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7 abonnés
822 critiques
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3,5
Publiée le 7 juin 2023
Justice sauvage est film d'action simple et basique. Steven Seagal castagne tout le monde avec ce scénario de vengeance simple et décomplexé, rempli de punchline. Un film qui s'enchaîne vite. Un bon defouloir.
Le meilleur de la filmographie de Steven Seagal avec désigné pour mourir, un bon Polar avec des scènes d'actions assez réalistes. Le casting est très bien, William Forsythe très convaincant. Film à voir
Rien que pour la scène du bar où Steven Seagal casse les nez à l'aide de ses poings, pieds et boules de billard aux durs de l'époque tels que Pinocchio et celle avec le mac au début du film et ses dialogues succulents, je donne une cote de 5 étoiles.
Revu Justice sauvage, Gino (Steven Seagal) va s'attaquer à un Caïd Richie Madano (William Forsythe) c'est pas le meilleur film un peu de la violence gratuite, mais sa fait le Job on sait qu'on regarde un Seagal et que sa va tartiné ds mandales ds la tronche ⭐⭐
Steven Seagal est un justicier sauvage contre l'injustice civilisée, le sergeant de police inspecteur detective méthode peu orthodoxe contre les gangsters mafieux sadiques, c'est une excellente réalisation. Il ne prend pas de gants de boxe, utilisation de poings américains quoi, c'est une force brute que l'on voit, he's crazy man ! Ses techniques d'aïkido pour expédier les adversaires machettes, c'est jouissif.
Je me demande si ce n'est pas le Steven Seagal le plus violent que j'ai vu et tout simplement le plus violent de toute sa carrière. Il s'agit d'un nouveau polar urbain produit par la Warner dans la lignée de Nico. Seagal y incarne un inspecteur de police aux méthodes musclées (c'est peu de le dire) chargé de calmer les agissements d'un excité moustachu tout en composant avec la mafia locale avec qui il est plus ou moins ami selon son humeur. Comme je l'ai dit, la violence y est très importante (outre ses poings et sa pétoire, Seagal utilise un peu tout ce qu'il trouve dans le décor comme une queue de billard, un hachoir ou un tire-bouchon) et rappelle celles des meilleurs Stallone/Schwarzenegger sortis une décennie avant : Commando, Double Détente, Cobra pour ne citer qu'eux. Ainsi, je n'ai même pas été surpris d'y retrouver Gina Gershon dans son habituel petit rôle de prostituée teigneuse. Et comme Seagal balance toujours une vanne entre deux coups de poing dans la figure, on est constamment tiraillé entre le film d'action premier degré et la parodie. Bien sûr, c'est inutile de chercher dans Justice Sauvage une quelconque vraisemblance. Apparemment, ce Gino Felino a carte blanche de la part de ses supérieurs. Ce qui lui permet de se balader en toute impunité avec un fusil à pompe en bandoulière et de mener seul une véritable chasse à l'homme ne pouvant se terminer que dans le sang (pour ceux qui en doutaient). Il ne sera jamais sérieusement mis en difficulté surtout dans le combat final qu'il maîtrisera de bout en bout. C'est bien simple, tous les sbires croisant son chemin se feront tous salement éclater la tronche un à un à tel point que j'en ai eu mal pour eux. Au moins, ça s'assume comme une série B ultra-violente alors que l'époque était en train de changer. Même si Steven ne peut s'empêcher de glisser ça et là de longs paragraphes hors-sujet sur son enfance ou la protection des animaux. Vu qu'il se comporte comme un bulldozer quand il n'est pas content, mon sens du sacrifice étant limité, je ne vais pas me risquer à le lui reprocher trop fort.
Ah Steven et ses films d'action . Certes ça vole jamais haut mais quand il défonce tout le monde je kiff Bien . Quelques scènes bien violente . On passe un bon moment mais ça reste De la série B quand même , des petits films pop-corn.
« Justice Sauvage » est un bon film d’action, dans le pur style de son acteur principal, Steven Seagal. Le rythme est cependant haché en raison de la volonté de la Warner Bros. d‘avoir un film plus court que ce que le réalisateur avait proposé. Le montage est donc chaotique par moment, offrant des scènes et des personnages incohérents. Les scènes de combat sont bien chorégraphiées et l’intrigue est usuelle. La distribution offre de bonnes prestations et plus particulièrement William Forsythe qui semble s’en donner à cœur joie dans un personnage de psychopathe drogué. Steven Seagal nous offre des tenues rocambolesques à la limite du ridicule. L’ensemble reste un divertissement agréable.
Comme quoi, même dans un film avec Steven Seagal, le réalisateur compte. Je vous rassure tout de suite : « Justice sauvage » n'est pas bon, mais n'empêche qu'avec le solide John Flynn derrière la caméra, le résultat devient tout de suite beaucoup plus potable. C'est ultra-simpliste voire assez basique, mais il y a du rythme, un premier degré assumé bien senti et un côté « fonceur » plutôt salutaire. On n'en retient pas grand-chose, mais c'est violent, plutôt bien fait et même Seagal apparaît (un peu) moins mauvais que d'habitude : de la série B pure et dure donc, mais regardable.
"Elevés ensemble dans les rues de New York, Madano et Gino ont suivi des voies différentes. L'un est devenu policier, l'autre un dangereux gangster à la gâchette facile." : ne vous attachez pas à ce synopsis trompeur, Richie Madano (William Forsythe) n'est pas un ami de Gino (Steven Seagal) dans ce film, et ils ne l'étaient pas avant. Au contraire, c'est Seagal qui le poursuit parce que Richie a pété les plombs et dézingue tout ce qui bouge, dont un de ses amis au début du film. C'est la course à qui le tuera plus vite entre notre Seagal, ici ex gamin des rues (version mafia, pas gangs), et la mafia (italienne, tant qu'à faire, puisque les films sur la mafia italienne marchaient encore au début des années 90, il semblerait). J'ai trouvé que le bazar que tout cela crée dans la rue est assez intéressant à suivre. A noter le rôle de policier de Jerry Orbach, acteur au rôle connu d'inspecteur dans New York District
Un des meilleurs films avec Steven Seagal, ce film s'éloigne un peu des codes du film d'action pour se rapprocher des films de gangsters ou policiers. La tension est palpable tout le long du film. spoiler: Malheureusement, la tension retombe régulièrement à cause d'un espèce de fil rouge avec un chien abandonné et recueillie par Steven, qui a été mis en place pour attendrir sa personnalité brutale et sans pitié. Mais globalement les séquences avec le chien ne servent à rien et on a une fin complètement en décalage avec le reste. Un bémol concernant la musique qui ne colle pas vraiment avec l'ambiance générale. Mais les fusillades, les combats et le reste sont très bien réalisés et traités. C'est une bonne surprise.
A Brooklyn, New York City. Dans le quartier italien gangréné par les gangs, la drogue et la violence. Un caïd merdique et camé jusqu'à la moelle abat un flic en pleine rue et ce, devant sa femme et ses gosses. Mauvaise idée car le flic en question est le meilleur pote d'un certain Steven Seagal. Et forcément, les choses ne vont pas en rester là, il va falloir régler les comptes. «Justice sauvage», voila un film auquel le titre correspond parfaitement. En effet, l'ami Steven va se venger à sa manière. C'est à dire sans fioritures, façon brute de décoffrage. On a droit à tout, absolument tout: les gunfights, les courses poursuites en bagnoles et les combats agrémentés des cassages de bras qui sont la marque de fabrique du père Seagal. Ce dernier endosse encore une fois le rôle du justicier sans peur et sans reproches qui va mettre les ripoux au tapis et qui va s'en sortir sans la moindre égratignure. Et encore, même lorsqu'il prend une bastos dans le gigot, il reste debout, ne ressent pas la douleur et continue à tout dézinguer. «Justice sauvage» est un film dans lequel la violence est reine et est aussi bien physique que verbale. Les balles transpercent allégrement la bidoche et font gicler le sang. Les insultes fusent à tout bout de champ. L'ami Steven, comme à son habitude est tout ce qu'il y a de plus monolithique, mais il est bien dirigé et la copie qu'il rend est loin d'être désastreuse. A contrario d'un William Forsythe qui surjoue complètement et qui tape vraiment sur le système. La B.O est aussi bien foutue composé notamment du puissant hard rock des Beastie Boys qui résonne à pleins tubes. Ce film n'est rien de plus, ni rien de moins qu'une simple histoire de vengeance sans finesse. Mais le divertissement proposé a suffisamment de gueule. C'est le principal.
Un polar brute, ultra violent... Une vendetta comme on n'en fait plus au cinéma. Mais malgré cela notre cher Steven se la joue invincible faisant du moulinet dans le vent et pratiquant outrageusement le cassage de bras gratuit et très franchement ça lassr un peu. Malgré un dynamisme dans la réalisation et une envie de nous faire connaître les bas fond de Brooklyn, le film est pénalisé par quelques scènes nanards montrant la supériorité du action hero.