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traversay1
Le titre, idiot, laisse penser qu'il s'agit d'une bluette romantique. Nullement, les personnages incarnés par Gable, macho arrogant, et Stanwyck, femme d'affaires et de tête, sont d'un cynisme à toute épreuve et leur idylle a quelque chose de désespéré. Maintenant, l'intérêt principal du film vient des courses de voitures de ce début des années 50, rendues de façon spectaculaire.
Ce film aurait été tourné 10 ans plus tôt, cela aurait surement été plus convainquant, en effet, Le personnage de Gable, en coureur de course intrépide semble déjà un peu vieux pour son personnage.
Le film ne se concentre pas sur les courses, quoique la seconde partie y consacre une belle part, et il est intéressant de voir ses bolides se tirer la bourre sur des pistes en terre.
Non, le film nous montre comment la presse se fait juge et juré, à travers le rôle que tient Barbara Stanwyck, déjà à cette époque, une presse qui oscille entre Gala et Mediapart, se veut lancer la rumeur, tombé juste parfois et, en chevalier blanc, passer outre les conséquences.
Stanwyck joue une femme froide, hautaine et sans état d'âme, Gable joue un loup solitaire, pas vraiment apprécié du public, qui a un caractère bien trempé. Les deux réunis pourraient faire des étincelles; mais ce couple ne fonctionne pas. Il manque de la chaleur entre eux, les scènes tendres, qui pourraient nous emmenées sur le chemin de la sympathie sont rapidement coupées par une dispute, rien n'est fait pour nous les rendre, ne serait-ce qu'acceptable.
Un film sérieux, sans une pointe d'humour pour apporter un second degrés qui pourrait être bénéfique à l'ensemble, Gable figé dans un sourire qui se veut charmeur, et Stanwyck, sans réel charme, cherche séduire...cela résume bien le film.
Le film ne se concentre pas sur les courses, quoique la seconde partie y consacre une belle part, et il est intéressant de voir ses bolides se tirer la bourre sur des pistes en terre.
Non, le film nous montre comment la presse se fait juge et juré, à travers le rôle que tient Barbara Stanwyck, déjà à cette époque, une presse qui oscille entre Gala et Mediapart, se veut lancer la rumeur, tombé juste parfois et, en chevalier blanc, passer outre les conséquences.
Stanwyck joue une femme froide, hautaine et sans état d'âme, Gable joue un loup solitaire, pas vraiment apprécié du public, qui a un caractère bien trempé. Les deux réunis pourraient faire des étincelles; mais ce couple ne fonctionne pas. Il manque de la chaleur entre eux, les scènes tendres, qui pourraient nous emmenées sur le chemin de la sympathie sont rapidement coupées par une dispute, rien n'est fait pour nous les rendre, ne serait-ce qu'acceptable.
Un film sérieux, sans une pointe d'humour pour apporter un second degrés qui pourrait être bénéfique à l'ensemble, Gable figé dans un sourire qui se veut charmeur, et Stanwyck, sans réel charme, cherche séduire...cela résume bien le film.
Clarence Brown, cinéaste des années 30 plutôt glamourous et lié à la MGM , ici dans un de ces derniers films, trépidante petite curiosité qui documente brillamment le monde des courses automobiles du début des années 50.
Que dire vraiment sur cette histoire d'amour sur fond de journalisme à sensation et surtout de courses automobiles ??? Ben, ce sont principalement les scènes de courses automobiles assez réussies et le charme du couple Clark Gable-Barbara Stanwyck que l'on retient. Autrement, cela ne s'avère pas très mémorable. A noter quand même une scène très charmante et originale à travers celle de la conversation téléphonique devant un miroir. Ca se laisse regarder sans problème et ça n'est déjà pas si mal.
Un duo vedette expérimenté qui semble jouer en toute décontraction et en pleine complicité ce qui donne un film très plaisant à suivre en plus les images de courses autos sont intéressantes. En revanche il y en a un peu trop du coup le scénario reste franchement sous exploité.
Une curiosité: voir des bolides automobiles de 1950 sur des circuits américains est plutôt plaisant,d'autant plus que les courses sont bien filmées et avec suspense.Clark Gable et Barbara Stanwyck plus tout jeunes à l'époque jouent leur partition avec suffisamment de glamour et de talent . Leur romance du fait de la psychologie des deux personnages est crédible. Adolphe Menjou ajoute son grain de sel sarcastique dans la distribution.Tout ceci manque toutefois de scènes fortes si l'on enlève les courses automobiles, à part un jeu de miroir et de dialogue à un moment donné particulièrement savoureux.Le film ne fait pas date dans la comédie américaine même dramatique mais est plaisant à regarder grâce au rendu des courses avec son aspect rétro et au jeu du chat et de la souris des deux stars du film.
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