Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Claude-Jean Philippe
(…) il m'est impossible de penser que le plaisir pris à un tel film n'est pas universel. N°137, novembre 1962
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noelle Tranchant
"Quand les faits se sont transformés en légende, publiez la légende " : telle est la morale paradoxale illustrée par Ford dans ce western testament (son avantdernier), qui est aussi un des plus beaux films sur la presse, entre faits bruts et interprétations héroïques. James Stewart et John Wayne, pour la première fois réunis, y sont inoubliables. Un grand chef-d'oeuvre à retrouver en copie neuve.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Avec une lucidité qui sera celle d'autres grands artistes du cinéma américain à ce moment-là (Hitchcock, Hawks), Ford exige un minimalisme proprement télévisuel pour ce qui se révélera une forme de synthèse de son art. Le film n'est pas seulement un chef-d'oeuvre (...) signé Ford, c'est aujourd'hui une pièce fondamentale de la culture américaine du XXe siècle, une méditation qui pense véritablement l'histoire de l'Amérique autant qu'un poème triste(...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Henry Magnan
Mise en scène : Parfaite, rapide, sans effet inutiles. 19/10/1962
Positif
par Barthélémy Amengual
(…) ce qui par-dessus tout m'attache à ce film (…) c'est la perfection et l'abstraction formelles qu'il doit à son exploration des possibilités structurales du western. N°243, juin 1981
Télérama
par Gilbert Salachas
La réalisation est d'une irréprochable qualité et témoigne de la part du cinéaste d'une maturité parvenue à son point d'équilibre. 14/10/1962
aVoir-aLire.com
par Marianne Spozio
Avec une brochette de comédiens magnifiques. Wayne d'abord - ce sera son dernier film avec l'ami Ford - dans un "petit rôle" (...) mais tout de même celui de véritable héros (...). Dans le rôle de l'homme de loi et politicien Stoddard, James Stewart est tout aussi convaincant. Mais celui qui crève l'écran en hors-la-loi cynique et cruel est un acteur qui jusqu'alors ne sévissait qu'en série B. Le formidable Lee Marvin signe ici une composition haute en couleurs qui le hissera bien vite tout en haut de l'affiche.Une oeuvre d'une grande force, un de ses meilleurs films, c'est certain
Le Monde
par Yvonne Baby
(…) ce "Ford" là souffre d'être comparé à la Chevauchée fantastique, dont il n'a ni le lyrisme ni le style inspiré. 13/10/1962
Cahiers du Cinéma
(…) il m'est impossible de penser que le plaisir pris à un tel film n'est pas universel. N°137, novembre 1962
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
"Quand les faits se sont transformés en légende, publiez la légende " : telle est la morale paradoxale illustrée par Ford dans ce western testament (son avantdernier), qui est aussi un des plus beaux films sur la presse, entre faits bruts et interprétations héroïques. James Stewart et John Wayne, pour la première fois réunis, y sont inoubliables. Un grand chef-d'oeuvre à retrouver en copie neuve.
Le Monde
Avec une lucidité qui sera celle d'autres grands artistes du cinéma américain à ce moment-là (Hitchcock, Hawks), Ford exige un minimalisme proprement télévisuel pour ce qui se révélera une forme de synthèse de son art. Le film n'est pas seulement un chef-d'oeuvre (...) signé Ford, c'est aujourd'hui une pièce fondamentale de la culture américaine du XXe siècle, une méditation qui pense véritablement l'histoire de l'Amérique autant qu'un poème triste(...)
Libération
Mise en scène : Parfaite, rapide, sans effet inutiles. 19/10/1962
Positif
(…) ce qui par-dessus tout m'attache à ce film (…) c'est la perfection et l'abstraction formelles qu'il doit à son exploration des possibilités structurales du western. N°243, juin 1981
Télérama
La réalisation est d'une irréprochable qualité et témoigne de la part du cinéaste d'une maturité parvenue à son point d'équilibre. 14/10/1962
aVoir-aLire.com
Avec une brochette de comédiens magnifiques. Wayne d'abord - ce sera son dernier film avec l'ami Ford - dans un "petit rôle" (...) mais tout de même celui de véritable héros (...). Dans le rôle de l'homme de loi et politicien Stoddard, James Stewart est tout aussi convaincant. Mais celui qui crève l'écran en hors-la-loi cynique et cruel est un acteur qui jusqu'alors ne sévissait qu'en série B. Le formidable Lee Marvin signe ici une composition haute en couleurs qui le hissera bien vite tout en haut de l'affiche.Une oeuvre d'une grande force, un de ses meilleurs films, c'est certain
Le Monde
(…) ce "Ford" là souffre d'être comparé à la Chevauchée fantastique, dont il n'a ni le lyrisme ni le style inspiré. 13/10/1962