee, émouvant home movie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Un road movie intimiste qui devient un irrésistible reportage sur les habitudes tabagiques d'une certaine Amérique (...) On dirait du Michael Moore light une sorte de "Smocking for Columbine" malicieux, gentiment subversif et volontiers poétique.
Aden
par Philippe Piazzo
Cette Splendeur évoque à la fois l'industrie du tabac et tout un pan de l'histoire familiale de Mc Elwee (...) La longueur du film dilue l'intérêt jusqu'à ce qu'on comprenne le vrai sujet du film. Le plus important semble alors non plus le visible sujet du tabac mais l'invisible recherche d'un temps perdu, fixé sur pellicule : films de son enfance, photos jaunies...
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Souci généalogique, mensonges économiques, préoccupations écologiques et sanitaires : tout se mêle dans ce documentaire au rythme nonchalant. On n'est pas au Sud pour rien !
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le documentariste enquête sur sa famille, dynastie du tabac qui a peut-être inspiré jadis un film de Michael Curtiz. Hésitant et confus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Entre introspection et déballage, un documentaire subtil de Ross McElwee sur sa propre famille. Brouillant les pistes à dessein, le cinéaste a le mérite de (se) poser plus de questions qu'il n'apporte de réponses.
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) La splendeur des McElwee est passionnant quand le documentariste réfléchit à la frontière floue entre fiction et documentaire, à partir du Roi du tabac (...) Quand il s'interroge sur son histoire familiale McElwee parvient à être très pertinent et même parfois touchant. Le problème, c'est que le réalisateur fait toutes ses choses en même temps. Et qu'il englobe le tout d'une voix-off omniprésente, narcissique et soporifique. On ne sait plus trop où le film se dirige et il n'est alors pas rare que l'on décroche.
Première
par Olivier de Bruyn
Héritage moral, manipulations économiques, mensonges identitaires, hypocrisie des campagnes sanitaires...ce documentaire impressionniste entremêle les thèmes, les tonalités et entraîne sans souci dans son rythme nonchalant.
Télérama
par Marine Landrot
Asphyxié par le commentaire narcissique et traînassant de l'auteur, ce documentaire respire dès qu'il rencontre un visage. McElwee établit de subtiles connections entre des faits et des êtres que tout semblait séparer, et finit par dresser un réquisitoire antitabac implacable et salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Entre humour et autodérision, Ross McElwee dévoile l'importance de la cigarette en tant que mode de vie mais également comme moteur économique de la Caroline du Nord. Son oeuvre est aussi une belle réflexion sur la filiation dans laquelle deux mythes se répondent.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
L'ambivalence de notre rapport au monde, la vitale accoutumance des hommes à ce qui les pousse au tombeau, et jusqu'à l'illusion de conserver la vie en filmant les êtres qui nous sont chers, voilà, en somme, tout ce dont parle La Splendeur des McElwee, émouvant home movie.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Un road movie intimiste qui devient un irrésistible reportage sur les habitudes tabagiques d'une certaine Amérique (...) On dirait du Michael Moore light une sorte de "Smocking for Columbine" malicieux, gentiment subversif et volontiers poétique.
Aden
Cette Splendeur évoque à la fois l'industrie du tabac et tout un pan de l'histoire familiale de Mc Elwee (...) La longueur du film dilue l'intérêt jusqu'à ce qu'on comprenne le vrai sujet du film. Le plus important semble alors non plus le visible sujet du tabac mais l'invisible recherche d'un temps perdu, fixé sur pellicule : films de son enfance, photos jaunies...
Le Figaroscope
Souci généalogique, mensonges économiques, préoccupations écologiques et sanitaires : tout se mêle dans ce documentaire au rythme nonchalant. On n'est pas au Sud pour rien !
Les Inrockuptibles
Le documentariste enquête sur sa famille, dynastie du tabac qui a peut-être inspiré jadis un film de Michael Curtiz. Hésitant et confus.
Libération
Entre introspection et déballage, un documentaire subtil de Ross McElwee sur sa propre famille. Brouillant les pistes à dessein, le cinéaste a le mérite de (se) poser plus de questions qu'il n'apporte de réponses.
MCinéma.com
(...) La splendeur des McElwee est passionnant quand le documentariste réfléchit à la frontière floue entre fiction et documentaire, à partir du Roi du tabac (...) Quand il s'interroge sur son histoire familiale McElwee parvient à être très pertinent et même parfois touchant. Le problème, c'est que le réalisateur fait toutes ses choses en même temps. Et qu'il englobe le tout d'une voix-off omniprésente, narcissique et soporifique. On ne sait plus trop où le film se dirige et il n'est alors pas rare que l'on décroche.
Première
Héritage moral, manipulations économiques, mensonges identitaires, hypocrisie des campagnes sanitaires...ce documentaire impressionniste entremêle les thèmes, les tonalités et entraîne sans souci dans son rythme nonchalant.
Télérama
Asphyxié par le commentaire narcissique et traînassant de l'auteur, ce documentaire respire dès qu'il rencontre un visage. McElwee établit de subtiles connections entre des faits et des êtres que tout semblait séparer, et finit par dresser un réquisitoire antitabac implacable et salutaire.