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    Cinema Paradiso
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    210 critiques spectateurs

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    Pilou
    Pilou

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2022
    J'ai tout adoré du film pendant les 2 premières heures, tout était parfait ! L'histoire du grand Cinéma dans le petit cinéma, l'évolution des personnages, la réalisation excellente... Et puis il a fallu les 30 dernières minutes. Quelle déception. Les plans sont moins réfléchis, le rythme baisse, bref, même la révélation ne justifie pas ces 30 dernières minutes qui semblent bâclées par rapport à l'immense travail sur les 3 quarts du film. spoiler: Je n'aime pas les fins ouvertes d'habitudes, mais j'aurai ici préféré que Salvatore découvre le message laissé par Elena et caché par Alfredo dans les affaires qu'il lui laisse, juste après la destruction du cinema paradisio. ainsi il aurait été le choix du spectateur de choisir entre les retrouvailles ou non. Et cela nous aurait évité les minutes ennuyeuses où Salvatore tombe sur la fille d'Elena (cliché !) avant de remonter jusqu'à elle.
    En voulant tout expliquer, on retire peu à peu la magie du film... Qui est tout de même excellent.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 25 février 2020
    Dommage que l'attribution d'une note basse lui confère un statut de film "mauvais" selon les critères d'Allociné . J'ai décide de lui attribué 1,5 non pas en guise de vote sanction car le film n'est pas mauvais mais bien car j'ai trouvé qu'il était d'une longueur insoutenable, en version longue qui plus est (2H47) le supplice était proche.

    Le Main Thème pour ma part m'a plus irrité qu'autre chose, il cherche a extraire la sensibilité qui nous habite et nous emporter dans un torrent d'émotions. De la sensibilité j'en ai à revendre mais encore faut-il pour cela que la mise en scène et la façon dont le sujet est traité me touche, ce n'a pas été le cas. Je l'ai donc le subi comme un châtiment supplémentaire.

    Certains acteurs cabotines avec une façon de jouer très scolaire, Salvatore adolescent et sa damoiselle notamment, On imagine très bien le "action" puis "coupé" lors de la scène de leur baiser plus factice que délice à l'écran.

    Noiret et son jeu réputé théâtral en rajoute une louche dans le larmoyant, mais le duo qu'il forme avec le petit Salvatore est magique et touchant, Le gamin est extrêmement brillant, comme quoi on peut n'être qu'un môme et novice dans le monde du cinéma mais être la révélation du film. Il a d'ailleurs décroché plusieurs récompenses en tant que meilleur acteur dans un second rôle pour sa prestation remarquable.

    Un film qui je pense ne fera pas de demi-mesure certains vont l'adorer et il y en une kyrielle dans ce cas, il est un incontournable du septième art et je ne regrette pas de l'avoir vu, et d'autres comme moi vont le subir
    Theoz
    Theoz

    2 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2020
    Un merveilleux film qui, avec sa musique géniale et beaucoup d'émotions, est dans mon top 10 des meilleurs films de tout les temps. Un très bon choix de film à voir pour ce soir...
    Fabien S.
    Fabien S.

    543 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Un très beau film sur le cinéma. Philippe Noiret joue un projectiste. Mais à l'époque, on n'a pas le droit de montrer les scènes de baisers dans les films.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 mai 2019
    Imaginez : vous aimez passionnément le cinéma, et vous avez devant vous un film qui réunit toutes les émotions possibles : l’amour, l’amitié, la complicité, l’enfance, les premiers émois amoureux adolescents, la famille, le temps qui passe, les regrets, la vie, la mort… On passe d’une émotion à l’autre durant plus de deux heures, avec en prime une mélancolie, qui lui colle à la peau comme la chaleur moite de Sicile où se déroule le film… Tous les sentiments d’une vie entremêlés dans ce chef-d’œuvre cinématographique intemporel qu’est « Cinéma Paradiso ».

    L’amitié touchante entre Alfredo et Toto qui noue dès l’enfance de ce dernier, et du bougon mais chaleureux et si généreux Alfredo, est au cœur du long-métrage. Si Toto est passionné de cinéma, et sera en premier lieu projectionniste, « chapeauté » par Alfredo, il deviendra une fois adulte réalisateur ; on verra tout le long du film des scènes de projections de films au cinéma Paradiso, et les images se passent sans doute de commentaires, Toto (Salvatore adolescent et adulte), ne mettra jamais vraiment de mots sur sa passion durant le film.

    Elena, l’amour manqué de Salvatore, la seule chose qui lui manquera comme il le dira lui-même, pour être pleinement heureux, s’est joué de malchance (et du fait d’Alfredo aussi) : ils s’en rendront compte 30 ans après. Malgré la vie et les années qui passent, l’amour et les souvenirs sont restés mais reprendront-ils pour autant leur histoire là où elle s’était arrêtée ?

    Le fait que « Cinéma Paradiso » se déroule en Sicile et soit à moitié un film italien lui confère une atmosphère davantage « spleenétique » et nostalgique, que la musique d’Ennio Morricone vient renforcer.

    Philippe Noiret était un acteur remarquable et le jeune garçon interprétant Toto touchant, plein de justesse et de facéties, comme un petit garçon qu’on a toutes et tous connus (Salvatore Cascio, « grand » maintenant).

    « Cinéma Paradiso » est un monument du cinéma, dont Philippe Noiret et l’interprète de Toto enfant sont les clés de voûte, les piliers fondateurs d’une émotion intense provoquée par la complicité entre un enfant et un homme qu’il aimera comme son père, partagée grâce et autour de leur passion commune du cinéma.

    Mon analyse complète du film sur mon blog: reves-animes.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Chef d’ouvre!! Il s’agit d’ un film très emouvant et qui recontar une historie paso normal. Le jeu des Actors est vraiment admirable et les dialogues Sont excellents
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 580 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2019
    C’est dans l’ouverture du cinéma de sa bourgade sicilienne natale, quelques années après la fin de la guerre, et dans sa rencontre avec Alfredo le projectionniste, que toute la vie de Salvatore Di Vita, devenu un grand réalisateur italien, trouve son origine et sa justification. Signe que ‘Cinema Paradiso’ est l’oeuvre d’un passionné qui veut faire oeuvre de pédagogie, on apprends pas mal de petites choses tout au long des deux heures trente de ce qui est à la fois une saga villageoise, un mélodrame poignant et une étude sur l’histoire du cinéma en Italie, qui approche le métier et les conditions de diffusion et de distribution des films à cette époque héroïque : la chaleur qui se dégageait des projecteurs, les bordereaux de prêt des bobines punaisés au mur, l’inflammabilité extrême de ces dernières, qui faisait du métier de projectionniste une profession à haut-risque,...mais on découvre surtout ce que représentait à cette époque le cinéma, loisir populaire par excellence capable de rassembler tout un village. Le spectacle se déroulait autant sur l’écran que dans la salle : on y chahutait, on y pleurait, on s’y indignait ensemble, on y répétait religieusement avec quelques secondes d’avance des dialogues connus sur le bout des doigts, les jeunes adultes y faisaient des rencontres et y flirtaient discrètement, tandis que les ados découvraient les choses de la vie avec Sophia Loren ou Brigitte Bardot. A l’ère du numérique et de la saturation des contenus, ponctué comme il l’est d’extraits de classiques italiens et internationaux, comédies slapstick, mélodrames muets et péplums Cinecitta, ‘Cinema Paradiso’ est une pure déclaration d’amour au 7ème Art, celui dont certaines images vous poursuivent une vie durant et parviennent à ce que vous puissiez, à des années d’écart, vous rappeler l’endroit, les personnes avec qui vous étiez et même ce que vous avez mangé le jour où vous avez découvert l’une des scènes immortelles en question. De manière plus littérale, l’ultime scène de ‘Cinéma Paradiso’, particulièrement émouvante, affirme haut et fort que sa plus grande force, son plus puissant marqueur d’immortalité, est justement sa capacité à survivre à ceux qui le rêvent, à ceux qui le façonnent et à ceux qui l’aiment. Si le cinéma, dans toutes ses dimensions, enserre le film de part en part, ce biais n’est pas exclusif puisque ‘Cinema Paradiso’ survole une enfance, puis une jeunesse italienne revisitées par le prisme d’un village méditerranéen typique, dont ses habitants les plus archétypaux font un personnage à part entière du récit : le curé qui veille à la moralité de ses ouailles en caviardant les scènes répréhensibles sur chaque pellicule, l’idiot du village qui erre sur la place en beuglant, le gagnant à la loterie qui s’improvise gérant de salle, Alfredo, le projectionniste bourru, qui incarne une figure paternelle pour le petit Salvatore, dont le père a disparu sur le front de l’est et, bien sûr, parce qu’on est tout de même dans un mélodrame (ou en tout cas dans quelque chose de très sentimental), il y a la femme, forcément inaccessible, parce qu’il est pauvre et qu’elle est riche, parce qu’on est en Italie dans les années 50 et parce que le destin s’en mêle, tout simplement. Ainsi ‘Cinema Paradiso’ parle de l’enfance, il parle de l’amour, il parle du cinéma et même du cas particulier du cinéma italien puisqu’à l’époque de la sortie de ‘Cinema Paradiso’, ce dernier, autrefois principal moteur de cinéma populaire européen, était à l’agonie, laminé par la concurrence de la télévision, un constat et un cri d’alarme implicite sur lequel Tornatore ne pouvait pas faire l’impasse. En fait, en contrepoint de l’immortalité présumée du 7ème art, le film parle de la Vie, de la manière dont elle s’accélère au moment même où on souhaiterait qu’elle ralentisse, alors qu’elle prenait tout son temps quand on brûlait de l’impatience des jeunes années. Lorsque Salvatore revient, à l’âge mûr, pour assister à l’enterrement d’Alfredo, dans ce village qu’il a fui 30 ans plus tôt, le film se mue en méditation sur le temps qui passe, le poids des souvenirs, les rêves qui se sont fanés, les choix existentiels dont, a posteriori, on n’est plus vraiment certain qu’ils étaient les bons, et ce retour aux sources se teinte d’une puissante mélancolie nostalgique. Peut-être que ces thèmes touchent une corde sensible chez moi mais alors que je n’avais absolument jamais entendu parler de ce film, pas plus que je ne l’avais classé dans ma catégorie mentale des choses que je devais voir absolument, ‘Cinema Paradiso’ fait partie de ces oeuvres dont on sait, instinctivement, qu’elles sont de véritables classiques du cinéma mondial.
    Redzing
    Redzing

    1 108 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2018
    Dans un petit village de Sicile des années 50, un jeune garçon se passionne pour le cinéma local, et en particulier pour le projectionniste affable. "Nuovo Cinema Paradiso" raconte leur histoire d'amitié sur plusieurs années, offrant ainsi à la fois un récit initiatique, et un film mélancolique sur la terre natale. Il s'agit avant tout d'un film beau et touchant, qui n'a pas volé ses multiples récompenses à sa sortie. La BO d'Ennio Morricone contient plusieurs compositions notables très réussies, la réalisation de Giuseppe Tornatore est inspirée dans le choix de ses plans et dans ses mouvements de caméras, le montage habile. Philippe Noiret est attachant en vieux projectionniste faisant office de figure paternaliste pour un garçon espiègle interprété avec malice par Salvatore Cascio. Mais les émotions du film frappent également : entre les séquences où se mêlent nostalgie et humour bon enfant, et plusieurs scènes déchirantes dans le dernier acte, "Nuovo Cinema Paradiso" émeut facilement son spectateur. Un très beau film.
    Patrice A
    Patrice A

    20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2018
    C’est un chef-d’œuvre , un film remarquable bouleversant de simplicité et retraçant le temps qui passe les acteurs sont remarquables et que dire de la musique
    Laura M.
    Laura M.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Vu cinq fois en VO au cinéma (je ne voulais pas rater ce magnifique accent sicilien) ...cinq fois une standing ovation en salle, c'est tout dire !
    Un des films qui ont changé ma façon de voir la vie...Philippe Noiret est sublime, le petit Toto aussi !
    joelle g
    joelle g

    88 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2017
    Un film magnifique , sur un monde qui nous semble si lointain....un beau rôle pour Philippe Noiret ....les amateurs de cinéma ne peuvent qu'apprécier cette époque où le cinéma était LA sortie de la semaine , un moyen de rapprocher les gens , le monde....
    Un prix à Cannes mérité...
    Marie B
    Marie B

    1 abonné 35 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2017
    Un joli bijou que ce film, une déclaration d'amour faite au cinéma d'avant , Et la fin est tellement belle..
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2017
    Cinema Paradiso est un beau film de Giuseppe Tornatore sur le cinema et ses valeurs.
    L'histoire est très belle, sans doute un des meilleurs hommage que le cinéma pouvait se faire à lui-même.
    Philippe Noiret décroche ici sans doute son plus beau rôle et il est parfait dedans et les différents acteurs pour incarner le personnage de Salvatore di Vita sont bons aussi.
    Le film est en revanche trop long à mon goût et aurait mérité d'être raccourci et du fait de sa longueur, le film m'a un peu moins marqué.
    Les décors italiens sont très beaux. La bande-originale l'est également.
    Un monument du cinéma italien, après je ne suis pas forcément un très grand fan du cinéma filmant le cinéma.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    120 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2017
    Un film si beau que les péripéties initiales le font passer, par trop-plein de richesse, pour un mélange raté de réalité historique et d'interprétation décalée des campagnes italiennes. Les enfants jurent et fument, chapeautés par une population adulte aux excès marqués où tout le monde est représenté, de l' "idiot du village" à un prêtre ultra-traditionnaliste, en passant par le gentil projectionniste et les mères débordées, entre beaucoup d'autres. C'est un départ dépaysant mais en fait pas un ratage ; juste une bouillonnante amorce du propos général truffé de références, de passages cocasses et d'émotions, dont le déroulement n'obéit pas forcément aux critères du genre ; c'est pourtant une oeuvre italiennissime !
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2017
    Salvatore di Vita (Jacques PERRIN), qui vit à Rome, est prévenu par sa mère, qui vit en Sicile (où il n’est pas retourné depuis 30 ans), de la mort d’Alfredo (Philippe NOIRET), l’ancien projectionniste du cinéma Paradiso de son village. Un long flash-back montre sa jeunesse spoiler: (surnommé Toto, il partageait son temps entre l’église où il était enfant de chœur et la cabine de projection où Alfredo lui a appris le métier) et son adolescence (premier baiser le 31 décembre 1954 dans la cabine de projection et service militaire)
    . Très beau film sur l’amitié et la complicité entre un adulte (sans enfants) et un jeune ( spoiler: qui lui sauvera la vie
    ) dont le père est mort à la guerre et mal compris par sa mère, sur le temps qui passe (obsèques d’Alfredo très émouvantes) et les transformations qu’ont subies l’Italie et la Sicile (île natale du réalisateur) depuis la seconde guerre mondiale, sans oublier l’hommage au cinéma, notamment américain, français et italien. On y voit, notamment, des extraits des « Bas-fonds » (1936) de Jean Renoir avec Jean Gabin et Louis Jouvet, de « La chevauchée fantastique » (« Stagecoach ») (1939) de John Ford avec John Wayne et Claire Trevor, de « La terre tremble » (« La terra trema ») (1948) de Luchino Visconti, du « mensonge d’une mère » (« Catene ») (1949) de Rafaello Matarazzo, et d’ « Ulysse » (1954) de Mario Camerini avec Kirk Douglas dans le rôle-titre. .
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