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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Quelle esthétique !!! Lanimation est magnifique, créative, fluide, faste ! Le mélange 2D / 3D est un des plus beaux que jai vu. Les plans et les mouvements de caméras sont dignes de plus grands réalisateurs : Oshii en fait certes partie. La scène du défilé traditionnel est danthologie. Je ne serai pas originale en parlant de la poésie qui se dégage de ces images et de ces personnages. Toutefois mon enthousiasme est quelque peu modéré par le côté intello-philosophique de lhistoire : Oshii en fait tellement que ça en devient un peu risible. Sil faut ne rien comprendre à lhistoire et aux dialogues pour crier au génie, alors Innocence est culte. Plus sérieusement, en zappant ce côté excessivement intello qui napporte pas grandchose (sauf la marque de fabrique dOshii), Innocence va devenir une référence de lanimation
Je mets 3 étoiles pour le générique qui m'a complètement subjugué (j'ai même versé une petite larme lorsque les coeurs ont commencés à résonner, merci Syndrome de Stendhal !)et pour les scènes de pure contemplation accompagnées de la musique de Kenji Kawai. Mais tout cela gâché par un scénario trop alambiqué. Dommage ps : message personnel pour les concepteurs de la jaquette DVD européenne : minable !
Ce n'est pas tous les jours que l'on entend des héros en deux dimensions disserter sur l'existence en citant Confucius et Descartes. Suite d'une date majeure de l'animation japonaise, Innocence dépasse l'original et impose son cinéaste, comme un doux humaniste obsédé par les relations entre l'hommme et la machine. Et la premiere qualité de son dessin animé, c'est de déconcerter le spectateur. Sa vision du futur est fascinante et l'histoire, une enquete sur des robots assassins, amène une série de questions inhabituelles dans ce genre de divertissement. C'est un vrai petit débat philosophique qui est proposé et il est très bien servi par une animation magnifique. A la fin, on a l'impression d'etre un peu moins bête qu'en entrant: un agréable sentiment trop rare au cinéma!
Voici le chef d'oeuvre tant attendu du grand Mamoru. Une perfection, tant sur le plan visuel, que l'idée (idéologie?) générale. Un travail énorme...Du grand Mamoru.
L'esthétique du film est encore une fois très bonne mais je trouve que les scènes en image de synthèse ont un peu vieilli et ne s'accordent pas trop avec celles en animés qui elles sont sublimes. La bande son est bonne même si très ressemblante à celle du premier opus. C'est vraiment au niveau du scénario que le film déçoit. Même si l'histoire de Ghost in the Shell pouvait paraître alambiquée elle avait au moins le mérite d’être originale, et surtout passionnante par les différents thèmes qu'elle abordées. Ici on a affaire à une simple enquête de police, parsemée de scènes plus ou moins utiles et d'un nombre incalculable de citations et autres réflexions philosophiques. C'est sans doute un film à voir plusieurs fois pour l'apprécier complètement tout comme le premier opus. Reste quelques scènes qui valent le coup d'oeil, l'ouverture du film est particulièrement géniale.
Comparé au 1er opus, c'est vilain et pompeux. Cette suite n'a pas la magie du 1er, seulement l'ennui.
Ils ont cru qu'en fouillant les graphismes et l'aspect monde virtuel monde de robot, ils auraient une bonne suite. Certe les graphismes sont recherchés et plus poussé que dans le 1er, mais ils ne marqueront pas notre époque comme le 1er la sienne ! Ils servent de prétextes à l'histoire qui manque d'intérêt. La débauche de détail qui -à mon goût- n'arrive pas à faire joli, mais sert le glauque de l'histoire. La violence a perdu de son côté esthétisant. Enfin les question philosophiques sonnent terriblement bidon. Les références symboliques (cabalistiques?) sonnent très faux. Les débats sur la vie, le virtuel, font remplissages. L'histoire se détourne de l'héroïne du 1, elle sert de "deus ex machina", et tous perdent en charisme. Le plus emblématique est la musique leitmotiv du film, qui est calquée sur celle du 1er opus, en moins bien.
Ce film est un resucé du 1er, mais tout en moins bien. Le 1er était "unique", celui là est assez commun hormis les graphiques schiadés.
Passé la bonne surprise du premier, que reste t il? Le premier m'avait émerveillé pour son univers coïncidant avec celui de deus ex. Ici on s'en éloigne, d'ailleurs la ressemblance se fait maintenant avec I robot, dommage car l'univers perd totalement la magie des humains surboosté pour laisser place aux robots que l'on a vu dans un nombre trop grand de film et séries, renouveler le genre? Il n'en est pas question ici. On dirait que le réalisateur a voulu se surpasser pour ce qui est du coté philosophique. Et là je pense aux épisode d'au delà du réel, quelques phrases simples, une situation et un morale simple suffisent à nous faire réfléchir en comprenant la totalité de ce que voulait le réalisateur. Pour ghost in the shell 2, c'est l'étalage de citation de grands auteurs, un scénario encore plus incompréhensible que le premiers et finalement une réflexion qui n'a pas lieu à cause de cela. Peut être que cela vient de la vost... Mais il est évident que le réalisateur n'a pas cherché à rendre son film clair, jamais une explication n'est donné au spectateur sur ce qui se passe. Il est clair qu'il ne faut pas prendre le spectateur pour un imbécile mais là c'est plutôt l'inverse, je ne vais pas inventer tout ce qu'il fallait comprendre. Et bien sinon, tout est en 3D sauf les 2 personnages que l'on voit tout le temps, malgré le gros efforts d'imagination des décors une impression de pauvreté nous envahit en voyant cette 3D ordi plutôt que des dessins à la mains comme au premier épisode. Dommage
Philosophie de comptoir, scénario peu clair, rythme inégal, images de synthèse mal intégrées, générique du début et musiques magnifiques. C'est tout ce dont je me souviendrai de ce film. NB : avoir vu le #1 peut aider (un peu).
Plus d'actions, plus beau (des images magnifiques), plus réels (j'adore les mouvements de la bagnole quand les personnages montent dedans ou quand ils claquent la portière), plus impressionants, mais aussi plus complexe.
Ce nouvel épisode qui se nomme Innocence montre que le cinéma japonais fait partie des tous meilleurs.Très bien réalisé, un scénario très bien rodéé.Ghost in the shell 2 est un film sur la philosopie de la vie.
Mamoru Oshii revisite lunivers quil adore, celui des cyborgs. Visuellement magnifique avec un habille mélange danimation, de 3D et de 2D, le scénario toujours retors oblige le spectateur à suivre lhistoire du début à la fin. Tout ceci agrémenté de scènes dactions parfaitement orchestrées. Très philosophique avec de nombreuses citations, Mamoru Oshii est un visionnaire qui crée une nouvelle référence dans le monde du manga. Il faut néanmoins avoir vu le premier GITS pour comprendre le second, car si on ne connaît pas le personnage du major on risque de ne pas comprendre les motivations et lattitude du personnage principal. Ne passez pas à coté de cette uvre magistrale pour tous les intéressés.
Fanatique du premier opus, je tremblais, à l'époque, à l'idée d'être déçue par la suite de ce que je considère comme un chef d'œuvre.
Il n'en fut rien, car claque visuelle comme scénaristique et philosophique, Ghost in the shell Innocence ne pouvait que me combler, sans aucune forme de nuance.
Il me semble tout d'abord indispensable de parler de l'aspect artistique du film, qui bénéficie d'une aura toute particulière très agréable, grâce surtout au traitement original de la lumière qui confère parfois un halo de douceur dans le monde de ces brutes. Si l'on est déjà scotché au siège par le générique, reprise directe de celui de GITS mais en digital, la scène du carnaval est tout bonnement parfaite du début à la fin, me laissant parfois songer aux délires oniriques d'un Final Fantasy. Du tout bon donc, même si pour chipoter l'on peut trouver ici et là quelques incrustations 3d un peu hasardeuses (mais faut VRAIMENT chercher la bête).
Niveau scénario, un deuxième visionnage ne m'a pas été nécessaire pour en saisir toutes les subtilités, à l'inverse du premier film. En effet, si les conversations philosophico technologiques de Batou traînent parfois en longueur pour dire peu de chose, elles sont toujours aussi jouissives et jamais inutiles. Je regrette simplement le traitement un peu simpliste du personnage de Togusa, qui fait un peu tapisserie, même lorsqu’il est censé être en pleine action. L’enquête menée par les deux compères est en fait bien plus abordable qu’elle n’y paraît, pour peu que l’on connaisse un minimum Asimov et l’univers des robots, ainsi que toutes les interrogations qui leurs sont relatives.
Le travail de Kenji Kawai sur la musique est dans la parfaite continuité du premier film, c’est beau, maîtrisé et en accord total avec l’univers de Shirow revisité par Oshii.
Bref que du beau, du bon, du propre pour peu que l’on ait l’esprit vif et clair, même si encore une fois ce n’est pas un film destiné aux plus jeunes.
Oula dur dur de comprenur (comprendre) ce scénario la première fois et la scène a répétition m'avais plutot énervé. Au second tout parrait plus logique sans toute fois avoir tout saisi. Très beau graphiquement. avoir !
Un film plutôt complexe qui demande de l'attention (J'uis partis pissé et j'ai plus rien compris). L'animation avec les image de synthése sont corrects. L'histoire est un peu...rapide. J'ai trouvé que l'histoire s'enchainait très vite et se qui demande encore plus d'attention. Pour une fois, la VF est pas mauvaise.
Le point fort est surtout l'univers cyberpunk très très travaillé et super bien soigné. Rien à dire.