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Kevin dioles
45 abonnés
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3,5
Publiée le 4 février 2022
UN MILLION D'ANNEE AVANT J.C (1965): Tumak, exclu de sa tribu, erra dans un monde préhistorique très hostile. La bravoure des premiers hommes sublimée par les trucages de Ray Harryhausen. D'étonnants dinosaures en Stop-Motion proches de la réalité, une immense tortue de mer, un terrifiant allosaure… mais surtout cet impressionnant combat entre tricératops et cératosaure. Ray continuera à étoffer son savoir-faire tout en mettant en place d'autres procédés trompe-œil avec de vrais animaux, araignée et iguane, techniques moins convaincantes mais pas catastrophiques. Une aventure qui par ses différents aspects donnera cette impression d'être l'ancêtre des films "Jurassic Park" "La Guerre du Feu"... il faut un commencement à tout, d'où une certaine indulgence de ma part envers cette réalisation. Ce spectacle entrainera tout de même quelques petits sourires à la vu de ces jolies femmes en bikini bien coiffées dont l'hygiene dentaire sera irréprochable, mais aussi avec cette tribu de blondinets, un peu chochotte, véhiculant l'intelligence évolutive, excellent contraste avec les peuples primates obstinément ancrés dans la sauvagerie. Un cinéma d'autrefois appréciable à regarder grâce au remarquable travail de ce pionnier des effets spéciaux bien connu du septième art, Ray Harryhausen.
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0,5
Publiée le 3 octobre 2021
Un Million d'années avant J.-C aurait bien mieux fonctionné comme film en tant qu'amusement ringard ce à quoi je m'attendais qu'il soit. Au lieu de cela ils se sont fixé la tâche trop difficile de réaliser un drame-aventure sérieux à l'époque pré-linguistique. Ils avaient besoin de plus de compétences en matière de communication physique comme un Charlie Chaplin ou un Rowan Atkinson pour rendre ce film intéressant. Raquel Welch est une déesse et elle est belle dans son iconique bikini en fourrure mais le reste de cette histoire souffre d'une attaque sérieuse de se prendre trop au sérieux avec comme résultant en un simple divertissement inintéressant. Cela vaut peut-être la peine de le louer pour faire une avance rapide jusqu'aux moment avec Raquel Welch elle apparaît pour la première fois à environ vingt cinq minutes du début. Sinon regardez autre chose si vous voulez vous amuser ou vous divertir...
Pour parler de ma petite personne, c'est sans doute le premier film que j'ai vu de ma vie, en dehors des dessins animés. A l'époque, et Jurassic Park n'existait pas encore, j'appréciais la vue de ces dinosaures agressifs, si soigneusement confectionnés par le talentueux Ray Harryhaussen. En tant qu'enfant, j'aimais les monstres gigantesques mais les années ont passé et je suis devenu adulte. Il est ensuite difficile d'imaginer vouloir regarder ce long métrage sans l’intérêt d'apprécier la plastique des jolies filles présentes devant la caméra, surtout l'une d'entre elles, Raquel Welch. Je dois dire et je suis sûr de mes propos, que les principaux atouts d'"un million d'années avant Jésus-Christ" sont le charme, la sensualité et le corps de cette ravissante actrice.
Célèbre pour ses productions horrifiques gothiques entre les années 50 et 70, la Hammer ne s'est pourtant pas limité à cela, tentant également d'autres genres... dont l'aventure fantaisiste. Ainsi, dans "One Million Years B.C.", on assiste à un âge ancien où les dinosaures côtoient les hommes des cavernes ! Peu importe qu'à cette époque, ni les uns ni les autres n'existaient, la vraisemblance n'est certainement pas le but ici. "One Million Years B.C." se veut être une aventure sauvage et divertissante, mais s'avère surtout kitsch à l'arrivée. Voir des hommes barbus en peau de bête s'affronter autour d'enjeux basiques n'est pas très palpitant, d'autant que le jeu des acteurs est limité (outre l'introduction narrée et quelques noms ou grognements çà et là, les dialogues sont absents). On relèvera tout de même la présence de Raquel Welch, personnage le plus attachant, que son le "bikini préhistorique" transformera en sex-symbol à l'époque. On nota aussi la présence de Robert "M" Brown, qu'il est cocasse de voir en homme des cavernes ! Quant aux effets de Ray Harryhausen, ils sont inégaux. Le stop motion est sympathique, mais l'artiste a déjà fait mieux ailleurs, et les effets de transparence avec de vrais animaux agrandis à l'écran n'ont pas très bien vieilli. Reste tout de même la scène de l'éruption qui fait son petit effet. Enfin, signalons des extérieurs plutôt bien utilisés. Le film a été tournée aux Canaries, à Ténérife et Lanzarote : on reconnait le cratère du Teide, son paysage escarpé et sa végétation unique ; et des plages de Lanzarote aux couleurs si caractéristiques. Un décors volcanique qui donne au film une ambiance visuelle singulière, à défaut d'être mémorable.
C'est mal joué, le scénario est vide, la réalisation est plate, les effets-spéciaux ont bien entendu pris dans la gueule mais on ne jugera pas ce film de 1966 sur cet aspect, bien qu'aujourd'hui, l'entrée en scène du premier iguane n'aura pas de mal à nous faire marrer, ça grogne et ça gémit en permanence, "Un million d'années avant J.C." n'est qu'un piètre film de science-fiction ne proposant qu'une répétitive et inintéressante exposition de reptiles géants en tout genre, saupoudrée de batailles de clans. Extrêmement répétitif, ennuyeux et ne menant nulle part, ce nanar de collection deviendra difficilement supportable de nos jours et n'arrivera même pas à nous divertir plus de dix minutes.
Ici, nous ne sommes pas dans la Guerre du feu . Donc il ne s'agit pas d'un film aux allures de documentaire et réaliste, mais de pure fantaisie, destiné à divertir. Les hommes préhistoriques ici ne parlent pas vraiment, mais émettent seulement des grognements ou des mots rappelant les langues indiennes. Une fois encore, Ray Harryhausen nous fait une formidable démonstration de son talent. Étant donné son amour pour les dinosaures, il a dû s'en donner à coeur joie pour réaliser tous ces morceaux de bravoure : le combat de Tumak contre l'allosaure, la bataille entre le tricératops et le cératosaure, la lutte du ptérodactyle et du ptéranodon... sans compter le cataclysme final. Il y a aussi des thèmes intéressants comme l'échange de culture entre Tumak qui apprendra la paix et la coexistence au côté de Loana, cette dernière découvrant l'instinct de survie et l'art de tuer pour se défendre. L'éblouissante Raquel Welch, vêtue de peaux bêtes, s'affirme ici définitivement en tant que sex-symbol. Mais elle peut être fière : contrairement à d'innombrables bimbos engagées à l'écran pour leur plastique, elle a réussi à s'imposer comme une véritable actrice. Malgré son âge et même si l'on a prit l'habitude de voir de nos jours les dinosaures animés en images de synthèses, Un million d'années avant J.C conserve son charme et sa magie et reste un petit chef-d'oeuvre du film d'aventure qui nous plonge en pleine préhistoire avec ses décors, son atmosphère antédiluvienne et ses dinosaures. Les enfants seront enchantés à coup sûr.
La fantastique affiche de ce film avec Raquel Welch est mythique, le film est connu également et pourtant, il n'est pas si merveilleux que cela ou plutôt il est inégal. Des effets spéciaux signés Ray Harryhausen, pas de dialogues ou presque, de grands espaces superbes, une histoire prônant l'échange et la tolérance. Tout ça forme un ensemble plutôt positif malheureusement, le manichéisme bruns/blonds est grotesque, le jeu des acteurs souvent lamentable, passons sur les dinosaures et autres reptiles volants présents en même temps que les hommes, un rythme super lent qui plombe le film. Des hauts et des bas pour un film qui a même était gratifié d'un remake bien plus mauvais que l'original.
Une étoile pour Raquel Welch, une étoile pour son bikini : le compte est bon ! Meilleur que le conte; mais tout compte fait, tous les charmes se valent !
Ce film est un petit narnar sans prétention comme je les aime. Ray Harryhaussen y a exercé ses talents, sans avoir à rougir de son travail, mais l'histoire et les tenues des jolies femmes préhistoriques permanentées en bikini, nous offre une bonne partie de fou rire. La belle Raquel Welsh y attire autant les mâles velues et ronchons, que les dinosaures possédant beaucoup de goût en ce qui concerne la gente féminine. Le film détend et Ray lui-même le considérait comme une récréation.
Je l'ai vu sur petit écran à l'âge de 7 ans et je suis resté scotché. Tout est sublime; les images, les paysages, les effets spéciaux exceptionnels... On ne se lasse jamais de revoir.
Une séquence d'introduction, ayant peut-être inspiré Stanley Kubrick pour le début de "2001, l'Odyssée de l'Espace" en tous les cas il y a beaucoup de ressemblance entre les deux, pour un film qui s'annonçait ambitieux et réaliste... Mais c'est une impression première qui va s'avérer très vite complètement fausse puisqu'on va avoir dans la Préhistoire de ce film des tyrannosaures, des tricératops, des ptérodactyles, des femmes préhistoiriques qui ont l'allure de bombasses, d'ailleurs on ne fait plus attention très vite au transparent premier rôle masculin pour bizarrement se concentrer uniquement sur Raquel Welch, peut-être l'aspect le plus marquant de l'ensemble... Bref on est plus proche d'une série Z que de "La Guerre du Feu"... Pour les scènes à effets spéciaux, elles sont assez confuses pour la plupart, pas toujours très crédible techniquement, le mythique Ray Harryhausen est apparu beaucoup plus en forme pour d'autres films notamment "Jason et les Argonautes".
Des bimbos à la plastique irréprochable (le nom du personnage féminin principal est Loana; ça ne s'invente pas), des hommes ultra virils, des gémissements et beuglements comme moyen de communication,... Non, ce n'est pas un film pornographique mais un film sur la préhistoire. Un long métrage aux accents nanars mais le ridicule qui s'en dégage ennuie malheureusement plus qu'il ne fait sourire.
Chef d'oeuvre incontournable.du fantastique Ce film à été l'inspirateur de nombreuses oeuvres d'hier et d'aujourd'hui tel Rahan, Jurassic Park et j'en passe... C'est une BD à ciel ouvert avec des décors grandioses et des créatures attachantes et inoubliables du maître Ray Harryhausen. L'image et la musique sont parfaites. Le film est porté par des actrices super impliquées, les unes plus belles que les autres (Raquel Welch a de la concurrence pour une fois!) et qui se la jouent pour de vrai. L'intrigue et l'ambiance sont tellement incroyables et sympas qu'on souhaiterait y être. J'ai vu le film au cinéma à sept ans et je croyais que c'était du vrai. Je n'ai oublié aucune scène depuis. Malgré les années, le film n'a pas pris une ride. Vivement la sortie en Blu-Ray Un Million d'années avant J.-C.c'est plus qu'un film, c'est un rêve de cinéma incontournable pour les petits et les grands de 7 à un million d'années. A voir absolument!
Le cinoche populaire, c’est un peu comme l’art brut : ça peut prendre une forme de poésie inattendue par sa naïveté même. La magie particulière du cinéma de studio, avec couleurs chatoyantes, typique de la production Hammer, y est pour beaucoup dans le cas d’ »Un million d’années avant JC ». Certaines scènes ressemblent presque à des chromos sulpiciens… Autrement les bikinis en peau de bête sont vraiment très seyants, Raquel Welch est splendide, même si elle minaude un peu trop. Un coté un peu douteux, même s’il n’est sans doute pas prémédité : la tribu des « gentils » évolués est composés de beaux blonds et de belles blondes (à l’allure très british des sixties, sous les oripeaux préhistoriques), alors que les brutes vicieuses sont brunes. Ça rappelle tout de même de mauvais souvenirs idéologiques.