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chrischambers86
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2,5
Publiée le 7 octobre 2016
"Loophole", c'est un peu "Les ègouts du paradis" en version anglaise! Les ègouts niçois font place aux ègouts londoniens avec des tunnels extrêmement larges! Un casse au milieu des rats avec un cerveau (Albert Finney), un architecte (Martin Sheen) et un bras droit (Jonathan Pryce, bien avant "Brazil"). spoiler: Les cambrioleurs seront quand même plus de trois et vont se retrouver à cinq mètres sous la base de la chambre forte! La chambre forte, elle même, se situe à exactement six mètres sous le niveau de la rue! il est donc possible thèoriquement grâce à un tunnel bien dèfini d'arriver sous la chambre forte! Reste à savoir à quel endroit prècis ? Sans parler des fondations de bèton de soixante centimètres renforcèes par des barres d'acier! C'est dire qu'il y a du boulot pour rèussir ce casse! Pas très originale sur le papier mais histoire plaisante à suivre dès que les protagonistes arrivent dans les ègouts! Laissons au public de juger le final (« J'ai un travail à vous proposer ! »). C'est anecdotique mais les aficionados du "Shining" de Kubrick pourront voir dans une scène qui se dèroule au rez-de-chaussèe d'un immeuble, la même moquette orange de l'hôtel Overlook...
Loophole réunit Martin Sheen et Albert Finney qui font s'associer pour monter un casse, c'est un film assez simple dans son genre qui n'apporte rien de nouveau mais il fonctionne bien. C'est dommage que la réalisation manque de tonus du coup lors de certaines scènes ça manque clairement de nervosité et l'on ne ressent jamais de tension en regardant ce film malgré tout comme je l'ai déjà dis ça fonctionne bien du coup ça se regarde sans ennui. A voir pour les amateurs du genre mais ne vous n'attendez à rien de particuliers ni de mémorable.
A Londres, un architecte américain vivant au dessus de ses moyens est recruté par une équipe de braqueurs, pour un audacieux casse. Curieusement, la partie la plus intéressante de "Loophole" n'est pas le braquage, qui manque de piment (notamment du fait de l'absence d'antagoniste ou d'enjeu), mais son premier acte, presque dramatique. Martin Sheen est en effet très convaincant en père de famille pris à la gorge, qui ne parvient pas à s'en sortir. Face à lui, on apprécie un Albert Finney imperturbable en gentleman criminel. Cependant, le reste est un peu mou, malgré la BO semi-électronique sympathique signée Lalo Schifrin, et quelques bonnes idées exploitant le danger des égouts. A noter que le casse présenté ici ressemble à celui, bien réel, de Baker Street en 1971, qui fera l'objet du film "The Bank Job" en 2008.
Film de 1980/81 sur une opération de braquage de banque. Le film n'est pas déplaisant bien que daté et j'ai bien aimé revoir tous ces acteurs qui on eu leur petit succès par la suite. Le film est assez plat et sans grand rebondissement pour susciter au final un intérêt certain et la fin est baclée à mon gout. l'histoire de Martin SHEEN aurait pu être plus creusée, surtout quand il décide de rester enfermé dans la salle des coffres à la fin du film. Certes, on comprend au final qu'il a bien remonter SON trésor et qu'il est maintenant à la tête d'une entreprise d'architecte, mais c'est trop vite terminé... dommage.