Quel charme irrésistible ce chef-d’œuvre 1940 !! Mon héros folklorique populaire, avec cet acteur de cinéma, avec la série télévisée, endossant le costume de justicier tout de noir vêtu et le masque, c’est bien la musique jouée pour Zorro.
Le cavalier de la justice nocturne..... lalalala !! Aux horaires réguliers dans son emploi du temps, c’est l’hidalgo Don Diego de la Vega, citoyen californien, de l’aristocratie espagnole, sous sa gouvernance et la domination d’un despote.
Cruel gouverneur saignant à blanc l’économie californienne, ce peuple de fiction sociale, apporte son soutien au double homme noble masqué superhéroïque, la marque bien ancrée pour cette fine lame, face à l’injustice loi arbitraire imposé par ce synopsis.
Il s’en rempli plein de pièce d’argent récolté pour les mettre dans les coffres, il est révolté, rebelle, révolutionnaire, et très drôle, l’humour de la télévision, le combat d’un discret qui préfère ne pas se mêler des problèmes du pays.
Ça ne va pas fort selon ce scénario, au niveau économique qui aura des répercussions sur sa politique, comme dans l’histoire du reste de l’Amérique plus au sud, dirigé par Madrid, le royaume de la couronne d’Espagne.
La terre des ancêtres de Don Diego, né et vit pour la Californie, un dandy zen, excellent meilleur escrimeur par sa cohérence origine, un ange gardien symbole à la cause juste, son coeur bat la chamade pour cette belle romantique.
Elle attendra la surprise au balcon de sa chambre riche demeure familiale hispanique latino, avec valets autochtones, beaucoup de sérénité, le temps où les parents arrangent ces mariages, ça tombe bien pour un couple compatible en film.
Le lyrisme floral de Lolita, jeune fiancée et future promise mariée, une source d’inspiration littéraire, 1820 est le 19ème siècle, après le ménage combat coriace final joyeux allégresse population qui répond à la popularité du héros futé sauveur contre les oppresseurs.