Mon film préféré. Il est drôle comme il est émouvant. On peut passer du comique au tragique en l'espace d'une scène Philippe Noiret est tout simplement parfait. On s'attache très vite à son personnage. Et face à lui le très jeune Salvatore Cascio est aussi très doué pour son âge. Le film est un flash back complet. Arrivé à le dernière scène on se rapelle de ce détail en revenant au moment présent, et cela rend le film encore plus fort. La musique d'Andrea et d'Ennio Morricone est magique, mgnifique. J'ai toujours la larme au coin de l'oeil en regardant ce film. Culte dans le 7ème art italien, à voir!!
Classique par excellence, avec les défauts inhérents (prévisible, caricatural) mais une sensibilité rare. Au travers de cette vie qui nous est montrée, c'est la joie, la compassion, l'espoir et la nostalgie qui nous frappent en plein coeur. Comédiens et musique vibrent comme nous, en harmonie.
Véritable hommage au "Cinéma" et au temps qui passe. Philippe Noiret, montre encore une fois qu'il sera devant l'éternel, non seulement l'un des plus grands acteurs français, mais aussi l'un des plus grands acteurs de tous les temps.
un film tendre beau et génialement interprêté par Philippe noiret. un film qui donne envie de faire du cinéma, qui m'an en tout cas à moi donné envie de faire du cinéma. A voir absolument.
Un ami ma récemment dit que je lui faisais penser au « Toto » de Cinéma Paradiso pour ma curiosité cinéphilique, du coup, jai eu envie de voir le film que je ne connaissais que de nom et par la présence de Philippe Noiret. Linterprétation du petit Salvatore, bien que trop enthousiasmée, est trop émouvante, on a le cur rempli daffection pour lui, et ce jusquà la fin du film, on retrouve le même côté malicieux, pudique et enfantin chez le Toto adolescent puis adulte. Et puis Philippe Noiret est tellement formidable, son jeu naturel et très vieille France euh Italie pardon est impeccable. Ce film, maintes fois cité par les cinéphiles, est lune des rares mises en abyme, on y sent un vrai amour pour le cinéma. La fin ma fait pleurer comme une madeleine, tiens, un petit chocolat chaud ne serait pas de refus :-)
Je ne trouve pas les superlatifs pour decrire se film. Ca pourrait être magnifique, beau, touchant mais je trouve que ce n'est pas assez. Une belle histoire d'amitié entre un gamin passioné par le cinéma et un projectionniste sur fond de films coupés par le curé du village. De beaux dialoges sans morale, de la gaieté, de la vie de la joie, des gens qui vivent que pour le cinéma qui, partagent tout avec les personnages : voila ce qu'on peut voir dans ce film. C'est un hymne pour le cinéma pour tout ceux qui aiment le cinéma, qui le sentent et vivent avec, qui sont nostalgiques du temps passé, du temps ou les salles étaient plein de vie, du temps ou les gens avaient des sentiments et n'étaient pas des machines. Tant qui aura des réalisateurs comme Tornatore qui feront des films comme ça le cinéma ne mourira jamais. A éviter pour les types balourds qui aiment les films d'action et pour les types pseudo-intellos qui aiment les films de Rohmer et Resnais.
Phénoménal, magnifique, extraordinaire, démentiel, du HORS CLASSE...les superlatifs ne manquent pas pour mon film préféré, loin devant tous les autres et incomparable. Allez-y à tous les âges pour ressentir une vive émotion, partager des pleurs à l'évocation des compartements durant la vie qui passe (insouciance de l'enfance, rêves adolescents, décisions et responsabilités adultes, les souvenirs de la vieillesse)et la nostalgie. La scène finale est un moment culte du cinéma, faites le plein de mouchoirs...
Alors oui, ça baigne dans le sentimentalisme. Un peu de facilité toute latine également. Mais l'élan est là avec une réelle tendresse pour ces personnages, ces lieux et pour le cinéma lui-même. C'est probablement pour cela que ce film garde encore son charme près de 20 ans après sa sortie.
Je crois que c'est le plus beau film que j'aie vu. Je ne m'en lasse pas. Et bien que ce ne soit pas mon style de pleurer pour un film, je fond en larme à chaque fois que je le regarde... Une magnifique histoire d'amitié. Pour cex qui ne l'ont pas vu, à découvrir d'urgence. Bon film.
Ce film est tout simplement "Magnifique". Les acteurs jouent merveilleusement bien leur rôle, et les musiques sont en parfaite harmonie avec l'histoire dès plus romantique.PS : La version originale est bien meilleur que la 2ieme version francaise avec Brigitte Fossey à la fin. Conclusion: J ai adoré ce film.
Merveilleuse comédie dramatique empreinte de mélancolie et de nostalgie, ce chef-duvre est aussi un hymne au 7ème art. Sappuyant sur de superbes décors, la mise en scène de G.Tornatore rend parfaitement lambiance de ce petit village de Sicile qui vit au rythme des séances de cinéma, seule source de distraction et de culture de sa population pauvre et souvent désuvrée. A travers les censures cléricales, le réalisateur nous montre toute la place de lEglise, omnipotente et véritable maître à penser de ces âmes incultes, dans la vie quotidienne de lItalie du Sud dans la période de limmédiat après-guerre. Philippe Noiret, qui joue là lun de ses plus beaux rôles, est égal à lui-même et fait étalage de tout son immense talent en campant un pittoresque projectionniste tour à tour copain, complice, mentor et instructeur. Jacques Perrin est excellent dans un rôle tout en sensibilité et en émotion contenue. Les dialogues entre Alfredo et le petit Toto sont franchement savoureux et illustrent la subtile complicité entre ladulte et lenfant. De nombreuses scènes sont des morceaux danthologie, mêlant admirablement humour et intensité dramatique. Le passage du Certificat détudes ou les chamailleries continuelles dans la cabine de projection en sont les meilleurs exemples. La sublime musique dEnnio Morricone berce admirablement le spectateur en renforçant le côté mélancolique et romantique de cette délicieuse histoire qui vous prend aux tripes. Bien que très émouvante grâce aux bouleversantes scènes de retrouvailles entre Salvatore et Elena bien des années après, la version longue napporte pas de véritable plus-value à cette uvre exceptionnelle. « Cinema Paradiso » est lun de mes dix films préférés.
Un vieil homme, projectionniste dans un village sicilien qui sans doute ambitionnait une autre carrière se laisse conquérir par l'espiègle Toto, gamin avec qui se noue une relation pleine tendre complice. Cette trame, Giuseppe Tornatore l'utilise pour nous conter une petite tranche d'histoire, pas si lointaine, où le cinéma était encore pionnier.Un lent mouvement de respiration nous permet de nous remplir les poumons d'une fraîche bouffée d'oxygène d'une atmosphère pourtant si proche, encore presque palpable, mais que le "progrès" éloigne vitesse-lumière et renvoie cet épisode au sentiment qu'il appartient aux calendes grecques.Giuseppe Tornatore nous partage au travers ce scénario qui doit avoir quelques résonances autobiographiques, son amour du cinéma ou peut-être d'un certain cinéma. S'il est empreint d'une certaine nostalgie, la comédie, présente donne au film cet équilibre qui lui permet de ne jamais bascule dans le larmoyant!