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Un visiteur
3,0
Publiée le 26 septembre 2013
friday est le genre de film qui s'adresse carrement au public du hip hop west coast!! certe avec un humour decaller tout au long du film , on plonge dans le ghetto black de los angeles pendant une journee!! avec en prime ice cube superstar du gangsta rap made in westside, et chris tucker plus barge que jamais!! accompagner de la sublime nia long!! un film comme je le repete destiner au public hip hop de la cote ouest sinon pour les autres passez votre chemin!! un film qui a bercer mon adolescence ,je l'ai revu avec beaucoup de nostalgie!! c'etait frais l'epoque 90's westcoast!!! un film qui ne lassera jamais les mordu du hip hop californien!!
Cette comédie Afro-Américaine est vraiment mortel , je peux re et regarder ce film , je n'arrive pas à m'enlacer, les acteurs sont attachant, quand je regarde ce film j'ai l’impression d'être moi même dans le film .
L'un des films de ce style les plus drôle . Mais...... il faut la voir en anglais - le doublage français est un désastre et l'équipe qui a massacré cette série pour la version francophone devrait être déportée en Corée du Nord.
Film sympathique et bien divertissant . On aprécie les personnages et on prend par à leur aventure quitte même à s'amuser de leur sort . Bonne surprise mais rien de poignant .
Retour dans les ghettos pour Ice Cube, qui, après le remarquable "Boyz'N the Hood", s'affiche aux côtés de l'inénarrable Chris Tucker pour une comédie rondement menée, qui serait presque une parodie du film de Singleton.
Une comédie Afro-Américaine pleine de clichés et de gags redondants. Des répliques aussi plates que possible et un ennui tout au long du film, face à des acteurs pitoyables, c’est ce que nous réserve F. Gary Gray avec Friday (1995), l’histoire de jeunes fainéants qui passent leur temps à fumer de la Marie Jeanne et à jouer les gros durs. Une histoire simpliste où l’on retrouve le rappeur Ice Cube et l’insupportable Chris Tucker (lequel, faute d’évoluer dans son jeu d’acteur fait de plus en plus de peine à voir, que ce soit dans la saga Rush Hour ou ici, où il enchaîne idioties et autres débilités ridicules à l’écran).
Tu rêves de connaitre l'emploi du temps d'un banlieusard américain un vendredi, pas vrai? Qui n'en rêve pas! Au programme de la journée, roulage de pétards, fumage de pétards, gros trip, drague de gonzesse, et rebelote, le tout vautré sur une chaise devant la maison. Non, j’oublie l'interlude baston, cambriolage et fusillade, mais ces quelques scènettes tiennent en une poignée de secondes, histoire de tuer le temps et de meubler. Le gros morceau se situe devant la maison, entre fainéantise absolue et bavardage ordurier. Plans fixes et gros dialogues sont à l'honneur. Tout un programme. Ce film, même un temps soit peu représentatif d'une certaine classe sociale, a été réalisé par un gros fainéant. Il n'y a aucune dynamique et surtout aucun intérêt, puisque même l'humour est risible. Ice Cube et Chris Tucker forment un duo qui aurait mérité davantage d’amplitude scénique. Les deux acteurs sont largement sous exploités. En matière de caricature de gangsta, on a déjà fait mieux. Et dire qu'un sujet aussi vide a engendré des suites. Les bras m'en tombent. 2/5
Début des années 90. Les films de ghettos noirs américains ont explosé, délivrant au monde la face cachée des banlieues ultra-violentes de Los Angeles avec des œuvres cultes comme Boys N the Hood, Juice ou encore Menace II Society. Ces films dépeignent une réalité glauque et effrayante qui ne prêtait pas vraiment à rire. Dès lors, une comédie va émerger en 1995 et montrer que l'on peut tout aussi bien en rire et que ces losers de South Central ne sont pas tous des apprentis gangsters mais aussi tout simplement des losers... Bien décidé à montrer le vrai quotidien des négros du ghetto, Ice Cube écrit, produit et joue dans Friday, ou les mésaventures d'un pauvre type et de son bordélique meilleur ami le temps d'un après-midi mouvementé. Craig (Cube) vient de se faire virer le jour où il bosse pas, glande rien de la journée et se fait martyriser par sa propre famille. Smokey (Chris Tucker dans son premier grand rôle) est du même gabarit : il accumule les combines foireuses, doit du fric à tout le temps et passe son temps à fumer des joints. Réunis, les deux lascars combinent leur farniente le cul enfoncé dans leur chaise de palier, matent le cul des filles ("Daaaaaaaaaamn !!!") et contemplent le quotidien déjanté de South Central. Mis à part une petite histoire d'amour et un règlement de compte final, Friday ne propose en soi rien de vraiment surprenant. Mais tout l'humour du film réside justement dans cette parodie de banlieusards américains présentés ici comme des glandeurs voleurs, menteurs et fumeurs de marijuana. Interprétés par des comiques d'envergure où tout le monde en fait des tonnes (Chris Tucker et John Witherspoon en premier), les personnages restent pourtant attachant et on suit avec un gros smile cette journée épique qui lancera le genre des comédies blacks de banlieues. Un film indéniablement culte de toute une génération.
Le film qui a donné le célèbre mème et qu'on retrouve sur l'affiche de la page Allociné du film. Je me disais qu'il était temps que je le regarde. Le casting me faisait envie et le statut culte me motivait. Quelle dégringolade ! Le film est franchement mauvais. Il ne raconte rien ou pas grand chose, il n'est pas du tout drôle et l'univers des 90's est ici tellement caricaturale que ça en devient très mauvais. J'ai perdu mon temps et suis très déçu !
Comedie culte fortement inspiré de Do the Right Thing et qui permetta à Chris Tucker et Ice Cube de se faire un nom dans le monde du 7ème art, Friday raconte les péripéthies de deux glandeurs dans une banlieue urbain le temps de 16h, tel une pièce de théatre. On y voit défilé tout un paquet de cas sociaux (le grand dur, la femme infidèle, le pasteur immoral, le drogué, le chômeur, le dealer...) qui permettra à tout un chacun de se reconnaitre. Adoptant un humour frais, con et gras sur un ton ensoleilé, il abord tout de même des sujets graves par rapport aux difficultés dans les quartiers.
Ce film est sympatique et parlera à tout un chacun.