Encore un excellent divertissement ! Enormément d'humour avec Peter Ustinov qui s'amuse , ça creve les yeux , dans le role d'Hercule Poirot. Pour moi c'est le meilleur dans ce role. La distribution est ravie aussi de participer à cette partie de Cluedo et le spectateur se prend au jeu ! Jubilatoire et à quand un autre film de ce genre ?
Les deux avis précédents ayant largement mis en avant leur admiration envers le film et l’œuvre d’Agatha Christie, il me sera difficile d’innover puisque j’ai autant apprécié le film qu’eux. On retrouve la victime, antipathique au possible, assassinée dans des circonstances apparemment invraisemblable, voire impossible. Notre détective belge (et non français :) préféré est sur les lieux pour résoudre cette curieuse énigme. Adieu ces vacances si méritées, il endosse la casquette d’enquêteur intransigeant et perspicace pour dénouer ce sac de nœud. Des suspects nombreux ayant comme par miracle tous un alibi et un mobile pour assassiner la victime. Une enquête qui piétine, mais seulement en apparence, car les petites cellules grises de Poirot ne cesse de fonctionner, même sous le soleil méditerranéen. Au final, Meurtre au soleil est un excellent film policier dont le dénouement est machiavélique d’inventivité.
Une réalisation de Guy Hamilton assez plate et datée. Le film relate l’enquête du célèbre détective Hercule Poirot sur une île de la Méditerranée où sont réunis dans un hôtel des membres de l’aristocratie. Jalousie, rivalités, perfidie entre ces différentes personnes apparaissent durant ce séjour jusqu’au meurtre d’Arlena Stuart Marshall. Hercule Poirot mène ses investigations suivant un raisonnement plutôt alambiqué. On se doute assez rapidement de l’identité du coupable et le scénario menant au dénouement parait de ce fait très besogneux. Ce film se suit cependant sans déplaisir mais en matière d’enquête policière, « Meurtre au soleil » n’est pas la meilleure adaptation d’un roman d’Agatha Christie. La composition sobre de Peter Ustinov est par contre à souligner dans le rôle d’un Hercule Poirot observateur et malicieux.
Encore une très bonne adaptation cinématographique d'Agatha Christie, dans la lignée des deux autres long- métrages. Ustinov, comme les autres protagonistes, y est magistral. Et final grandiose avec délicieux retournement de situation à la clé.
Si Peter Ustinov incarne parfaitement Hercule Poirot ; le film lui est moins réussi mais Meurtre au soleil reste un agréable divertissement. Ce suspense (qui en manque) nous offre aussi la présence trop rare au cinéma de Diana Rigg (éternel Emma Peel de Chapeau melon et bottes de cuir) dans le rôle d'une lady au comportement de garce.
Une très belle adaptation du roman d'Agathe Christie. L'enigme du meurtre est brillamment résolue par Hercule Poirot dans ce magnifique décor d'une petite ile grecque. Peter Ustinov campe parfaitement le personnage du détective belge avec cette pointe d'humour qui lui va si bien. Hamilton s'appuie sur une très bon casting pour incarner les différents suspects. Un film policier qui se suit avec plaisir et qui n'a pas vieilli.
Après le succès de ''Mort sur le Nil'', Peter Ustinov, suave et truculent (comme d'habitude) reprend le rôle d'Hercule Poirot pour une nouvelle enquête. Le principe est le même : un cadre exotique, un meurtre, que des suspects, quelques questions et puis l'inévitable réunion où Poirot démasque le coupable. Réalisé sans grand génie par un Guy Hamilton que l'on a connu plus inspiré sur les James Bond, ''Meurtre au soleil'' vaut surtout le détour pour le plaisir que l'on éprouve à sa vision. Comme chaque adaptation d'Agatha Christie, on se régale à voir les personnages évoluer (tous incarnés par un sacré casting, allant de Maggie Smith à Diana Rigg en passant par Jane Birkin, Roddy MacDowall et James Mason) et on tâche toujours de deviner le coupable avant Poirot (ici il est un peu prévisible). Genre à part entière, ce whodunit n'a jamais totalement perdu de sa saveur, aidé par la truculence de Ustinov et par une intrigue aux petits oignons, baignée dans une atmosphère délicieusement rétro...
Adaptation luxueuse des Vacances d'Hercule Poirot d'Agatha Christie par le réalisateur des James Bond avec Sean Connery et Roger Moore. Luxueuse parce qu'on est sur ce qui ressemble de près à une île paradisiaque. Un décor de rêve pour un groupe de vacanciers de la haute société. Un huis-clos dont la reine du crime s'en était fait la spécialité. Tous les invités sont louches. Ils sont tous des coupables en puissance. Ils avaient tous une bonne raison d'en vouloir à la victime : jalousie, argent, vieille rancune. Les motifs peuvent être nombreux. Le problème, c'est qu'ils ont tous des alibis en béton comme c'est souvent le cas. Peter Ustinov incarne un Hercule Poirot maniéré au possible, cabotin, prétentieux comme dans le roman. Ses méthodes que d'interroger minutieusement chaque témoin, de faire la synthèse de toutes ces informations et ainsi en déterminer le coupable est sa marque de fabrique. La révélation finale au cours d'une grande réunion permet d'admirer le talent de ses petites cellules grises. Le plus important étant moins l'identité de l'assassin que le cheminement intellectuel du détective pour parvenir à le démasquer. Guy Hamilton ne trahit pas l'esprit de la célèbre romancière et on reste bouche bée devant les déductions de Poirot. Il est comme l'inspecteur Columbo. Son aspect pittoresque endort la méfiance. On ne le prend pas au sérieux jusqu'à ce qu'il donne la clé du mystère. J'avais lu le roman à plusieurs reprises donc le coup de théâtre n'en était pas un mais peu importe. Perdure l'atmosphère inimitable, très "vieille Angleterre", des romans.
L'histoire est passionnante, Agata Christie est une romancière de génie. L'ambiance est grandiose et sympathique, et l'histoire est très bien ficelée. Un bon petit film avec des acteurs charismatiques. L'atmosphère du début du siècle et sur une île en Albanie. Un meurtre bien ficelé.
Durant des années Hercule Poirot et sa créatrice Agatha Christie auront marquer à jamais la littérature anglaise et mondiale, ce dernier aura connu tant d'aventures papiers que télé avec sa série éponyme à succès et ses nombreux interprétés. Ayant lu un article complet dans "Film's" sur les genres policiers/énigmes, il était proposer ce dernier avec une autre aventure d'Hercule. Pour celle-ci il est évident qu'il s'agit personnellement d'un navet en raison d'une longueur des événements, sur 2h, 1h de rien si ce n'est qu'entendre ces bourgeois s'entre traité de tous et rien, critiques envers les "snobes" ou insultes... Du bling bling en surenchère et des attitudes m'ayant radicalement gonfler. Quant à Poirot, il n'est qu'un acteur de théâtre récitant un script à la bonne manière de cette époque. Du théâtrale navrant, des costumes et accessoires sur-puissant en termes de gros sous qui fini par rendre cette aventure policière en vrai naufrage scénaristique, même ma très chère Maggie Smith n'à rien pu sauver. CQFD
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3,0
Publiée le 14 décembre 2021
On ne prèsente plus le cèlèbre, "Evil Under the Sun", d'après Agatha Christie! Une enquête du truculent Hercule Poirot alias Peter Ustinov! Le film de Guy Hamilton fête aujourd'hui ses quarante ans et c'est devenu un classique du genre incontournable! Pour une enquête èlègante et distrayante, c'en est une! On profite une fois de plus des lumières du dètective belge pour passer si on peut dire des vacances de rêve au soleil! Un ciel bleu, un soleil èclatant, des criques idylliques mais partout on peut trouver le Mal sous le soleil de la splendide Cala del Monjo à Majorque! Distribution prestigieuse (James Mason, Maggie Smith, Diana Rigg..), humour so british, dècors luxueux, faux alibi et une dèmonstration brillante de Ustinov! Que demandez de plus si ce n'est une tisane matinale de menthe poivrèe chère à Poirot ?
Un Hercule Poirot un plat sans grande saveur. Le scénario n offre que peu de surprises, les personnages ne m ont pas vraiment emballé et même le décor est inférieur à ce qui a pu être fait sur « Mort sur le Nil » ou « le crime de l Orient Express ».
Une adaptation sympathique sur une île aux décors paradisiaques où se cache rancœur et jalousie, et où Peter Ustinov s’en donne à cœur joie pour démêler le fil d’une intrigue tirée par les cheveux.