Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Il y a, derrière le portrait de groupe, une vraie critique sociale, un peu à la façon du Français Guédiguian - une envie de dire fort, avec colère mais sans se laisser emporter par elle, le dégoût d'une société qui ne les respecte plus en ne respectant plus leur travail.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Zoé Lin
Le cinéma d'Aranoa explore une veine absente des écrans espagnols, le cinéma social. Les protagonistes ont beau être des antihéros par excellence, la caméra d'Aranoa prend le temps de s'arrêter sur chacun d'eux, de traquer leurs failles comme leurs ressorts. Leur humanité crève l'écran, et il faut souligner ici la performance de chacun des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Une poésie amère et une énergie salubre animent ce beau film dominé par l'intensité magnifique de Javier Bardem.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout du compte, Les Lundis au soleil triomphe de ces accès de faiblesse passagers, porté par la force de conviction du metteur en scène et des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Isabelle Danel
Tout cela n'est pas très gai, et pourtant, c'est drôle aussi, souvent (...). Les oublier reviendrait à nous oublier nous-mêmes. "Les Lundis au soleil" vous laissent au coeur une amertume bien légitime, mais porte en eux une rage salutaire. Ne pas se laisser abattre, jamais. Continuer, toujours.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un film social sympatoche, qui dame le pion à Loach et élargit la gamme du cinéma espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Edouard Waintrop
Quand on a raconté tout ceci, on n'a rien dit des Lundis au soleil. Rien, par exemple, du tissu d'anecdotes qui rend ce film passionnant pratiquement de bout en bout; rien de la sympathie qui nous colle aux basques de ses personnages, principaux comme secondaires, tel Serguei, copain des trois paumés, ouvrier russe qui balade sur ses épaules les désillusions de deux mondes, le capitaliste et le communiste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Schaller
Humaniste avant tout, jouant sur les non-dits, Fernando De Aranoa fait naître le discours social par le biais de ses personnages. A l'instar de Ken Loach, le militantisme en moins.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le réalisateur dresse, sans effets de manche mais avec une pointe d'humour, un tableau préoccupant de la situation économique de son pays, où le chômage ne cesse de grimper.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Fernando León de Aranoa peint des gens déjà à terre, dont certains tentent de se relever. On peut préférer les premiers, être plus bouleversés par les seconds. Qu'importe : le combat est le même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Un portrait sensible, signé du jeune réalisateur espagnol Fernando Leon de Aranoa (Familia, Barrio), qui prend parfaitement la mesure de ce temps infini, mais aussi des joies, des errances et des failles cachées de ces personnages à la sensibilité à fleur de peau.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Camille Brun
Pourtant, malgré ces indéniables qualités, LES LUNDIS AU SOLEIL laisse un peu froid. La faute surtout à une histoire qui suit des schémas déjà largement balisés par le cinéma social anglais, de Ken Loach (le magnifique RAINING STONES, par exemple) à THE FULL MONTY. Les problèmes de chômage sont malheureusement internationaux et sans frontières, mais il ne suffit pas de changer de décor et de pays pour les rendre cinématographiquement passionnants...
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Qu'est-ce-que serait Les Lundis au soleil s'il n'était pas un film ? Ce serait, évidemment, une chanson. Ecrite en espéranto, sur le mode "si tous les chômeurs du monde se donnaient la main", elle ferait un carton au prochain concours de l'Eurovision.
Aden
Il y a, derrière le portrait de groupe, une vraie critique sociale, un peu à la façon du Français Guédiguian - une envie de dire fort, avec colère mais sans se laisser emporter par elle, le dégoût d'une société qui ne les respecte plus en ne respectant plus leur travail.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le cinéma d'Aranoa explore une veine absente des écrans espagnols, le cinéma social. Les protagonistes ont beau être des antihéros par excellence, la caméra d'Aranoa prend le temps de s'arrêter sur chacun d'eux, de traquer leurs failles comme leurs ressorts. Leur humanité crève l'écran, et il faut souligner ici la performance de chacun des acteurs.
Le Figaroscope
Une poésie amère et une énergie salubre animent ce beau film dominé par l'intensité magnifique de Javier Bardem.
Le Monde
Au bout du compte, Les Lundis au soleil triomphe de ces accès de faiblesse passagers, porté par la force de conviction du metteur en scène et des acteurs.
Les Echos
Tout cela n'est pas très gai, et pourtant, c'est drôle aussi, souvent (...). Les oublier reviendrait à nous oublier nous-mêmes. "Les Lundis au soleil" vous laissent au coeur une amertume bien légitime, mais porte en eux une rage salutaire. Ne pas se laisser abattre, jamais. Continuer, toujours.
Les Inrockuptibles
Un film social sympatoche, qui dame le pion à Loach et élargit la gamme du cinéma espagnol.
Libération
Quand on a raconté tout ceci, on n'a rien dit des Lundis au soleil. Rien, par exemple, du tissu d'anecdotes qui rend ce film passionnant pratiquement de bout en bout; rien de la sympathie qui nous colle aux basques de ses personnages, principaux comme secondaires, tel Serguei, copain des trois paumés, ouvrier russe qui balade sur ses épaules les désillusions de deux mondes, le capitaliste et le communiste.
Première
Humaniste avant tout, jouant sur les non-dits, Fernando De Aranoa fait naître le discours social par le biais de ses personnages. A l'instar de Ken Loach, le militantisme en moins.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le réalisateur dresse, sans effets de manche mais avec une pointe d'humour, un tableau préoccupant de la situation économique de son pays, où le chômage ne cesse de grimper.
Télérama
Fernando León de Aranoa peint des gens déjà à terre, dont certains tentent de se relever. On peut préférer les premiers, être plus bouleversés par les seconds. Qu'importe : le combat est le même.
Zurban
Un portrait sensible, signé du jeune réalisateur espagnol Fernando Leon de Aranoa (Familia, Barrio), qui prend parfaitement la mesure de ce temps infini, mais aussi des joies, des errances et des failles cachées de ces personnages à la sensibilité à fleur de peau.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Pourtant, malgré ces indéniables qualités, LES LUNDIS AU SOLEIL laisse un peu froid. La faute surtout à une histoire qui suit des schémas déjà largement balisés par le cinéma social anglais, de Ken Loach (le magnifique RAINING STONES, par exemple) à THE FULL MONTY. Les problèmes de chômage sont malheureusement internationaux et sans frontières, mais il ne suffit pas de changer de décor et de pays pour les rendre cinématographiquement passionnants...
Cahiers du Cinéma
Qu'est-ce-que serait Les Lundis au soleil s'il n'était pas un film ? Ce serait, évidemment, une chanson. Ecrite en espéranto, sur le mode "si tous les chômeurs du monde se donnaient la main", elle ferait un carton au prochain concours de l'Eurovision.