AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
4,2
8933 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Cinema Paradiso ?
5
108 critiques
4
60 critiques
3
21 critiques
2
11 critiques
1
7 critiques
0
3 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
J'ai rarement vu un film aussi élégant, aussi poétique et aussi abouti. On baigne, ici, dans l'histoire profonde de l'Italie et plus précisément de la Sicile. La vie des gens du peuple est raconté, ici, avec beaucoup de réalisme, sans complaisance mais non sans humour. Philippe Noiret est remarquable dans son rôle de projectionniste et le petit Toto (Salvatore Cascio) joue avec beaucoup de spontanéité, ce qui le rend adorable. La mise en scène de Giuseppe Tornatore est, elle aussi, impeccable. En fait, pour moi, ce film n'a que des qualités.
Cinéma Paradisio est l'incarnation parfaite du cinéma avec un grand C. On comprend mieux la signification de l'appellation 7 ième art.
Ici, tout est dit. Le scénario est magnifique et les images sont sublimes alors ne bouder pas votre plaisir, laissez-vous emporter dans cette aventure humaine.
Oui, ce film est un chef-d'oeuvre !!!
Cinéma Paradisio est l'incarnation parfaite du cinéma avec un grand C. On comprend mieux la signification de l'appellation 7 ième art.
Ici, tout est dit. Le scénario est magnifique et les images sont sublimes alors ne bouder pas votre plaisir, laissez-vous emporter dans cette aventure humaine.
Oui, ce film est un chef-d'oeuvre !!!
Ce film est un bijou cinématographique qui emporte le spectateur dans une vague émotionnelle dans la vie de Toto qui croise, dès son enfance, Alfredo le projectionniste d'un petit village sicilien.
Yannickcinéphile
Cinema Paradiso est un film qui a marqué son époque pour ainsi dire tant il a ramené de prix. Franchement, je l’ai vu dans sa version longue, de presque 3 heures, et je ne sais pas si j’ai bien fait, car le principal défaut que je ferai à ce film par ailleurs de belle qualité, c’est d’être trop long !
Ok, l’histoire est très intéressante de par son sujet, et il y a plein de scènes très belles, surtout dans la première partie qui reste à mon sens la plus forte et la plus touchante. Le film mise beaucoup sur l’émotion, parfois jusqu’au mélo un peu exagéré, mais c’est rondement mené à ce niveau là, et suffisamment subtil pour ne pas ressembler à un tire-larme de base. Je ne peux pas dire que je me sois réellement ennuyé devant Cinema Paradiso compte tenu de sa longueur et de son sujet qui prête peu à l’action, mais c’est vrai que sur 3 heures il y a des scènes pas vraiment utiles, surtout dans la partie centrale et la dernière partie où il m’a semblé assez évident que le film se disperse trop. Globalement le film est fort, riche, mais pas assez synthétique, un peu trop mélo, et l’arrière-fond historique italien n’est pas vraiment mis en avant, alors qu’il aurait pu, cela n’en aurait donné que plus de force documentaire au métrage.
Malgré cela, Cinema Paradiso est plein de qualités. Formellement c’est un travail très propre, avec de belles images, une atmosphère originale dont je regrette néanmoins qu’elle ne soit pas plus appuyée. On sent que l’on est en Italie, il y a de beaux plans, mais c’est plus au niveau de l’ambiance sonore et lumineuse que j’ai eu quelques réticences. Néanmoins porté par une mise en scène inspirée, et par un travail techniquement solide, Cinema Paradiso reste un joli film, avec aussi une bande son signée Morricone largement exposée, et qui est pleine de mérites.
Enfin, le casting est convaincant. Philippe Noiret trouve un beau rôle, et si je trouve que son jeu reste assez identique d’un film à l’autre, il a toujours l’intelligence de choisir des rôles qui lui sied à merveille, et ici c’est le cas. Il était tout vu pour ce personnage un peu bougon et paternaliste, un mentor tout vu pour le jeune Salvatore. D’ailleurs, des trois acteurs qui l’incarne, le premier, Salvatore Cascio est le meilleur, et la première partie du film est la plus réussie en grande partie grâce à lui. Marco Leonardi est bon lui aussi, quant à Jacques Perrin je l’ai trouvé un peu fade dans le rôle sûrement le plus ingrat des trois, puisqu’il est tout en mélancolie, souvenirs tristes, ce qui forcément ne lui donne pas un grand élan.
Franchement, Cinema Paradiso est un film que j’ai bien aimé, mais je ne crierai pas au chef-d’œuvre. Peut-être la version courte est-elle meilleure, mais à mon sens, sans lui retirer ses atouts, ce film est trop long pour son propos, et il y a des imperfections. L’interprétation un peu inégale, l’ambiance pas toujours aussi forte et marquée qu’on pouvait l’espérer, des coquilles qui sapent un peu l’édifice. Après c’est un beau film à voir malgré tout. 3.5
Ok, l’histoire est très intéressante de par son sujet, et il y a plein de scènes très belles, surtout dans la première partie qui reste à mon sens la plus forte et la plus touchante. Le film mise beaucoup sur l’émotion, parfois jusqu’au mélo un peu exagéré, mais c’est rondement mené à ce niveau là, et suffisamment subtil pour ne pas ressembler à un tire-larme de base. Je ne peux pas dire que je me sois réellement ennuyé devant Cinema Paradiso compte tenu de sa longueur et de son sujet qui prête peu à l’action, mais c’est vrai que sur 3 heures il y a des scènes pas vraiment utiles, surtout dans la partie centrale et la dernière partie où il m’a semblé assez évident que le film se disperse trop. Globalement le film est fort, riche, mais pas assez synthétique, un peu trop mélo, et l’arrière-fond historique italien n’est pas vraiment mis en avant, alors qu’il aurait pu, cela n’en aurait donné que plus de force documentaire au métrage.
Malgré cela, Cinema Paradiso est plein de qualités. Formellement c’est un travail très propre, avec de belles images, une atmosphère originale dont je regrette néanmoins qu’elle ne soit pas plus appuyée. On sent que l’on est en Italie, il y a de beaux plans, mais c’est plus au niveau de l’ambiance sonore et lumineuse que j’ai eu quelques réticences. Néanmoins porté par une mise en scène inspirée, et par un travail techniquement solide, Cinema Paradiso reste un joli film, avec aussi une bande son signée Morricone largement exposée, et qui est pleine de mérites.
Enfin, le casting est convaincant. Philippe Noiret trouve un beau rôle, et si je trouve que son jeu reste assez identique d’un film à l’autre, il a toujours l’intelligence de choisir des rôles qui lui sied à merveille, et ici c’est le cas. Il était tout vu pour ce personnage un peu bougon et paternaliste, un mentor tout vu pour le jeune Salvatore. D’ailleurs, des trois acteurs qui l’incarne, le premier, Salvatore Cascio est le meilleur, et la première partie du film est la plus réussie en grande partie grâce à lui. Marco Leonardi est bon lui aussi, quant à Jacques Perrin je l’ai trouvé un peu fade dans le rôle sûrement le plus ingrat des trois, puisqu’il est tout en mélancolie, souvenirs tristes, ce qui forcément ne lui donne pas un grand élan.
Franchement, Cinema Paradiso est un film que j’ai bien aimé, mais je ne crierai pas au chef-d’œuvre. Peut-être la version courte est-elle meilleure, mais à mon sens, sans lui retirer ses atouts, ce film est trop long pour son propos, et il y a des imperfections. L’interprétation un peu inégale, l’ambiance pas toujours aussi forte et marquée qu’on pouvait l’espérer, des coquilles qui sapent un peu l’édifice. Après c’est un beau film à voir malgré tout. 3.5
Je n'ai pas beaucoup aimé. Il y a de bonnes scènes sur l'histoire des salles de cinéma : Cinéma en plein air, censure, prouesses techniques, sécurité du projectionniste, projection dans plusieurs salles... Mais le film est très long et l'on assiste à de nombreux bouts de films peu intéressants. Je l'ai trouvé trop long et n'ai pas été suffisamment intéressé par l'histoire de Salvatore à l'âge adulte. Quant à l'histoire du cinéma... Elle passerait mieux sans le superflus des personnages qui l'entourent. Beaucoup trop long, pour moi.
spoiler:
J'ai bien aimé jusqu'à l'accident de Philippe Noiret.
"Cinéma Paradiso" (1988) France 5 le 02.05.2016
C'était le second film des onze à ce jour du réalisateur Giuseppe Tornatore, et dont il fait aussi malheureusement le scénario...Lequel 'est truffé d'erreurs, d'anachronismes et la réalisation n'est pas exempte de reproches non plus. Et pourtant, l'alchimie a fonctionné, et pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître : pour un budget raisonnable, ce fut le jackpot avec deux millions d'entrées dans les salles. Il est vrai que le tandem Noiret-Salvatore Cascio (Toto,l'enfant) fonctionne à merveille, faisant penser au "Vieil homme et l'enfant" et que c'est le temps fort du film : les séquences où Toto devient adulte sont moins prenantes, moins spontanées... Dominique Besnehard, en préambule à la rediffusion de ce film sur France 5 le commentant, et précisait que la chaîne rendait un hommage à Noiret. Disparu voici dix ans, l'acteur nous a laissé en souvenir quelques 150 films dont certains admirables ! Parcours moins glorieux pour le petit Toto qui en grandissant, ne put embrasser la carrière d'acteur et se recycla dans la pizza.
Ce film fait revivre un des cinémas de quartier que la TV n'avait pas encore tués, qui essayai sur sa fin de survivre en diffusant des films érotiques, avant d'être dynamité sous les yeux de Toto. Il relate aussi l'amitié très forte qui naît entre un enfant et un projectionniste de films qui en même temps, censure les pellicules dans cette chaste Italie !
Quoique bien construit, le scénario est perfectible : il en a même été tiré plusieurs versions dont une "Director's cut" de 173 mn (!) en 2002 qui apporte une réponse à une question qui m'avait laissé sur ma faim dans la version de 125 mn. Même constat pour la réalisation, perfectible. Quant à l'accompagnement musical, il est signé Ennio Morricone : faut-il en dire plus ? Ce film a été inondé de lauriers : Oscar du meilleur film en langue étrangère, couronné au festival de Cannes 1989 et c'est assurément le chef d'oeuvre de Tornatore dont la production semble s'être éteinte en 2013, à ce jour. Un film sur le déclin du cinéma à une époque, débordant de tendresse, et aussi touchant qu'original.. A voir absolument !
willycopresto
C'était le second film des onze à ce jour du réalisateur Giuseppe Tornatore, et dont il fait aussi malheureusement le scénario...Lequel 'est truffé d'erreurs, d'anachronismes et la réalisation n'est pas exempte de reproches non plus. Et pourtant, l'alchimie a fonctionné, et pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître : pour un budget raisonnable, ce fut le jackpot avec deux millions d'entrées dans les salles. Il est vrai que le tandem Noiret-Salvatore Cascio (Toto,l'enfant) fonctionne à merveille, faisant penser au "Vieil homme et l'enfant" et que c'est le temps fort du film : les séquences où Toto devient adulte sont moins prenantes, moins spontanées... Dominique Besnehard, en préambule à la rediffusion de ce film sur France 5 le commentant, et précisait que la chaîne rendait un hommage à Noiret. Disparu voici dix ans, l'acteur nous a laissé en souvenir quelques 150 films dont certains admirables ! Parcours moins glorieux pour le petit Toto qui en grandissant, ne put embrasser la carrière d'acteur et se recycla dans la pizza.
Ce film fait revivre un des cinémas de quartier que la TV n'avait pas encore tués, qui essayai sur sa fin de survivre en diffusant des films érotiques, avant d'être dynamité sous les yeux de Toto. Il relate aussi l'amitié très forte qui naît entre un enfant et un projectionniste de films qui en même temps, censure les pellicules dans cette chaste Italie !
Quoique bien construit, le scénario est perfectible : il en a même été tiré plusieurs versions dont une "Director's cut" de 173 mn (!) en 2002 qui apporte une réponse à une question qui m'avait laissé sur ma faim dans la version de 125 mn. Même constat pour la réalisation, perfectible. Quant à l'accompagnement musical, il est signé Ennio Morricone : faut-il en dire plus ? Ce film a été inondé de lauriers : Oscar du meilleur film en langue étrangère, couronné au festival de Cannes 1989 et c'est assurément le chef d'oeuvre de Tornatore dont la production semble s'être éteinte en 2013, à ce jour. Un film sur le déclin du cinéma à une époque, débordant de tendresse, et aussi touchant qu'original.. A voir absolument !
willycopresto
Hymne au cinema, a l'amour, à la nostalgie Cinema Paradiso est un film profond et touchant, a l'académisme spontané et accrocheur. Présentant les sentiments humains en les corrélant à l'évolution du cinema, ce long métrage est un chef d'œuvre inébranlable qui émeut par sa sincérité.
https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
Cinema Paradiso : Un hymne à la vie, a l’amitié, a l’amour du cinéma. Non vraiment, ce film est remplit de nostalgique et d’émotion simple et humaine sur la vie qui passe et ce que on peut en faire. C’est avec ce genre de film que on peut dire : ça c’est du cinéma, c’est ce genre de film qui fait plaisir a voir et qui nous montre quelque leçon de la vie tout simplement. C’est a travers les yeux d’un homme que on va suivre depuis son enfance car cette enfant c’est liée d’amitié avec le projectionniste du village, a l’époque ou c’était la révolution du cinéma, a l’ancienne, avec la dur gestion des films, quand il y avait encore la pellicule qui pouvait bruler… je vous en dit pas plus. Mais sinon, le film raconte sa vie, comment il va découvrir son ami, l’amour du cinéma… Ce qui a de bien dans ce film, c’est qu’il montre tout les étapes de la vie du héros, l’enfant, ado, adulte donc on voit comme il évolue sa vie et tout, et déjà de base, les personnages sont très attachants et sympathiques a suivent, quand on voit leur déroulement sur le long terme de leur vie, c’est un angle intéressant et bien sympa. Et puis, ce que j’ai remarqué, c’est que il y a pas mal de leçon de vie comme je disais, mais elles sont bien montré et de façon simple car c’est grâce aux bons dialogues du film, quand on a de bons dialogues, ça s’entend et on retient mieux. Que demande de mieux quand on a de super acteurs pour les dires : le jeune acteur qui joue le héros enfant est très juste, et bien sur Philippe Noiret, quel acteur, il est remplit de charisme et de sincérité comme d’habitude, il y a que avec ce bon acteur que on transmet de bonne émotion. Finissons sur la technique du film : réalisation classique, a l’ancienne, en un mot : impeccable. Et les musiques, un pur bonheur et c’est singées Enrico Morricone, ce n’est pas rien. Donc voila, très beau film, très agréable à regarder.
Je l'avais vu il y a bien longtemps en ayant env. 15 ans, ce film m'avais alors laissé un superbe souvenir et m'avais transporté. Revu en 2016, environ 25 ans plus tard et curieusement j'ai beaucoup moins adhéré. Certes c'est poétique et Salvatore jeune est absolument irrésistible mais je l'ai finalement trouvé un peu longuet, et la magie n'à pas tellement opéré.
5 étoiles ne suffisent pas à juger ce film, et les mots sont inutiles, mais je vais quand même essayer.
Giuseppe Tornatore a créé là une œuvre magistrale, un monument du 7ème art, non LE monument.
Cinema Paradiso nous conte l'histoire d'un enfant nommé Salvatore privé de son père par la guerre et qui va se prendre d'affection pour le projectionniste du cinéma du village de Giancaldo en Sicile. Le vieil homme va apprendre au garçon son métier car tous deux partagent la passion du cinéma. S'ensuivra moultes péripéties pour Salvatore et une histoire d'amour d'une intensité rare car le film se présente comme une grande fresque démarrant à l'enfance de Salvatore, puis passant par l'adolescence pour arriver à l'age adulte. Ce film est donc une déclaration d'amour au cinéma. Tout cinéphile se doit de le voir, en version longue impérativement.
Le casting est parfait, à commencer par Philippe Noiret, exceptionnel de justesse, mais aussi tous les autres et avec une mention spéciale au jeune Salvatore Cascio. Avec ces images d'une Sicile éternelle dignes d'une carte postale, la musique du maitre Ennio Morricone vient compléter le tableau. C'est d'ailleurs peut-être sa meilleure composition à mon goût. Voilà un film qui donne chaud au cœur et qui tire les larmes comme rarement. Voir ce chef-d’œuvre est un privilège, savourez-le confortablement installé dans votre canapé et entouré des gens que vous aimez. Après ça vous pouvez mourir.
Giuseppe Tornatore a créé là une œuvre magistrale, un monument du 7ème art, non LE monument.
Cinema Paradiso nous conte l'histoire d'un enfant nommé Salvatore privé de son père par la guerre et qui va se prendre d'affection pour le projectionniste du cinéma du village de Giancaldo en Sicile. Le vieil homme va apprendre au garçon son métier car tous deux partagent la passion du cinéma. S'ensuivra moultes péripéties pour Salvatore et une histoire d'amour d'une intensité rare car le film se présente comme une grande fresque démarrant à l'enfance de Salvatore, puis passant par l'adolescence pour arriver à l'age adulte. Ce film est donc une déclaration d'amour au cinéma. Tout cinéphile se doit de le voir, en version longue impérativement.
Le casting est parfait, à commencer par Philippe Noiret, exceptionnel de justesse, mais aussi tous les autres et avec une mention spéciale au jeune Salvatore Cascio. Avec ces images d'une Sicile éternelle dignes d'une carte postale, la musique du maitre Ennio Morricone vient compléter le tableau. C'est d'ailleurs peut-être sa meilleure composition à mon goût. Voilà un film qui donne chaud au cœur et qui tire les larmes comme rarement. Voir ce chef-d’œuvre est un privilège, savourez-le confortablement installé dans votre canapé et entouré des gens que vous aimez. Après ça vous pouvez mourir.
pierrre s.
Amour, amitié et cinéma sont au cœur du film de Guiseppe Tornatore. En résulte une œuvre pleine d'émotion, en forme d'hymne au 7éme Art.
Excellent, un magnifique film. Une histoire touchante, beaucoup de moments drôles, des personnages attachants, de beau paysages...
Giuseppe Tornatore signe une fresque sublime à partir d'une histoire magnifique et très touchante. En fait j'ai été comme avec La légende du pianiste sur l'océan, je ne voulais pas que le film s'arrête. J'aimais tout dedans, l'histoire, les personnages, la musique exceptionnelle de Morricone, une fois de plus... J'ai tout de même un reproche à faire, les acteurs surjouent parfois mais ça reste assez léger. Philippe Noiret a un rôle excellent et il l'incarne à la perfection. Il est à fois le père, le frère et l'ami de Salvatore. Cinema paradisio est un hommage sublime au cinéma où l'on voit l'évolution des pellicules et des caméras... J'ai suivi avec intérêt et passion l'histoire du héros et je ne voulais pas que le film s'arrête!
Film découvert il y a longtemps et qui m'avait beaucoup touchée. Beaucoup d'émotions et très beaux jeux d'acteurs.
Le cinéma a une longue histoire qui a traversé les générations. Mais attention, une belle histoire, une histoire d'amour et de passion (d'argent aussi mais là on est dans la poésie). Cinéma paradiso est probablement l'un des plus beaux hommages au septième art. On y suit l'enfance d'un jeune italien qui va découvrir le cinéma. Au delà du cinéma, le film est également bourré de nostalgie (ceux qui ont déjà quitté un endroit où ils ont vécu de beaux moments me comprennent), et la dernière partie à elle seule suffit à arracher des larmes. Les personnages sont plutôt bien écrits, sauf Salvatore. Au début, quand il est gosse, il est attachant, espiègle et innocent, mais il perd de sa consistance lorsqu'il devient adolescent. Mes autres regrets sont que le personnage d'Elena n'apparaît que trop peu pour vraiment devenir attachante, et la carrière de Salvatore après son départ du village n'est pas montrée, c'est dommage. Sinon, c'est agréablement filmé, bien joué, ce n'est pas ennuyeux et la musique d'Ennio Morricone est sympathique.
Un beau film plein de nostalgie et de tendresse.
Un beau film plein de nostalgie et de tendresse.
L?c!s_H00d
Une œuvre touchante bercée par des comédiens magnifiques. Le réalisateur Giuseppe Tornatore ("The Best Offer") signe ici le long-métrage le plus abouti de sa carrière. L'histoire est d'une grande qualité d'écriture malgré quelques longueurs. Elle multiplie les séquences d'émotions et humoristiques avec une habileté sublime. Le duo principal contribue d'ailleurs à l'immensité de la richesse de cette œuvre. Philippe Noiret nous livre une interprétation tout simplement magistrale, tout comme les nombreux comédiens interprétant Toto Salvatore au long de sa vie. Une vie très bien mise en scène et superbement réalisée.
"Cinéma Paradiso" est donc au final une véritable déclaration d'amour envers le Cinéma et un beau film comme on aimerait en voir plus souvent.
Je précise tout de même que j'ai vu la version longue director's cut.
"Cinéma Paradiso" est donc au final une véritable déclaration d'amour envers le Cinéma et un beau film comme on aimerait en voir plus souvent.
Je précise tout de même que j'ai vu la version longue director's cut.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse