Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 28 mars 2011
Nuovo Cinema Paradiso est une oeuvre sur la vie , le temps qui passe et le pouvoir du Cinéma . On rit , on pleure sur les musiques splendides d'Ennio Morricone , ce film est une merveille .
Qu'on se le dise, ce film est l'un des dix plus beaux films que j'ai vu. Il frise la perfection avec un très bon jeu d'acteurs notamment de la part de Philippe Noiret (rien d'étonnant cela dit). La nostalgie plane tout au long du film pour atteindre son paroxysme dans la scène finale où l'on voit une compilation de baisers au cinéma
Cette reconstitution de la Sicile en période de guerre, dans ces coins reculés de la campagne où seuls les projections de films noir et blanc brisent le quotidien; où se mèle une amitié hors du commun entre un petit garçon turbulent et un vieux projectionniste esseulé donne une jolie histoire, pleine d'émotions, tout à la gloire du 7e Art. Les acteurs y sont très convainquants (surtout Salvatore enfant, Salvatore adulte et Alfredo le projectionniste; Salvatore adolescent étant peut-être moins remarquable) et les paysages magnifiques. Après, le film est un peu long et l'on aurait gagné en intensité en écourtant quelques scènes.
Deux personnages magnifiques ( Toto et Alfredo), un hommage au grand cinema des années 50 et 60 et une photographie de cette vieille Sicile intemporelle. Un film émouvant porté par une musique exceptionnelle d'Ennio Morricone. Le genre de film que je n'hésites pas a revoir et que je ne peux que conseiller a n'importe qui ( sauf aux amateurs de films de baston peut être).
Récompensé à la fois aux Etats-Unis et en France, comme en atteste son Golden Globe du Meilleur Film Etranger et son Prix Spécial du Jury à Cannes, Cinema Paradiso (1988) a bel et bien mérité son statut d'oeuvre emblématique, véritable hymne au cinéma, dédié aux passionnés, aux cinéphiles et aux simples spectateurs bien entendu ! Basé sur un scénario attendrissant et des personnages émouvants, on part à la découverte d'une passionnante rencontre, entre un vieux projectionniste (Alfredo) et un jeune garçon (Salvador). Entre eux, va naître une amitié touchante, faite de rires et de tristesses. Dans les rôles principaux, on retrouve avec beaucoup de plaisir Philippe Noiret (dans le rôle du projectionniste), l'épatant Salvatore Cascio (dans le rôle de l'enfant) et Jacques Perrin (qui interprète Salvador à l'âge adulte). L'ensemble étant agrémenté d'une superbe B.O composée par Ennio Morricone (elle aussi récompensée par le Prix de la Meilleur Musique à Cannes). Giuseppe Tornatore réalise ici une comédie dramatique empreinte de nostalgie et d'un amour immodéré du 7ème Art !
C’est un pur hommage au cinéma que fit Tornatore en réalisant ce mélodrame teinté de nostalgie. La relation aussi amicale qu'initiatique entre le jeune Toto et un vieux projectionniste, sans doute l’un des plus beaux rôles de Philipe Noiret, au cœur d’une jolie reconstitution de la Sicile des années 50, est intelligemment accompagnée par un humour autour de la place de la censure, faisant du film une source d’émotions et de rires à portée internationale. La mise en scène permettant de mettre en place une triste atmosphère pleine de mélancolie irrésistible s’accorde à la perfection à une musique enivrante signée par Ennio Morricone. Seule la petite histoire d'amour bluette est source de longueurs. Quiconque aime le 7ème art aimera ce petit chef d’œuvre!
Un hymne du cinéma ! Présenté par un rythme lent mais qui en impose, Giuseppe Tornatore (Marchand de rêves) va de scènes cultes en scènes culte en interposant du cinéma dans le cinéma, en montrant John Wayne, Humphrey Bogart, Jean Gabin ou même Charlie Chaplin. L'interprétation est aux petits oignons, le duo formé par Alfredo et Toto sonne magnifiquement juste, au fur et à mesure que Toto grandit. L'enfant (Salvatore Cascio) nous montre déjà du grand talent ; l'ado en mal d'amour (Marco Leonardi) se pousse à la rêverie ; et l'adulte (Jacques Perrin) a l'art de toujours nous émerveiller. Philippe Noiret, lui, reste sobre et l'on ressent qu'il se retient : d'habitude, il "frappe" plus (comme dans Les ripoux et Le juge et l'assassin notamment). On sent d'ailleurs dans le film une impression de stylisme, ce qui fait ressortir l'aspect italien de Cinema Paradiso. Cinema Paradiso nous propose une autre vision du cinéma de par des plans cultes propres à Gabin, Wayne... alternés une fois par Noiret, une autre fois par Toto : ce qui reflète bien une certaine mesure du cinéma italien. La musique de Morricone (Mission, Le marginal et autres Leone) ne fait que renforcer cet aspect. Un chef d'oeuvre incontestable qui ne plaira qu'aux amateurs de films italiens. Spectateurs, direction le cinéma. Oui, mais lequel ?
Une film magique. "Cinema Paradiso" est l'une des déclaration d'amour au cinéma les plus sinceres et touchantes qui soit ! Un conte émouvant raconté dans un cadre merveilleux, un jeune enfant qui aime aller au cinéma, un vieux projectionniste qui malgré que son metier semble ingrat il est fier de le faire car il a le sentiment de transmettre de la joie au public, un petit cinéma de quartier... Un chef d'oeuvre de la tendresse, raconté sur un ton nostalgique, avec beaucoup d'humour, des acteurs exceptionnels (l'un des meilleurs rôles pour Phillipe Noiret, et un Jacques Perrin parfait, bien que peu présent, il apporte beaucoup au film), avec une bande-originale entrainante et sublime ! Simplement magnifique... Et avec une fin qui nous arrache les larmes des yeux, un grand moment !
Dans un taudis de Sicile, un enfant se passionne pour le cinéma et parvient même à se lier d'amitié avec le projectionniste dont il se veut être le digne successeur. A la suite d'un incendie, le vieux cinéphile perd la vue et laisse le relai à ce gosse. Il faut l'admettre, ce film est traité avec une niaiserie inégalable et inégalée. Qu'un enfant apprécie cette romance dégoulinante de sentiments, c'est une chose que je peux concevoir. Mais que des prétendus cinéphiles s'extsient devant une telle insignifiance cinématographique, ça à de quoi faire peur ! Rien ne parvient à ramener cette réalisation vers le haut. Les acteurs sont ô combien médiocre avec notamment un Philippe Noiret complètement sénile et sans aucun présence. La plastique n'est pas travaillée et le décor italien est pour le moins insipide. Ce film est un drame, le drame réitéré du film qui se veut humoristique mais qui en est incapable. Une épave du cinéma qui ne peut même pas être prise au sérieux.
Un très beau film émouvant sur la nostalgie et le temps qui passe. Philippe Noiret est excellent (comme toujours) et Jacques Perrin arrive à émouvoir juste grâce à son visage. C'est beau mais il manque un je ne sais quoi pour atteindre les quatre étoiles.
Le mélo dans toute sa splendeur avec pas mal de niaiseries, un jeu théâtral, le tout sur un rythme méditerranéen c'est-à-dire extrêmement lent. L'arrière-plan politique, trop léger, ne donne pas plus d'intérêt au film. La bande-son, ultra redondante, ne marquera pas l'histoire de la musique, c'est clair. Un film destiné aux amoureux du cinéma ? Mouais, et mon cul c'est du poulet ? Pas pour moi donc.
Long et ennuyeux, mal fait, caricatural, photographie moche ... etc. Ça met de la mélancolie pour mieux émouvoir, ça utilise le cinéma d'antan pour mieux mettre le spectateur dans sa poche (au lieu de s'en inspirer); désolé monsieur Tornatore, mais on ne m'entourloupe pas par ce genre de manigance. Film surcoté.