Shall we dance ? La Nouvelle vie de Monsieur Clark : Critique presse
Shall we dance ? La Nouvelle vie de Monsieur Clark
Note moyenne
2,2
14 titres de presse
Ciné Live
MCinéma.com
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
L'Express
Le Monde
Libération
Ouest France
Positif
Première
Studio Magazine
Télérama
Zurban
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Franz Miceli
Richard Gere et Jennifer Lopez portent sur leurs frêles épaules, ce long métrage aux accents de bluette sympathique. [...] Et parce qu'il fallait quand même jouer de psychologie, Susan Sarandon et Stanley Tucci campent des personnages secondaires dont les fêlures apparaissent sous le vernis de leurs vies bien rangées. [...] Au final, on n'échappe pas au traditionnel happy end : accolades, bisous et rires de circonstance. Un moment agréable mais vite oublié.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Téssé
Entrez dans la danse : épuisé au premier mambo, un masque mou de pâte à modeler en forme de visage, Gere passe le cap quinqua comme il peut, c'est à dire mal.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Téssé
L'esprit de sérieux, le désir de profondeur là où il n'y en a pas, c'est comme les oxymores, ça ne colle pas. Alors voilà, c'est perdu : Shall we dance ? a mille fois moins de charmes que la moindre bluette cul-cul avec Meg Ryan.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Plus le film avance, plus le sourire que Richard Gere laisse flotter sur ses lèvres s'élargit, car dans cet univers improbable, danser devant un jury avec une partenaire en lamé est le comble de l'extase. Quant à Susan Sarandon, en épouse stupéfaite par cette passion secrète, elle joue avec une intensité tragique qui fait planer un doute : le penchant caché de son mari serait-il le cannibalisme, et non le fox-trot ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Vincent Ostria
Seule originalité de cette bluette d'un autre âge : le fait que l'adultère reste à l'état de projet. Sorti de là, c'est une comédie mollasse sur les joyeusetés de la danse de salon, avec des personnages exubérants (entre autres, une blonde vulgaire et gouailleuse) qui éclipsent presque les ennuyeux héros incarnés par Richard Gere et la gironde Jennifer Lopez.
Ouest France
par La rédaction
Rien de ce que vous allez imaginer. On reste dans le droit fil de la morale d'un mélo politiquement correct. [...] Confondant de gnangnanterie.
Positif
par Grégory Valens
Reste une question à laquelle ni la réalisation indigente (on a rarement vu des séquences de danse si peu mises en scène et si mal découpées) ni la morale réac de l'entreprise n'apportent d'elément de réponse : pourquoi réutiliser le titre d'un film avec Fred et Ginger (...) puisqu'il ne s'agit pas d'un remake ?
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christian Jauberty
Ce remake d'un gros succès du box-office japonais bénéficie d'une distribution qui ne manque pas de charme. Mais avec une intrigue aussi mince, il aurait fallu que le sujet soit traité avec davantage de passion et que la réalisation soit moins pataude pour espérer nous entraîner dans la danse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Grégoire Hardy
Entre deux cabrioles sentimentales, les dialoguistes en sont réduits à disserter sur les problèmes de sudation de chacun. Et le climax émotionnel est atteint quand Richard, au beau milieu du concours de danse tant attendu, déchire la robe kitschissime de sa partenaire...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Un film hybride, ni enthousiasmant ni navrant, ni comédie romantique ni comédie de moeurs, avec un traitement parfois subtil mais une fin moraliste. Des clichés, des niaiseries, mais un charme évident et des seconds rôles payants.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Peter Chelsom, qui n'a pas toujours fait dans la dentelle (Potins mondains, c'était lui) ne définit ses personnages qu'à travers des stéréotypes, des situations convenues et une mise en scène qui se veut classique, mais qui est finalement fort indigente, avec son recours fatigant à un éclairage orangé totalement artificiel.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Richard Gere et Jennifer Lopez portent sur leurs frêles épaules, ce long métrage aux accents de bluette sympathique. [...] Et parce qu'il fallait quand même jouer de psychologie, Susan Sarandon et Stanley Tucci campent des personnages secondaires dont les fêlures apparaissent sous le vernis de leurs vies bien rangées. [...] Au final, on n'échappe pas au traditionnel happy end : accolades, bisous et rires de circonstance. Un moment agréable mais vite oublié.
Cahiers du Cinéma
Entrez dans la danse : épuisé au premier mambo, un masque mou de pâte à modeler en forme de visage, Gere passe le cap quinqua comme il peut, c'est à dire mal.
Chronic'art.com
L'esprit de sérieux, le désir de profondeur là où il n'y en a pas, c'est comme les oxymores, ça ne colle pas. Alors voilà, c'est perdu : Shall we dance ? a mille fois moins de charmes que la moindre bluette cul-cul avec Meg Ryan.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Plus le film avance, plus le sourire que Richard Gere laisse flotter sur ses lèvres s'élargit, car dans cet univers improbable, danser devant un jury avec une partenaire en lamé est le comble de l'extase. Quant à Susan Sarandon, en épouse stupéfaite par cette passion secrète, elle joue avec une intensité tragique qui fait planer un doute : le penchant caché de son mari serait-il le cannibalisme, et non le fox-trot ?
Libération
Seule originalité de cette bluette d'un autre âge : le fait que l'adultère reste à l'état de projet. Sorti de là, c'est une comédie mollasse sur les joyeusetés de la danse de salon, avec des personnages exubérants (entre autres, une blonde vulgaire et gouailleuse) qui éclipsent presque les ennuyeux héros incarnés par Richard Gere et la gironde Jennifer Lopez.
Ouest France
Rien de ce que vous allez imaginer. On reste dans le droit fil de la morale d'un mélo politiquement correct. [...] Confondant de gnangnanterie.
Positif
Reste une question à laquelle ni la réalisation indigente (on a rarement vu des séquences de danse si peu mises en scène et si mal découpées) ni la morale réac de l'entreprise n'apportent d'elément de réponse : pourquoi réutiliser le titre d'un film avec Fred et Ginger (...) puisqu'il ne s'agit pas d'un remake ?
Première
Ce remake d'un gros succès du box-office japonais bénéficie d'une distribution qui ne manque pas de charme. Mais avec une intrigue aussi mince, il aurait fallu que le sujet soit traité avec davantage de passion et que la réalisation soit moins pataude pour espérer nous entraîner dans la danse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Entre deux cabrioles sentimentales, les dialoguistes en sont réduits à disserter sur les problèmes de sudation de chacun. Et le climax émotionnel est atteint quand Richard, au beau milieu du concours de danse tant attendu, déchire la robe kitschissime de sa partenaire...
Zurban
Un film hybride, ni enthousiasmant ni navrant, ni comédie romantique ni comédie de moeurs, avec un traitement parfois subtil mais une fin moraliste. Des clichés, des niaiseries, mais un charme évident et des seconds rôles payants.
aVoir-aLire.com
Peter Chelsom, qui n'a pas toujours fait dans la dentelle (Potins mondains, c'était lui) ne définit ses personnages qu'à travers des stéréotypes, des situations convenues et une mise en scène qui se veut classique, mais qui est finalement fort indigente, avec son recours fatigant à un éclairage orangé totalement artificiel.