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La vedette sans aucun doute c'est Joan Crawford, comme quoi dans ses années trente, on pouvait considérer l'industrie du cinéma en avance car c'était une femme qui tenait le haut de l'affiche. Ici Gable n'a qu'un rôle secondaire, un faire valoir si on peut dire.
Petit film qui a encore quelques tics du cinéma muet, puisque les gestes sont un peu trop appuyés, trop théâtrales, et Crawford joue de ses grands yeux à outrances.
C'est un film qu'il faut voir par curiosité, pour découvrir comment ses vedettes se sont construite, comment elles sont devenues stars. L'intérêt ne réside que dans ce fait, car niveau histoire, et réalisation tout cela est bien conventionnelle.
A noter tout de même, comme à chaque fois dans ces films des années 30/40, une scène dans un club, où, les tables entourent la piste et où les danseuses font leurs numéros, très emblématique de cette période, et assez rare pour le noter, on y voit Joan Crawford, ornée d'une jupette et de collant se déhancher au rythme d'une musique endiablée.
Petit film qui a encore quelques tics du cinéma muet, puisque les gestes sont un peu trop appuyés, trop théâtrales, et Crawford joue de ses grands yeux à outrances.
C'est un film qu'il faut voir par curiosité, pour découvrir comment ses vedettes se sont construite, comment elles sont devenues stars. L'intérêt ne réside que dans ce fait, car niveau histoire, et réalisation tout cela est bien conventionnelle.
A noter tout de même, comme à chaque fois dans ces films des années 30/40, une scène dans un club, où, les tables entourent la piste et où les danseuses font leurs numéros, très emblématique de cette période, et assez rare pour le noter, on y voit Joan Crawford, ornée d'une jupette et de collant se déhancher au rythme d'une musique endiablée.
TTNOUGAT
Compte tenu de l’année du tournage les trois étoiles sont méritées car à cette époque les films policiers étaient très loin de leur maturité, tant dans les scenarios que dans le jeu des acteurs. Par exemple, Gable passe ici complètement inaperçu. Il n’y a, à dire vrai ,que Joan Crawford qui se remarque et sort le film de son anonymat. Cette actrice a su passer remarquablement bien du muet au parlant grâce à sa personnalité et à sa voix grave. Elle tient un vrai rôle de composition mais ne peut hélas gommer la faiblesse de l’histoire et particulièrement la fin d’une naïveté confondante. Lorsque l’on a vu dans Johnny Guitar, on prend un grand plaisir à la découvrir jeune et à remarquer la force qu’elle donne déjà à son personnage. ‘’La pente ‘’me paraît historiquement important comme en témoigne son beau et émouvant plan final rythmé par le son des nombreuses machines à écrire
Un mélodrame de gangsters d'un intérêt limité si ce n'est que c'est un des films MGM du début des années 30 où Joan Crawford était en plein dans sa période "je joue les bonnes samaritaines". D'ailleurs au milieu d'une interprétation très raide (même Clark Gable qui joue le rôle d'un chef d'une bande de gangsters!) et peu charismatique (à l'exception de Gable bien sûr!), Joan Crawford n'a aucun mal à se distinguer. Une seule scène vraiment intéressante dans ce film qui est dôté d'une intrigue hyper-conventionnelle et mené d'une manière peu convaincante, celle où elle montre ses talents de danseuse. Voilà, c'est tout que je peux trouver à vraiment dire sur ce film vite oublié.
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