Vanity fair, la foire aux vanités : Critique presse
Vanity fair, la foire aux vanités
Note moyenne
2,8
12 titres de presse
L'Express
Le Monde
Libération
MCinéma.com
Ouest France
Positif
Première
Studio Magazine
Télérama
aVoir-aLire.com
Ciné Live
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sans inspiration, mais avec des costumes froufroutants, des décors charmants et le joli minois de Reese Witherspoon (La Revanche d'une blonde) – qui semble aussi peu à sa place dans l'Angleterre du XIXe siècle qu'elle était à l'aise au volant de sa décapotable dans l'Amérique du XXIe –, Mira Nair adapte non sans cynisme le roman de William Makepeace Thackeray, et montre la manière dont la révolte de son personnage se retourne contre elle-même. A force de déployer des efforts pour intégrer un monde qui ne lui ressemble pas, la copie devient plus vraie que l'original, une audace que, après 2 h 20 interminables, la société lui fait payer au prix fort.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Ayon
Le paradoxe est au final celui d'une grosse machine kitsch, Lanciers du Bengale tramé de Grandes espérances (Pandjir et Waterloo, tillburys, adultères, éléphants, Cent Jours...), réduite à faire valoir décorativement l'exclusif rayonnement de Reese Witherspoon bout de femme renvoyant d'une moue de menton la concurrence Kidman et consorts Roberts ou Paltrow au rayon des serpillières.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Sur une mise en scène appliquée déployant scènes aux bougies et costumes colorés, Reese Witherspoon, présente à chaque plan, force l'admiration. Elle parvient à humaniser ce personnage au sang froid et faire oublier les longueurs d'une histoire à tiroirs où il se passe finalement peu de choses.
Ouest France
par La rédaction
Vaste programme quen Mina Fair étouffe au coeur d'une reconstitution appliquée dans le discours, et empesée dans ses décors et costumes. Reese Whiterspoon se démène, sans toujours avoir la dimension du rôle, parmi une distribution de prestige. Mais l'ensemble, très académique, ne dégage jamais le souffle et l'ampleur qui lui auraient permis de soutenir, même modestement, la comparaison avec Barry Lyndon .
Positif
par Adrien Gombeaud
Les femmes se baladent dans les salons, pouffent, soupirent, chuchotent des dialogues pleins de sous-entendus. Fascinée par le décor, Mira Nair est une nouvelle victime de son personnage. Le doux chant de la sirène, le froufrou de ses robes aveugle la réalisatrice. Elle ne dévoile le monstre que le temps d'une seconde : quand Reese Witherspoon jette à son miroir un fracassant regard de fauve. Pour un moment trop bref, apparaît ce que le film a négligé...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christian Jauberty
Les amateurs de films d'époque se régaleront du grand soin apporté aux détails des costumes et des décors. [...] Mais l'ambiguïté du personnage principal [...] nuit à la tension dramatique autant que les contraintes d'un récit qui couvre près de quatre décennies.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Les scénaristes ont sabré dans cette matière romanesque, mais Mira Nair sait lui donner du souffle et une réelle ambition plastique. Elle simplifie - trop ? - la personnalité de Becky (pas sûr que Reese Witherspoon ait tout à fait l'étoffe du personnage), mais se régale des seconds rôles, de Bob Hoskins au séduisant Jonathan Rhys-Meyers, belle gueule d'icône pop. Honnête travail illustratif, donc, qui donne illico l'envie de (re)découvrir le livre...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Reese Witherspoon est pourtant impeccable dans son rôle. Elle domine de haut un casting sans faille. Reste que l'intrigue, traitée de manière légère, donne dans l'accumulation de péripéties et de rebondissements à n'en plus finir (le film dure 2h20). On a l'impression d'assister à un feuilleton télévisé, avec une intrigue et des motivations tellement superficielles qu'elles auront bien du mal à passionner les spectateurs contemporains.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Zurban
par Y.Y.
Mina Nair se contente d'une lecture académique, façon BBC, du roman de Thackeray [...] reste que l'angleterre n'a jamais eu une aussi belle lumière que sous le regard de Nair.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Sans inspiration, mais avec des costumes froufroutants, des décors charmants et le joli minois de Reese Witherspoon (La Revanche d'une blonde) – qui semble aussi peu à sa place dans l'Angleterre du XIXe siècle qu'elle était à l'aise au volant de sa décapotable dans l'Amérique du XXIe –, Mira Nair adapte non sans cynisme le roman de William Makepeace Thackeray, et montre la manière dont la révolte de son personnage se retourne contre elle-même. A force de déployer des efforts pour intégrer un monde qui ne lui ressemble pas, la copie devient plus vraie que l'original, une audace que, après 2 h 20 interminables, la société lui fait payer au prix fort.
Libération
Le paradoxe est au final celui d'une grosse machine kitsch, Lanciers du Bengale tramé de Grandes espérances (Pandjir et Waterloo, tillburys, adultères, éléphants, Cent Jours...), réduite à faire valoir décorativement l'exclusif rayonnement de Reese Witherspoon bout de femme renvoyant d'une moue de menton la concurrence Kidman et consorts Roberts ou Paltrow au rayon des serpillières.
MCinéma.com
Sur une mise en scène appliquée déployant scènes aux bougies et costumes colorés, Reese Witherspoon, présente à chaque plan, force l'admiration. Elle parvient à humaniser ce personnage au sang froid et faire oublier les longueurs d'une histoire à tiroirs où il se passe finalement peu de choses.
Ouest France
Vaste programme quen Mina Fair étouffe au coeur d'une reconstitution appliquée dans le discours, et empesée dans ses décors et costumes. Reese Whiterspoon se démène, sans toujours avoir la dimension du rôle, parmi une distribution de prestige. Mais l'ensemble, très académique, ne dégage jamais le souffle et l'ampleur qui lui auraient permis de soutenir, même modestement, la comparaison avec Barry Lyndon .
Positif
Les femmes se baladent dans les salons, pouffent, soupirent, chuchotent des dialogues pleins de sous-entendus. Fascinée par le décor, Mira Nair est une nouvelle victime de son personnage. Le doux chant de la sirène, le froufrou de ses robes aveugle la réalisatrice. Elle ne dévoile le monstre que le temps d'une seconde : quand Reese Witherspoon jette à son miroir un fracassant regard de fauve. Pour un moment trop bref, apparaît ce que le film a négligé...
Première
Les amateurs de films d'époque se régaleront du grand soin apporté aux détails des costumes et des décors. [...] Mais l'ambiguïté du personnage principal [...] nuit à la tension dramatique autant que les contraintes d'un récit qui couvre près de quatre décennies.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Les scénaristes ont sabré dans cette matière romanesque, mais Mira Nair sait lui donner du souffle et une réelle ambition plastique. Elle simplifie - trop ? - la personnalité de Becky (pas sûr que Reese Witherspoon ait tout à fait l'étoffe du personnage), mais se régale des seconds rôles, de Bob Hoskins au séduisant Jonathan Rhys-Meyers, belle gueule d'icône pop. Honnête travail illustratif, donc, qui donne illico l'envie de (re)découvrir le livre...
aVoir-aLire.com
Reese Witherspoon est pourtant impeccable dans son rôle. Elle domine de haut un casting sans faille. Reste que l'intrigue, traitée de manière légère, donne dans l'accumulation de péripéties et de rebondissements à n'en plus finir (le film dure 2h20). On a l'impression d'assister à un feuilleton télévisé, avec une intrigue et des motivations tellement superficielles qu'elles auront bien du mal à passionner les spectateurs contemporains.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Zurban
Mina Nair se contente d'une lecture académique, façon BBC, du roman de Thackeray [...] reste que l'angleterre n'a jamais eu une aussi belle lumière que sous le regard de Nair.