Mon compte
    Cinema Paradiso
    Note moyenne
    4,2
    8903 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Cinema Paradiso ?

    210 critiques spectateurs

    5
    108 critiques
    4
    60 critiques
    3
    21 critiques
    2
    11 critiques
    1
    7 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    86 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    Joli hommage aux salles obscures et à l'impacte féerique qu'à eux le septième art sur la population des villages. Une scène notamment magnifique où l'image se déplace et s'installe sur une bâtisse en plein milieu d'une place de village sous l'œil émerveillé des habitants. Noiret comme d'hab délicieux en projectionniste bougon au grand cœur. Dommage sur la dernière partie du film ne soit pas à la hauteur du début. Finalement on s'en fout un peu des premiers émois amoureux de Toto... mais ça reste très charmant.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 771 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 décembre 2022
    Connaitriez-vous ce metteur en scène sicilien, sans ce chef-d’œuvre réalisé en début de sa carrière pour rendre hommage au septième art ? Il fait partie de ces réalisations tournées dans un état de grâce tel que tout vous réussit. Le résultat en est un cocktail délicieux de rire, de nostalgie, de drame et d’authenticité, dans un dosage équilibré et parfait.

    Tornatore a tourné dans son village d’origine, sans forcer le trait ni son talent, il a su en retranscrire tous les côtés attachants mais aussi le cruel manque d’horizon et d’avenir si l’on ne sait pas en sortir pour aller découvrir le monde. A l’époque de l’après-guerre, le cinéma a été cette petite fenêtre pour regarder plus loin que le village d’à côté, avant que la télévision ne prenne le relais de cette fonction.

    Les acteurs sont également les grands artisans de cette réussite, particulièrement les protagonistes d’un face-à-face improbable. Qui peut résister au duo de choc, entre un gamin acteur débutant aux mimiques irrésistibles et un vieux briscard comme Philipe Noiret, ébloui de pouvoir éduquer à la magie du cinéma le jeune Toto. Ce dernier a perdu son père à la guerre, Alberto n’a pas eu d’enfant. La mayonnaise ne va pas être longue à prendre, malgré l’opposition molle de la mère et du curé, propriétaire de la salle de projection paroissiale. Alberto, devenu son tuteur de fait, remplace l’éducation qu’il n’a pas eue par du bon sens, alimenté en citations extraites des films projetés toute les semaines sur son écran. Il avertit Toto cependant que « le cinéma, c’est du rêve, pas la vraie vie, ne suit pas mon chemin de petit projectionniste sans avenir… »

    Le départ du village est brutal, mais les racines sont là, pour toujours. Salvatore (Toto adulte), joué par Jacques Perrin, le projectionniste précoce devenu célèbre a cru pouvoir les oublier, jusqu’au jour de son retour chez sa mère, laquelle a conservé religieusement les objets de son enfance dans une chambre musée. Pleine de sagesse, elle lui dira sa vérité sur le grand amour perdu de sa jeunesse. Un beau portrait d’une mère italienne authentique, bien que pas possessive pour un poil !

    Le spectacle est bien sûr autant dans la salle qu’à l’écran, les scènes les plus chaudes ayant été coupées sous la houlette de la censure du curé local ! Il faut avoir vu un film en Afrique ou en Asie pour savoir que ce type de représentation publique existe encore de par le monde, et n’est pas seulement une reconstitution passéiste du cinéma d’antan en Italie.

    Cinéma Paradiso est intemporel, les temps changent, mais sa magie opère toujours. Le cinéma renait de ses cendres même avoir été moribond. Il accompagne la jeunesse de ses fanatiques, abrite leurs premiers émois, leurs premières amours, leur apprentissage de la vie sociale aussi. En le regardant, je revoyais ainsi une place de Syracuse –normal c’est en Sicile- tout autant que celle de Beni-Isguen en Algérie, bref des lieux d’exception, inscrits dans le fonds de ma mémoire. Laissez-vous porter par l’ambiance que vous distille le Paradiso pour faire remonter la trace des meilleures séquences que vous ayez vues ou vécues.

    Enfin cerise sur le gâteau, Ennio Morricone nous propose une lancinante mélodie dont il a le secret, qui vous reste accrochée en tête pour la soirée. Jacques Perrin, dans un rôle bref mais essentiel, peut se mettre les mains derrière la tête et ne pas en revenir : la magie du cinéma fonctionne là, sous nos yeux.

    Août 2015

    PS: Revu pour la cinquième fois en décembre 2022, je n'enlève pas une ligne au commentaire précédent alors que je fais découvrir à un préado de 12 ans cet incontournable monument du grand écran, et le dernières stats de cette année nous confirment que le cinéma en salle peine à retrouver sa fréquentation d'avant covid. On continue, comme disait Bertarnd Tavernier....
    Gilles B
    Gilles B

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Une oeuvre poignante et émouvante portée par des comédiens inspirés et un Philippe Noiret alors au sommet. Un bel hommage au cinéma et à l'amour. La musique du génial Morricone. Une fin de film inoubliable,parmi les plus jolie du 7e art. Succès mérité
    antonin b.
    antonin b.

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2022
    Je peux pas être objectif sur ce film et je le serais jamais. La musique me transporte à chaque fois et l’histoire me rassure sur mes passions
    Sabine
    Sabine

    9 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mai 2022
    Quel plaisir de revoir ce film dans une salle de cinéma, mais aussi quelle tristesse !!! Philippe Noiret et surtout Jacques Perrin... Le cinéma c'est aussi ça : garder un trace très tangible de l'existence de certaines personnes... Et ce film nous le rappelle plus que tout autre. J'aime cet amour déclaré au cinéma et aux salles de cinémas, et cette nostalgie habillée de tendresse et d'une pointe d'humour que l'on retrouve chez de nombreux cinéastes italiens (je pense à Fellini, Antonioni, Visconti dans un autre genre, mais aussi Sorrentino ou Moretti, Begnigni, et tous ceux qui me restent à découvrir)... Un film à voir et revoir sans modération !
    Melanie M
    Melanie M

    2 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2022
    Un magnifique film qui retrace la vie d'un village sicilien après la deuxième guerre mondiale, où le cinéma du village est un pilier central des histoires du village, le tout vu à travers les yeux d'un petit garçon aujourd'hui devenu grand. L'amour du cinéma y est indélébile, malgré tout ce qu'il peut se passer autour, porté par la musique d'Enio Morricone.
    C'est un chef-d'œuvre à voir absolument.
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    LE film qui devrait plaire à tous les amoureux du cinéma ! En effet, Cinema Paradiso est un sublime hommage au 7ème Art et à la passion que ressent tout cinéphile pour lui. Le film de Giuseppe Tornatore déborde en outre d’humanité. Le cinéaste lie ainsi la nostalgie du cinéma qu’il pense être en voie de disparition (les salles fermaient les unes derrière les autres en Italie à cause de la démocratisation de la télévision et de l’essor de la VHS) aux sacrifices que celui-ci peut amener spoiler: (Alfredo semble avoir abandonné toute vie privée à cause de son métier)
    , à la nostalgie des villages italiens d’antan et à l’amour absolu souvent magnifié par les films spoiler: (Toto n’a jamais réussi à oublier l’amour qu’il portait à Elena et à se créer une vie privée stable à cause de cela)
    .
    L’émotion dont le film regorge est également due aux talents dont Tornatore a su s’entourer notamment au niveau des comédiens. Que ce soit Philippe Noiret, Jacques Perrin, Marco Leonardi, Agnese Nano ou encore Brigitte Fossey (dans la version longue), tous sont géniaux mais ils sont pourtant surpassés par un petit bout de chou de moins de 10 ans qui n’est pourtant présent que dans une moitié ou un tiers du film selon les versions : Salvatore Cascio qui est plein de charme et d’humour.
    Mais ne parler que de la réalisation, du scénario et des acteurs serait oublier un élément essentiel aux sentiments dégagés par le film. En effet, ce dernier bénéficie d’un talent supplémentaire et essentiel à l’Histoire du cinéma italien : Ennio Morricone ! Le très grand compositeur (considéré par beaucoup de cinéphiles comme LE plus grand) livre une musique sublime qui est juste inoubliable et incroyablement émotionnelle. Celle-ci permet notamment d’augmenter la force de la sublime scène finale spoiler: qui est un montage des baisers de Cinéma mélangeant à la fois l’amour de cet art et celui que Salvatore a toujours ressenti envers Elena
    .
    On pourra noter que cet aspect est renforcé dans la version longue. En effet, si les versions longues sont parfois accessoires, cela n’est aucunement le cas de Cinema Paradiso. L’idéal est de voir les deux montages mais, s’il fallait en privilégier un, ce serait clairement celui-ci car la quarantaine de minutes supplémentaires change profondément l’œuvre. Si la première et la seconde parties sont peu affectées (même si le rythme est un peu meilleur dans la deuxième), c’est la dernière qui est beaucoup plus longue et qui change radicalement l’appréciation des personnages et des événements. Elle en devient ainsi beaucoup plus émouvante. On passe ainsi du statut d’excellent film à celui de chef-d’œuvre absolu. On pourrait même penser que l’excellente version cinéma (montée et totalement validée par Tornatore lui-même suite à l’échec commercial et critique du premier montage en Italie) est une forme de massacre de l’œuvre originale.
    Film récompensé par le Grand Prix du jury (ex-aequo avec Trop belle pour toi) au Festival de Cannes en 1989, Cinema Paradiso est une œuvre juste sublime regorgeant d’émotion, de nostalgie et d’amour (que ce soit celui du cinéma ou de l’amour avec un grand A) qui peut être considérée, surtout dans sa version longue, comme une des plus belles œuvres de l’Histoire du 7ème Art. Magnifique !
    ldi-maria78
    ldi-maria78

    3 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    C’est sans nul doute à l’un des plus passionnants métrages qui puissent exister auquel je m’attaque : Cinema Paradiso (version longue et donc Il Nuovo Cinema Paradiso), un des plus beaux films traitant l’amitié. Une amitié hors du commun entre Alfredo (Philippe Noiret) un cinquantenaire illettré, projectionniste au Cinema Paradiso et Salvatore dit ‘’Toto’’ un jeune gamin captivé par le septième art. Cinema Paradiso est le prototype même du film comique italien et pourtant parfaitement illustré par le grand Philippe Noiret étincelant de tendresse, enseignant à son jeune protégé la vie et ses difficultés. La complicité entre cet homme et cet enfant est forte comme un père avec son fils. Mais cette complicité est surtout reflétée la conscience d'adulte opposée à l'insouciance de l'enfant. Les acteurs transalpins sont convaincants bien que méconnus en France. Giuseppe Tornatore fait une véritable déclaration d’amour au cinéma dans une atmosphère sicilienne tout juste impactée par la Seconde Guerre mondiale. Ce bijou est rempli de mélancolie et de nostalgie et est donc chargé en émotion, il est difficile de trouver les mots justes pour décrire cette merveille. La passion y est le moteur, elle accompagne la vie de Salvatore, en commençant par son adoration pour le grand écran tout en passant par son amour exaltant pour Elena qui frise le tragique. Ennio Morricone signe une de ses plus belles compositions pour nous émouvoir davantage et apporté un parfum de beauté supplémentaire à l'œuvre. De par des sentiments indescriptibles qu’il procure, Cinema Paradiso fait bel et bien parti du gratin du septième art. C'est tout simplement l'œuvre de la vie.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 1 996 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 octobre 2021
    Véritable ode au cinéma, dont les diverses émotions sont illustrées symboliquement par les réactions des spectateurs et culminent dans une ultime séquence viscéralement bouleversante, ce drame mêle extraits et références génériques avec une dextérité remarquable, ne sombrant jamais dans le catalogue ou le superflu, tout en suivant les évolutions techniques de ce medium en parallèle de celles de la société italienne puisque la dimension sociale voire politique de l'intrigue côtoie la sentimentale. Riche récit d'apprentissage suivant l'évolution d'un enfant parfois véritablement agaçant vers l'âge adulte à travers l'épreuve sous-entendue de l'orphelinage ainsi que sa relation avec le machiniste - incarné puissamment par un pudique Philippe Noiret - et son histoire d'amour déçue, le film évoque également le poids des souvenirs ou des regrets, notamment à travers le touchant personnage maternel. Bénéficiant de la musique vibrante de Morricone, les scènes résistent au danger du pathos en instillant une touche d'humour dans la tendresse manifestée pour l'ensemble des personnages afin de nous convier au double voyage intérieur du héros, dans ses ressentis et dans ses histoires passées. Dommage que la version répandue soit tronquée de séquences utiles voire nécessaires à une pleine compréhension des enjeux thématiques et relationnels.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2021
    Le deuxième long-métrage de Giuseppe Tornatore, réalisé en 1988, constitue un bel hommage à la grande Historie du cinéma. En effet, à travers les yeux d’un jeune garçon qui grandit, on suit l’évolution technologique du septième art. Mais surtout, on a le droit à une histoire humaine dans laquelle l’amitié, l’amour, la déception et les regrets sont exposés de manière sensible. Les différents acteurs restent très convaincants, en particulier Philippe Noiret dans ce rôle de projectionniste à la fois malicieux et philosophe. Bref, une très belle comédie qui mérite amplement son Oscar du meilleur film en langue étrangère.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    271 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 août 2021
    Superbe hommage à la force d'évocation du septième art, assorti d'une merveilleuse relation "père-fils" qui se noue lentement avec une formidable tendresse. Baigné par la partition puissamment nostalgique d'Ennio Morricone, ce film de Giuseppe Tornatore est un hymne à l'amour et à la transmission du savoir, appuyé par des comédiens impeccables d'un bout à l'autre, une mise en scène qui sait convoquer l'émotion par de subtiles trouvailles pleines de poésie, sans oublier les pointes d'humour et de drame, jouant avec justesse des mots comme des silences pour figurer les joies et les peines. Une merveille de "cinéma total".
    Kiberen
    Kiberen

    22 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2021
    30 ans après sa sortie et en bénéficiant d'une restauration magnifique, "Cinema Paradiso" reste un chef d'oeuvre absolu, véritable étude pleine de vie de la salle de cinéma et de son public. Une plongée merveilleuse dans l'italie d'après guerre, déclaration d'amour aux petits cinémas populaires qui faisait la vie sociale des villages.

    L'envie de hurler de joie, de pleurer de sourire est constante, et les bons sentiments n'affectent jamais les qualités propres du film. Il est rare de voir une expression de ce qui fait notre humanité et notre amour du cinéma aussi généreuse, filmé avec tant de respect et d'amour. La nostalgie des premiers instants laissant place progressivement à un regard plus grave mais jamais sombre qui culmine avec merveille et recul dans son splendide troisième acte.

    Il est d'ailleurs intéressant de noter que cette version restaurée et approuvée par le réalisateur et son directeur de la photographie n'est pas la director's cut du réalisateur Guiseppe Tornatore mais bien la version cinéma plus courte de 25 minutes. Certains crieraient à l'hérésie sans peut être savoir que parmi les fans de "Cinéma Paradiso" dont je parti, le débat existe toujours sur quelle est la meilleure version, la director's cut n'étant pas si souvent que cela privilégié, la faute à de gros rajouts dans le troisième acte qui de l'avis de certains (dont moi) rendent le film bien trop long et amenuisent la portée émotionnelle de son final. A chacun de se faire son propre avis, mais pour cette version restaurée en tout cas ce sera la version cinéma de 2h.

    Foncez sur ce film si vous ne l'avez jamais vu, ne vous privez pas d'une formidable expérience de cinéma sur l'expérience du cinéma, sa beauté et ce qui l'a rend aussi unifiante.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 142 abonnés 5 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    Un film témoignage sur un homme mais aussi sur un passé. Celui où les gens du bas ne côtoyaient pas ceux du haut.
    Le don de faire rêver les gens et le don de la transmission.
    Un beau film plus émouvant dans sa deuxième partie.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juin 2021
    Un homme d’âge mur se remémore son enfance dans son village de Sicile et de ses longs moments passés avec le projectionniste du cinéma. Cet amour du cinéma le conduira à une carrière de metteur en scène, lui qui issue d’un milieu très modeste ne prédestinait en rien à une telle carrière.
    A travers deux personnage, Toto, l’enfant découvrant le 7ème art et Alfredo, le projectionniste mentor et père de substitution ; Guiseppe Tornatore s’emploie à nous faire revivre le cinéma de village des 60’s en Italie jusqu’à la censure arbitraire et locale pratiquée à l’époque. Ceci constitue un amas de scénette montrant le cinéma comme un lieu de vie : on s’embrasse, on vient avec le petit et on lui donne le sein, on crache, on s’invective durant la séance, on s’exprime devant les images, on fait même l’amour. Le cinéma est encore populaire et n’est pas encore le septième art. Toutes ces séquences n’ont guère d’intérêt ni cinématographiques ni fictionnelles ; et les acteurs sur jouent exagérément dans toutes ces scénettes. Ensuite les deux personnages principaux sont attachants et leur relation touchante. Philippe Noiret assure comme à son habitude. Mais le tout est très gentillet tout de même.
    L’intention est louable, mais Tornatore en fait des tonnes bien trop souvent. Dans ma jeunesse, je n’avais pas adhéré, et aujourd’hui non plus ; pas plus que mon fils de bientôt 13 ans. Un classique du cinéma italien des 80’s ; statut qui reste un mystère pour moi.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    6 abonnés 284 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juin 2021
    Viva la cinema!
    Bel éloge du 7ème art, tant au niveau artistique que technique, notamment lorsque le film "Catene" passe.
    De plus, la complicité entre notre protagoniste et son mentor est si belle et forte qu'on a envie de faire partie du duo. Ma partie préfére reste la première, qui conjugue génialement amitié, humour, passion & cinéma, les deux suivantes sont pour ma part un peu trop portées sur l'amour.
    Plaisir aussi de plonger dans une ville sicilienne !
    Hum, où sont les femmes (outre la copine) ?
    Techniquement, il y a aussi une lumière tr!s dérangeante (des phares) à la fin...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top