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Fabios Om
50 abonnés
1 269 critiques
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3,5
Publiée le 18 juillet 2024
C'est un excellent film qui comporte du suspense et de très bonnes scènes , de plus le Londres de l'époque victorienne est bien reconstitué. Le film réalisé par Michael Crichton,d'après son propre roman,conserve un côté désuet,qui n'est pas déasagréable.Il est riche en bons mots.Même si l'on sait comment cela va finir,c'est un scénario toujours accrocheur lorsqu'il est bien traité. Sans égaler un Ocean's eleven, ce film de cambrioleurs de 1979 est vraiment plaisant à voir. On suit chaque étape de la mise en oeuvre avec une attention particulière, émerveillé comme un gamin. Même si c'est un vieux film et donc que le rythme est plus lent que les films actuels, ce film reste un très bon film que l'on a plaisir à voir ou revoir.
Pour nous faire oublier James Bond, Sean Connery se fait pousser la barbe mais son charisme est toujours présent. Donald Sutherland, lui, toujours les traits d'humours qui le caractérise. Sans oublier, le panache de la réalisation et du scénario, d'un brillant romancier américain, Micheal Crichton; sans temps mort, bourré de gags, de bonnes idées. Et le suspens, le finale ! J'ai passé un agréable moment !
Ce film invraisemblable du début à la fin aurait dû s’appeler « La préparation de l’attaque du train » car, en réalité, il n’est quasiment question que de cela.
Aussi le réalisateur nous inflige-t-il pendant une heure et demie d’interminables préparatifs qui suscitent d’autant plus l’ennui, qu’ils ne sont guère intéressants.
Reste un beau livre d’image, mais cela ne suffit pas pour emporter l’adhésion.
Portrait d’un escroc de haut vol, rôle dans lequel Sean Connery se délecte… Scénario redondant dans lequel les personnages passent leur temps à réussir des trucs impossibles. Charmante reconstitution de l’époque victorienne et photo soignée.
Oserai-je le dire ? Oh oui, j'ose le dire : ce film est un véritable régal. Tout fonctionne parfaitement du début à la fin. L'histoire, en plus d'être intelligente) est cohérente du début à la fin, rien n'est laissé au hasard. Le rythme est soutenu du début à la fin, pas la moindre petite baisse de régime en vue. De l'humour est régulièrement injecté via des allusions sexuelles aussi peu subtiles que désopilantes. De plus, à l'image de son final, le film se paie le luxe d'être totalement immoral. Et, pour clore se tableau de la meilleure des façons, l'interprétation est absolument remarquable. Sean Connery et Donald Sutherland (pour ne citer qu'eux) sont juste géniaux. Une note maximale amplement méritée et punaise, des films comme ça, j'aimerais en voir tous les jours.
Un film d'action où l'on voit surtout Sean Connery et aussi un peu son duo avec Donald Sutherland. L'époque 1855 est pas mal reconstituée et c'est intéressant de ce point de vue. L'humour est existant mais un bon nombre de scènes sont trop crues, macabre. Si Sutherland est bien dans l'humour, Connery beaucoup moins et son caractère trop pêchu écrase le film. Bien réalisé mais au final pas si recommandable que cela entre sordide, vanité de toute part et truanderie. La fin bien naïve et assez ridicule finit pas achever le fait de ne pas valider l'esprit bien pédant et beaucoup moins subtil qu'il n'y parait de ce film.
Ambiance victorienne pour braquage ferroviaire rétro. Sympathique mais pas nécessairement servi par sa fluette mise en scène durant sa première heure. Le film rebondit heureusement au moment de l’attaque proprement dite avec Donald Sutherland de l’intérieur et Sean Connery de l’extérieur et sans filet.
Une sorte de mission impossible en 1855 ! Le film est très simpat, film d'époque avec beaucoup d'action, deux très bon acteurs Sir Sean Connery et Donald Sutherland qui forme un bon duo avec aucune ennuie, à découvrir.
"La grande attaque du train d'or" n'est pas le film le plus connu de la carrière de Sean Connery mais il procure un certain plaisir lié à sa belle mécanique aventureuse. Après une introduction rapide et efficace (connaissance des personnages détenant les clés du coffre-fort, emplacement de celles-ci, engagement de l'acolyte), le film déploie chacune de ses actions – lesquelles correspondent aux ruses permettant de voler les clés – dans un savoureux mélange d'humour et de suspense. Hormis la très réussie attaque du coffre, le point d'orgue réside dans la séquence de la gare où les préparatifs ainsi que le vol de la clé sont filmés avec une précision qui décuple le plaisir du spectateur. Quand bien même le film paraît à certains moments improbablespoiler: (le personnage de Donald Sutherland, déguisé en cadavre pour accéder au wagon décisif) , il réussit son dosage entre premier degré et légèreté en alternant justement entre quelques scènes violentes spoiler: (l'évasion douloureuse d'une prison, le meurtre du traitre) et des stratagèmes rocambolesques nécessaires à l'obtention des fameuses clés. En somme, Michael Crichton signe un film modeste, qui en fait parfois trop mais néanmoins rondement mené.
Une histoire de casse en pleine époque victorienne et avec Sir Sean Connery dans le rôle principal d'un dandy voulant réussir le fameux casse impossible : volé de l'or dans un train en marche. Sur le papier c'est classe et excitant, a l'écran ce n'est pas la même limonade : beaucoup trop plan-plan et sans aucune innovation dans le genre (a part l'époque). Néanmoins j'ai été stupéfait de voir Connery réaliser lui-même ses cascades, et c'est bien la première fois que j'ai eu peur pour un acteur (vu qu'il n'était pas un habitué des cascades), surtout qu'à quelques centimètres près l'acteur y passait. SPOILER : par contre le final est vraiment expédié, d'ailleurs je n'ai pas compris pourquoi il a été arrêté !
Voilà un casse passionnant à suivre qui paraphrase les tensions intestines de l’ère victorienne : derrière une lutte opposant les malfrats aux forces de l’ordre se rejoue une lutte des classes dans laquelle les bas-fonds accèdent à la lumière et disposent de leur moment de gloire, aussi bref soit-il. Sorte de Robin des Bois classieux qui agit avec élégance, le héros de cette aventure compose une équipe exclusivement formée de marginaux et s’amuse à détourner les artifices déployés par une société soucieuse de se distinguer : notre James Bond en costume d’époque brise la chasteté qu’un langage raffiné exige pour, en lieu et place, cultiver la grivoiserie, s’agite nu dans son lit en attendant que sa bien-aimée vienne le rejoindre, bien-aimée qu’il n’hésite d’ailleurs pas à sacrifier sur l’autel de la réussite. Tout homme respectable n’est pas si respectable et a un vice caché : le sexe, les jeux d’argent, tout y passe, et c’est jubilatoire. Pourtant, La Grande Attaque du train d’or ne vaut pas que pour son brûlot politique : sa très grande force, il la tire de sa construction et de l’aventure romanesque qu’il y souffle. L’attaque du train à proprement parler, une fois les préliminaires achevés, offre un modèle dans le découpage des plans et la dynamique des scènes, offrant au cinéma l’un de ses cambriolages les plus impressionnants. Et que serait le film sans la partition signée Jerry Goldsmith, tantôt espiègle tantôt épique, qui traduit en musique toute l’ambition de Crichton ? Une grande, très grande Attaque, donc, qui a l’intelligence d’insérer dans une œuvre de divertissement un propos politique fort et pertinent redoublé d’une effronterie tonale. Car tout le film se bâtit sur la métaphore filée de l’acte sexuel : trouver les clefs pour ouvrir le cœur, ravir le trésor, s’en repaître. Seulement, le séducteur moderne ne vise plus les femmes, mais l’argent. Telle est la réponse professée au tribunal et cause de l’hilarité générale. C’est ce nouveau dieu-argent qu’il s’agit de défier, au-delà de la morale que la société victorienne, si elle se plaît à en hurler les principes, bafoue ouvertement. Une œuvre brillante.
Ce film, tiré d'une histoire de Crichton et réalisé par lui-même est un peu décevant. D'une part le film a un peu vieilli, les scènes d'action manquent un peu de peps et de fluidité, et les décors aussi semblent avoir mal vieilli. D'autre part Crichton a écrit de bien meilleures histoires à mon avis, Timeline, Westworld, Urgences, pour ne citer que mes préférées. Néanmoins voir Connery et Sutherland joués dans ce film est déjà un plaisir. Bien que la fin du film semble à mon avis expédiée bien trop vite. Je ne sais pas si c'est pareil dans le livre ou pas mais dans le film, on passe d'un vol qui semble avoir réussi, à une arrestation pour un motif inconnu et finalement à une évasion réussie en quelques minutes seulement.
Un film de Gentleman cambrioleur (encore que, pas tout-à-fait) qui vaut surtout par l'atmosphère 19ème siècle très british qui est bien rendue. Le scénario est assez linéaire, les personnages bien typés et donc sans surprise. La scène de déplacement sur le train, même si elle est bien filmée, n'a à mes yeux rien d'exceptionneL. Au total, un film distrayant, mais pas un grand film
Si Jules Verne avait écrit un film de braquage, Crichton aurait réussi son coup. L’adaptation imaginaire est excellente. Le film fleure bon les années 1850. Il a totalement la patte d’un tour du monde surtout au début où le vol est presque l’enjeu d’un pari. Pour l’aventure, on restera indulgent: le rythme n’est pas vraiment trépidant..... mais il a ce charme suranné et la reconstitution est assez belle avec sa fin pleine de panache.
Film occupationnel. C'est techniquement bien fait et le scénario est goguenard. Mais rien de transcendant. Du cinéma académique et de l'action à la Arsène Lupin dans un décorum victorien (relativement cynique). Que dire de plus ... des situations peu crédibles et des personnages, à la psychologie caricaturale, donc eux aussi peu crédibles. Le tout n'est pas déplaisant, mais il ne suscite pas d'émotion. Bref, film qu'on voit passivement pour occuper le temps...