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Un visiteur
5,0
Publiée le 25 mars 2008
Quel chef d'oeuvre ! C'est un film magnifique. Magnifique sont les comédiens rayonnant dans l'émotion et ce jeu si juste, magnifique est cette mise en scène d'une simplicité volontaire qui en fait révèle une véritable profondeur. On rit, on pleure, on est heureux. Cette nostalgie des projections d'autrefois est un hommage au cinéma. Ce film est excellent dans son fond et dans sa forme. Ce n'est pas "bien" c'est vraiment magique, c'est le mot.
Un très beau film sur les salles de cinéma d'antan, avec un grand Philippe Noiret, et un Salvatore Cascio touchant. Très certainement un dès meilleurs films Italien.
Ce film hommage au cinéma est à mon sens, dans sa version longue avec Brigitte Fossey sur la fin, un vrai chef d’œuvre de la 2nde moitié du 20ème siècle. Toto jeune puis Jacques Perrin sont admirables face au monumental Philippe Noiret, dont il s’agit sans doute de l’un de ses meilleurs rôles (avec le Vieux Fusil). L’ambiance de film est certes pleine de nostalgie et de mélancolie. La musique langoureuse de Morricone le rend jubilatoire : un grand moment d’émotion !
Un très bon film à la fois humouristique et émotif. Un superbe hommage au cinéma. Un film du genre amarcord de Fellini. Un Noiret très très bon. Des scènes émouventes tel la scène ou le héros revient dans sa ville d'enfance et qu'il voit le cinéma détruit, les personnages qu'il connaissait et sa mère qui lui dit qu'elle n'a jamais senti l'amour dans une voix quand elle téléphonait chez lui.
Le succès remporté par "Cinéma Paradiso" au moment de sa sortie en 1989 est phénoménal, malgré une critique partagée : les uns criant au chef d'oeuvre, les autres déplorant que le cinéaste ait cédé à un sentimentalisme très roman-photo et encombré son film de clichés et de lieux communs. N'en déplaise aux esprits chagrins, cet opus est une réussite, une merveille de sensibilité et de tendresse, une oeuvre attachante comme il en est peu, interprétée de façon magistrale, éblouissante, par un Philippe Noiret pour lequel le rôle d'Alfonso semble avoir été taillé sur mesure et bien davantage qu'un film sur la nostalgie à l'égard d'un type de spectacle en voie de disparition. La nostalgie n'est pas ici contre-productive, elle est au contraire infiniment créatrice, établissant entre les êtres un lien collectif irremplaçable et une étrange homogénéité entre les stars qui défilent sur l'écran et les gens d'un village qui paraîssent s'être appropriés naturellement cette forme de mémoire. Tornatore a volontairement mis l'accent sur l'aptitude du 7e Art à unir le public en une véritable communion qui leur fait partager des émotions fortes. Malgré les coupures qu'il dût subir ( sa durée initiale était de 157 minutes ), il reste heureusement une de ces oeuvres inoubliables qui subsistent comme un peu de notre vie, tant il est vrai que l'irréalité de la mémoire n'est autre que celle qui féconde la réalité du cinéma et de la littérature. Pour une analyse plus complète, voir l'analyse de ce film dans la rubrique "cinéma d'hier" de mon blog "La plume et l'image".
C'est simple.Il s'agit de mon film de prédilection.Philippe Noiret y est excellent, le petit Toto également.Je ne trouve même pas les mots pour exprimer ce que je ressens, je crois qu'il faut le voir pour se faire une idée.
Magnifique, merveilleux, beau, voici les adjectifs pour decrir ce film. Je l'ai vu hier soir en dvd pour la première fois (j'ai 15ans) et il m'a beaucoup marqué. Il m'a fait pleurer, rire tout cela grâce à une très belle histoire, de très bon acteurs, un bon scénario et une bonne mise en scène. Ce film à tout pour plaire.C'est un film magnifique, voila ce que je me suis dit à la fin. Mais quand même, ils font de très bon films ces Italiens !! Dommage qu'ils n'en produisent pas plus. A voir et à revoir car des films de cette beauté ne sortent pas toutes les deux semaines. Bonne soirée, dada.
C'est un monument que sort de ses poches Guiseppe Tornatore en 1989, un film qui restera culte, un hymne au cinéma qui fera pleurer des générations de cinéphiles... Salvatore, grand réalisateur, apprend la mort de Fredo, un homme de coeur avec qui il a passé la moitié de sa vie dans la salle de projection du cinéma de son villge natal, en Sicile. Il se souvient de ces années perdues, comment Fredo lui a appris le métier de projectionniste, comment la vie du vieil homme bourru et du petit Toto se sont liées définitivement lorsque ce dernier sauva la vie du premier, comment la vie du jeune homme a basculé lorsqu'il a rencontré Ellena, sont premier amour. C'est une romance à l'ancienne, un film pur et plein d'amour, où un homme se prend d'amour pour un petit bonhomme pas plus haut que trois pommes, où des bobines prennent feu, où ceux qui ne peuvent pas acheter leur place au cinéma ont droit de le regarder sur un mur de la place, où un jeune homme fou amoureux attend pendant des mois devant la fenêtre de sa bien aimée en espérant que celle-ci tombe amoureuse de lui, où les baisers du monde se retrouvent tous sur une seule et même bobine(cf scène finale sur la vidéo), dans un assemblage d'amour et d'émotion dont on ne ressort pas sans les larmes aux yeux et une joie de vivre qui nous ferait presque sauter au cou de n'importe qui, juste histoire de lui dire "La Vie est belle!"
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4,0
Publiée le 16 mars 2009
Cette magnifique peinture cocasse de la Sicile des annèes 50, au travers d'anecdotes pittoresques ou romanesques, obtient le Prix du jury au Festival de Cannes et l'Oscar du meilleur film ètranger! Projectionniste à l'âge de seize ans, Giuseppe Tornatore, dont c'est le deuxième long-mètrage, s'inspire de ses souvenirs de garçonnet pour mettre en scène ce "Cinèma Paradiso" dont il signe aussi le scènario et les dialogues! C'est dans son village natal, ou a lieu le tournage, qu'il rencontre l'attachant Salvatore Cascio, un garçon de huit ans auquel il confie le rôle vedette! Cette chronique nostalgique sur les vieilles salles de cinèma offre au très regrèttè Philippe Noiret un rôle basè sur l'èmotion! Des rires, des larmes, de l'èmotion, hommage aussi au cinéma, à l'Italie du sud et à la formidable prèsence de Noiret, bourru et loyal! Excellente musique d'Ennio Morricone...
Le genre de film qui sortent une fois tous les dix ans... sans me prétendre cinéphile je crois que là on tombe sur un monument. ce film est tout simplement formidable, sans trop et sans trop peu. L'air coquin de Toto, Philipe Noiret, "le vieux pirate", l'émotion toujours suggérée mais jamais étalée. On ne sort pas de la salle indemne. Quatres étoiles pour l'une des meilleures oeuvres qui m'ait été donnée de voir.
1988, de Giuseppe Tornatore, avec Jacques Perrin et Philippe Noiret. Délicieux et émouvant voyage au pays de la nostalgie, en suivant l’itinéraire mélancolique et drôle de l’histoire du cinéma. De bout en bout, l’émotion est au rendez-vous dans ce petit village du sud de l’Italie qui ne dispose, comme loisir, que du petit cinéma paroissial, le Paradiso avec son projectionniste Alfredo, qui manipule des films encore inflammables, soigneusement censurés (les baisers !) par le curé. Son charmant petit collaborateur, également enfant de chœur,Toto, fera toute sa formation professionnelle, et surtout humaine à partir des phrases citations des films cultes, américains, français, italiens, mais aussi grâce à la tendre amitié qui le lie au projectionniste pour la vie. Musique de Morricone.
Un vibrant hommage au cinéma, mais au-delà, une histoire simp^le contée avec bonheur, justesse et émotion. Philippe Noiret est tout simplement formidable, guidé d'une main de maître par un Giuseppe Tornatore visiblement inspiré. Mais le moteur du film pèse sur les épaules du petit Toto qui donne là l'un des plus beaux exemples de rôle d'enfant. Un film émouvant, drôle et jamais larmoyant. Du bonheur !
Très beau film, porté par le regretté Philippe Noiret, et surtout accompagné d'une composition magistrale d'Ennio Morricone. Un film sur l'amitié, la transmission du savoir, la nostalgie. Le rythme est un peu trop lent à mon goût (d'où 3 étoiles et pas 4), mais Cinema Paradiso m'a laissé un excellent souvenir.