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Un visiteur
2,5
Publiée le 30 septembre 2009
Le cultissime thème de Basil Poledouris manque cruellement à cette suite où la musique devient du coup trop discrète. Mais c'est toujours aussi subversif et violent.
Plus tourné action, cette suite n'a plus le charme de son illustre aîné. Et pour cause, Paul Verhoeven n'est malheureusement plus derrière la caméra. Robocop deuxième du nom restera néanmoins, dans les limites dans genre assez frivole, une agréable référence qui, avec un peu de recul, comblera les fans du premier.
Non Non Non et non! après ce que nous a livré Paul Verhoeven, ce fut impossible d'aller dans une telle médiocrité sonore des paroles et mouvements de Robocop! Un scénario très gaga nous est donné, avec des difficultés d'enchaînement, des acteurs moins bons qu'aux premier...Un film tout juste suvé par un bande originale signée Basil Poledouris très alléchante, et juste un corp de Robocop ressemblant au premier! Bref un film négatif sans aucune nécessité de rester dans la trilogie Rouboucop!!!
La suite aussi violente mais beaucoup moins pertinente que le 1er opus...Et ce malgré la réalisation de Irvin Kershner (L'Empire contre-attaque)... Beaucoup d'humour noir dans cette suite attendue
Changement de réalisateur mais toujours un super film fidèle au comic-book. Ce film est resté dans l’esprit du premier, belles musiques, atmosphère sombre, de très belles scènes d’action et de belles prouesses techniques. Belle distribution, belle histoire et des dialogues qui fonctionnent bien. Bref j’ai peu de choses à dire à part qu’il faut voir ce film. 14 / 20.
Une suite complètement raté qui met le paquet dans la provocation au détriment d'une histoire solide. En résulte des personnages ultra caricaturaux à la psychologie totalement survolée et une crédibilité inexistante (le gosse en parrain de la pègre, ridicule !...). C'est parfois drôle, mais l'ironie maitrisée du premier opus a laissé place à une bouffonnerie qui tente en vain de masquer une intrigue plus que faiblarde. On pensait avoir touché le fond avec cet épisode, mais sa suite réussira l'exploit de surpasser son aîné dans la médiocrité... Revoyez plutôt le premier, véritable classique de la S-F d'anticipation...
un film excellent pendant 1h15, la dernière demie heure est plus brouillonne et bâclé, néanmoins le style du film à de la gueule, la musique est tjs anthologique !!!
Recyclage complet d'un personnage qui,d'icône anti capitalisme s'est mué en produit de consommation pour d'jeunes dans le vent bien naze (faut dire aussi que le vent ça change de sens).On avait pas vu pareil retournement de veste depuis Rambo!
Très bonne suite dans l'ensemble !!! Certes , il n'égale pas le 1er opus qui est hors catégorie mais il n'en reste pas moins un très bon divertissement avec de bonnes scènes d'actions et un univers violent et sanglant !!! Peter Weller joue toujours à merveille son rôle de Robocop avec une vraie gestuelle de robot .... Les effets spéciaux sont correct même si quelques uns ont vieillit !! A noter également, une BO est toujours aussi bonne
Moins réussi que le premier opus, Robocop 2 reste toutefois dans la lignée du premier. Peter Weller reprend le rôle du justicier métalique, avec autant d'envergure. Dommage que le scenario ressemble étrangement au premier film. On apprécie également la BO toujours efficace et excellente...
Il y a des films qui prennent une valeur folle avec le temps. ROBOCOP 2 est de ceux-là. Il n'y a donc pas matière ici à s'énerver, car Irvin Kershner (responsable de la réalisation de L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE...) est quelqu'un qui a du talent. C'est même quelqu'un de très très malin, car en orientant le récit de ce RoboCop vers un tempo plus tranquille et plutôt bien pervers (faut voir comment le fameux "RoboCop 2" parvient à voir le jour...et comment la politique et l'économie sont traitées...) il fait en sorte de miser sur l'essentiel : décrire un monde qui va mal, de plus en plus mal. Certes, une journée de plus au montage aurait permis d'amener plus d'énergie dans le déroulement du récit, mais il faut croire que le choix d'un tempo tranquille est assumé, comme une sorte de rupture bien voulue avec le premier film. 5 ou 10 minutes de trop, cela n'a que peu d'importance quand on voit qu'un film reste cohérent, féroce, et surtout terriblement efficace dans l'action de sa dernière partie. Un film qui finit bien, c'est un bon film quelque part... Et là, ça finit plus que bien, car le combat final entre les deux robots est vraiment très impressionnant... c'est simple, en stop-motion je n'ai jamais vu de scène aussi forte. Kershner a tenu à employer un autre compositeur que Basil Poledouris pour la BO, beaucoup diront que c'est une erreur. Une erreur parmi d'autres, sans doute. Mais la musique de ROBOCOP 2 est loin d'être inintéressante, à l'écoute de celle-ci (isolée du film, ça aide aussi) on capte une vraie approche artistique, une volonté de bien faire, de marquer son emprunte. Attention à la vf qu'il faut éviter.
Une suite qui ne dégrade pas l'idée originale, bien au contraire. Robocop doit faire face à un nouveau fléau, une drogue appelée "NUKE" et qui s'injecte...dans la nuque! Quoi de plus normal?! Non, sans plaisanter, l'action est plus présente que dans le premier opus et le ptit robot morfle un max... La fin est spectaculaire avec l'affrontement finale entre les deux robots (je n'en dirais pas plus!). Impressionnant pour l'époque. Bon film.
Une suite très réussie. Robocop 2 joue un peu de dérision et de sentimental mais ne s'écarte pas du coté sombre du premier opus. Les scènes de combat sont très réussies notamment le combat final.
Une excellente suite de l’oeuvre de Verhoeven, Kershner a réussi à intégrer la même atmosphère morbide que le premier opus même si celui-ci est légèrement moins bon. Film très violent et glauque qui sied bien au film des années 80. Ont en fait plus des comme cela de nos jours, et c’est bien dommage. Les publicités sont d’un cynisme inouï, c’est vraiment fort.
Sortie deux ans après le succès de RoboCop, cette suite signée par le pourtant talentueux Irvin Kershner (L'Empire contre-attaque) n'a hélas pas l'étoffe de son prédécesseur. En effet, si le casting et le degré de violence demeurent les mêmes, nous ne retrouvons nullement la patte de Paul Verhoeven, lui qui avait éclaboussé son monde à travers une série de séquences gore à vomir. Ici, toujours autant d'action mais moins d'hémoglobine, cette séquelle visant un public un poil plus large. Finies la satire de la société américaine, terminés les souvenirs persistants de notre androïde torturé si ce n'est au début du film, où l'ex-femme d'Alex Murphy tente de savoir si son mari se cache bien sous l'armure de RoboCop, un thème hélas vite abandonné. L'intrigue se concentre sur le combat de notre héros contre un puissant cartel de la drogue ainsi que contre les nouveaux membres de l'OCP, ses employeurs ayant décidé de le remplacer par un nouveau venu : RoboCop 2. Et si le flic exemplaire Murphy a servi de base pour devenir un robot modèle, son successeur est un maniaque drogué (l'imposant Tom Noonan) qui va encore une fois échapper au contrôle de ses percepteurs. Vous l'aurez compris, le côté série B est ici plus poussé, la production balayant les thèmes chers à Verhoeven pour ne servir qu'un amas d'action et de violence certes très distrayants mais bien loin derrière le premier volet, plus dramatique. En bon yes-man, Kershner réussit tout de même à conserver l'univers futuriste instauré par le premier film, avec son Detroit ultra-violent et ses publicités déjantées, ne cherchant jamais à imposer sa propre patte. Enchainant donc les scènes d'action à une vitesse folle (dont un affrontement final des plus agressifs), le réalisateur américain parvient à servir une suite de qualité certes bien en deçà du chef-d'œuvre qu'est son prédécesseur mais néanmoins fort agréable.