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    Les Conquérants
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    chrisbal
    chrisbal

    15 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2024
    Très bon western comme toujours avec le duo Curtiz-Flynn.
    La photographie est vraiment remarquable pour l'époque et la mise en scène de qualité avec notamment une bagarre de saloon presque d'anthologie et une scène finale avec un train en flamme des plus réussie.
    Les seconds rôles epaulants le shérif Wade Hatton (qui n'est pas sans rappeler le célèbre Wyatt Earp) sont attachants et on prend plaisir à suivre cette histoire d'autant plus que l'ambiance de la petite ville de Dodge City est vraiment convaincante : on s'y croirait presque...
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2020
    Western méconnu, Les Conquérants est réalisé en 1939, année très prospère pour le cinéma hollywoodien, à un moment où le genre américain par excellence retrouve progressivement ses lettres de noblesse.
    Après La Chevauchée fantastique du studio United Artists, la Warner Bros propose à son tour son propre western, confié à l’un de ses réalisateurs les plus emblématiques au cours des années 1930 : Michael Curtiz. Si cet individu vous est inconnu, sachez que c’est lui qui réalise seulement trois ans plus tard l’exceptionnel Casablanca, avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman.
    A l’inverse d’un autre western réalisé la même année, Sur la piste des Mohawks, dont elle emprunte également la technologie récente du Technicolor, cette nouvelle production du genre ne cache pas son important budget avec un nombre important de figurants et des scènes d’action époustouflantes. Si on peut légitimement penser à la spectaculaire course-poursuite dans un train en feu, il est également intéressant de préciser que Les Conquérants offre l’une des plus belles bagarres de saloon de l’histoire du western. Dans une rixe de plusieurs minutes, provoquée par une joute verbale entre ex-Confédérés et Unionistes, les tables, les chaises et les coups de poings pleuvent de tous les côtés dans un saccagement total et des cascades renversantes. Bien montée, bien rythmée, cette séquence est anthologique pour tous les amateurs des westerns, un vrai régal.
    Mais même lors de cette incroyable bataille rangée, Michael Curtiz ne se délaisse pas d’un ton bon enfant qui est présent tout au long du film et qui le démarque de la grande majorité des autres œuvres du genre, plus sérieuses et plus approfondies. En effet, là où un western comme La Chevauchée fantastique, réalisé la même année par John Ford, inscrit les codes qui marqueront le genre dans les années à venir, Les Conquérants est surtout un divertissement peu original au scénario très simple et aux personnages presque pas développés.
    Située au Kansas, plus précisément à Dodge City, ville frontalière du Far West, l’intrigue qui nous est contée se déroule de 1866 à 1875, et oppose le nouveau shérif Wade Hatton (Errol Flynn) au truand Jeff Surrett (Bruce Cabot) et à ses hommes. Dès le début, Michael Curtiz nous entraine à un rythme intense dans les plaines du Kansas, en suivant la ligne de chemin de fer récemment construite sur laquelle une locomotive fille à toute allure et fait la course avec une diligence. Cette scène symbolique peut être intéressante à restituer dans le contexte historique de l’après-guerre de Sécession.
    A la suite du vote du Pacific Railway Act, une loi sur l’aménagement du premier chemin de fer du Pacifique, par le Congrès, en pleine guerre de Sécession (1862), les deux compagnies ferroviaires Central Pacific et Union Pacific sont autorisées à construire la première ligne de chemin de fer transcontinentale. Chacune part de son côté : Central Pacific démarre de Sacramento, en Californie, quand l’Union Pacific commence la construction à partir d’Omaha, dans le Nebraska. Le chantier de 3000 kms de voies ferrées commence en janvier 1863. Six ans plus tard, le 10 mai 1869, les deux portions font leur jonction au lieu-dit « Promontory », dans l’Utah, un évènement immortalisé par une célèbre photo et repris dans plusieurs œuvres littéraires, comme avec l’album de Lucky Luke intitulé « Des rails sur la prairie », et cinématographiques, avec par exemple le film Pacific Express, qui est d’ailleurs réalisé par Cecil B. DeMille la même année que Les Conquérants, en 1939.
    Ce thème ferroviaire introduit et conclut le film. Entre les deux, la question du bétail est centrale et cristallise les tensions entre les principaux protagonistes, dans un conflit qui va ensuite devenir plus global. Cette thématique est également intéressante à aborder car on peut y retrouver une étonnante similitude avec le scénario de La Poursuite infernale, western réalisé en 1946 par John Ford au cours duquel une histoire de vol de bétail oppose également un shérif à une famille de truands.
    Une autre particularité des Conquérants réside dans l’une de ses scènes au cours de laquelle on assiste au décès tragique d’un enfant, une représentation rare dans le cinéma hollywoodien et encore plus à l’époque. Bouleversante, cette tragédie brise complètement le ton naïf de l’ensemble de l’œuvre et nous ramène à une terrible réalité.
    Le casting du film est la preuve concrète qu’on ne change pas une équipe qui gagne. En effet, un an après le grand succès des Aventures de Robin des Bois, déjà réalisé par Michael Curtiz, le réalisateur réunit une deuxième fois plusieurs des talents qui ont marqué l’aventure de Sherwood. D’abord, avec Errol Flynn, nouveau shérif au portrait stéréotypé de parfait beau gosse, dont la prestation est globalement convenable même si certaines émotions et certains comportements sont parfois surjoués. Avec lui, c’est encore la sublime et pétillante Olivia de Havilland qui joue le principal rôle féminin, tendre et courageuse dans la peau d’une jeune cow-girl sans peur et sans reproche. Enfin, c’est aussi la présence d’Alan Hale, l’imposant Petit Jean des Aventures de Robin des Bois, en associé volontaire mais maladroit du shérif Hatton.
    Premier des trois westerns réalisés par Curtiz avant La Caravane héroïque (1940) et La Piste de Santa Fé (1940), Les Conquérants est peut-être le moins réussi de la liste, même si certaines scènes d’action valent le coup d’œil pour leur rythme bien mené et leurs cascades épatantes. Mais heureusement, le cinéaste fera mieux dès l’année suivante, avec La Caravane héroïque.
    Oblomov
    Oblomov

    2 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2019
    L'histoire n'est pas bien originale... l'histoire d'un cow boy nettoyant la ville de sa mauvaise graine. C'est du déjà vu et revu mais l'histoire est bien raconté. Les scènes s'enchaine sans temps mort. Faut dire que le réalisateur, Michael curtiz connais bien son métier, on lui dois tellement de classique.
    Film très américain.
    Benjamin A
    Benjamin A

    710 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2017
    Alors qu'il vient tout juste de mettre en scène le très bon Les Anges aux Figures Sales, Michael Curtiz propose une année après Dodge City où il va s'intéresser à la violence montant dans une ville connaissant une expansion et évolution avec la voie ferrée.

    On peut directement ranger Dodge City dans la liste des classiques de Curtiz, et il se montre à son aise pour étudier l'évolution des villes de l'Ouest par le biais de l'économie locale, tout en s'inspirant très librement de la vie de Wyatt Earp. Il montre un vrai savoir-faire pour mener à bien et efficacement un solide scénario, jouant sur l'alternance de tons entre action et description de cette ville, de ses personnages ou encore de sa culture.

    Effectivement, on trouve une vraie intelligence dans le traitement de ces thématiques, tout en mettant en avant la façon doit la loi doit et peut régner en plein chaos. Ce dernier point sera mis en avant par le prisme du personnage de Wade Hutton, un convoyeur de troupeaux qui va se voir devenir shérif sachant qu'il est l'un des seuls à se mettre sur le chemin des bandits. Plutôt bien mis en avant, c'est par lui que passe la réussite du film, son côté aventureux et surtout la très bonne composition d'Errol Flynn.

    Si tout n'est pas parfait, notamment à cause d'une émotion qui n'est pas trop présente, associé à un récit sans grande surprise, ça n'en reste pas moins assez bien ficelé et efficace. L'action est assez bien réalisée, avec quelques séquences mémorables, tandis que les décors et la photographie sont assez remarquables. En plus d'Errol Flynn, l'ensemble des comédiens se montrent à la hauteur, notamment la jolie Olivia de Havilland, et on peut apprécier la composition musciale de Max Steiner.

    En mettant en scène Dodge City, Michael Curtiz propose un western plutôt intéressant, notamment dans son propos, et surtout assez bien ficelé et efficace, où l'on prend plaisir à suivre un grand Errol Flynn.
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2017
    Un superbe western, largement agréable à regarder, plein de fraicheur et qui repose sur l'héroïsme, la droiture, la loyauté et le courage avec un formidable Errol Flynn, héros du cinéma hollywoodien. Je regrette beaucoup que ce genre de films ne se fasse plus de nos jours.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2017
    La première partie est d'une lourdeur pataude et ennuyeuse. La faute au sujet qui se développe à un rythme laborieux. Si vous décrochez à la bagarre générale au bout de 50min je vous comprendrais!!
    La deuxième partie concentrée sur la lutte contre la corruption et la remise en ordre de la loi dans la ville est plus intéressante et même captivante notamment avec l'épisode du wagon en flammes. Au final donc un film assez déséquilibré.
    this is my movies
    this is my movies

    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un blockbuster des années 30 avec tout ce que ça comporte de facilités d'écriture (personnages sans relief, intrigue minimaliste, péripéties constantes) et je dois dire que les fusillades ont mal vieillies et le jeu des acteurs n'est pas transcendant mais il faut parfois se laisser emporter pour profiter d'un pur spectacle. Car oui, ce western est un spectacle au final plaisant, grâce à l'efficacité du découpage et de plus largement de la mise en scène de M. Curtiz qui nous tient en haleine de bout. Le Technicolor est superbe, offrant quelques plans d'une beauté stupéfiante et on profite pleinement de la riche reconstitution avec des costumes soignés, une ville bien reconstituée et des cascades impressionnantes. A ce titre, la bagarre dans le saloon s'impose comme un morceau de bravoure épique ! Plastiquement superbe, un gros western à voir en famille et qui impose E. Flynn comme le héros d'action au cœur pur. D'autres critiques sur
    Frédéric Le Mouël
    Frédéric Le Mouël

    20 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2014
    Beau western sur les difficultés de la conquête de l'Ouest. Errol Flynn est parfait dans son rôle de shérif au grand coeur et droit dans ses bottes. Le doublage (d'époque) est à mourir de rire.
    bobmorane63
    bobmorane63

    188 abonnés 1 963 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2014
    Michael Curtiz était un cinéaste qui avait une sacrée filmographie du cinéma muet aux années 60 comportant quelques pépites comme ce film "Les conquérants" qui date de 1939 !! Un Western qui comporte une belle lumière en couleur à l'époque qui met en vedette Errol Flynn super associé à sa fidèle collègue, la belle Olivia de Havilland resplendissante dans une histoire d'un groupe d'éleveurs de bétails qui arrivent à la fin du 19ème siècle à Dodge City, un endroit ou il n'y a pas de lois, géré par des personnes malhonnêtes sans scrupules et une population terrifiée. Errol Flynn , avec quelques collègues, prennent les taureaux par les cornes en devenant shérif et faire régné l'ordre qui ne sera pas chose facile. Le film se suit et vieillit bien avec une musique entrainante de Max Steiner. Il y a des scènes chocs comme les vaches, affolés par des tirs de révolver, écrasent l'auteur par accident ou celle d'une longue séquence dans le Saloon dans la seconde partie. Un long métrage à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 avril 2014
    Un film de Michael Curtis ne peut laisser indifférent surtout avec le plateau de stars qu'il a réuni en 1939. Errol Flynn a tourné douze films sous sa houlette dont Captain Blood, L'aigle des mers, Les aventures de Robin des Bois, La vie privée d'Elisabeth d'Angleterre … des films emblématiques qui ont connu un grand succès et qui restent encore aujourd'hui parmi les chefs-d'œuvre du cinéma américain. 1941 marquera la fin de leur collaboration avec "Footsteps in the dark", Raoul Walsh prenant la relève. Curtiz était réputé pour son côté autocratique et autoritaire et se heurtait souvent avec ses acteurs, d'où la séparation. "Les Conquérants" ne se hisse sans doute pas au niveau de ses meilleures prestations mais demeure un excellent western avec la fluidité caractéristique du réalisateur. L'histoire se lit comme un livre. Basé sur un scénario classique, certes, il place le héros dans une position centrale qu'il ne quittera pas du début à la fin, dominant le film par une présence incontestable. Dans les principaux rôles secondaires, on retrouve Olivia de Haviland, la jeune femme de la caravane qui croisera à nouveau sa route à Dodge City, Ann Sheridan dans le rôle de la danseuse de cabaret et Bruce Cabot, dans la peau du principal adversaire d'Errol Flynn. Quelques scènes sont mémorables : le jeune excité de la caravane qui tire à tort et à travers et affole le bétail, le comparse de Hatton qui se retrouve dans le local des vieilles rosières de la ville, les cowboys qui entament une chanson en chœur dans le cabaret, la séquence se terminant par une bagarre monumentale. Ce film aux couleurs chatoyantes fut tourné en technicolor et figure certainement parmi les meilleurs westerns des années trente et même parmi les 100 meilleurs à mon goût.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    589 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Quelque soit la réputation méritée de ce western, quelque soit la qualité de sa réalisation et l’importance qu’il a eut à sa sortie pour dynamiser le genre...Au fil du temps, il ne tient plus aussi bien la route car pour mériter 70 ans plus tard le titre de chef d’oeuvre, il eut fallu être parfait. Or, ici Curtiz contrairement à dans ‘’Casablanca’’ ne se surpasse pas et néglige trop les détails concernant la vraisemblance. Certains ne sont pas acceptables comme la fusillade finale qui voit les méchants défiler exactement dans le sens qui convient pour réussir un tir de fête foraine. C’est quand même dommage qu’un aussi gros budget n’est pas été mieux exploité, je pense même que tout cet argent à desservi Curtiz . Pourquoi Errol Flynn au sommet de son charme et de son charisme n’est- il pas mis encore mieux en valeur ? Il l’est beaucoup plus dans ‘’Capitaine Blood’’ ou ‘’l’aigle des mers’’ et surtout dans les westerns de Walsh. Dire cela n’est pas renier les scènes d’anthologies comme la scène d’ouverture ou la bagarre entre nordistes et sudistes, c’est essayer de situer ce western en bénéficiant d’un recul et de la vision de 500 autres. Dodge city est très agréable mais son importance est plus grande dans l’histoire du genre que sa valeur.
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2014
    Encore un grand classique à ranger au rayon des plus belles rèussites de Michael Curtiz où l'on y boit, où l'on y joue, ou l'on y tue! Le bètail, èlèment essentiel de l'èconomie primitive de l'Ouest amèricain, a bien sûr occupè une place très importante dans la mythologie du western! C'est par exemple le sujet central du fabuleux "Dodge City" qui, très librement inspirè de la vie de Wyatt Earp, traite de la naissance des premières villes de l'Ouest à partir d'une èconomie règionale basèe sur l'èlevage! Errol Flynn, parfait une fois de plus, interprète là son premier western dans le rôle d'un soldat irlandais qui, après avoir ètè guide, devient le shèrif d'une ville où les bagarres meurtrières sont quotidiennes! Mais rassurez vous il parviendra à rètablir l'ordre avant de gagner l'amour d'une ravissance femme incarnèe par Olivia de Havilland! Mais n'oublions pas de citer la superbe Ruby / Ann Sheridan qui a rarement ètè aussi belle que dans ce film! Sur le plan du western, on peut dire que Curtiz a donnè un certain nombre de films de poids dont ce western haut en couleur et d’une beautè inestimable, plastiquement remarquable et vraiment inoubliable...
    selenie
    selenie

    6 228 abonnés 6 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2012
    Enième film de l'équipe gagnante Curtiz-Flynn-De Havilland pour une excursion dans l'ouest américain après les collants du chef d'oeuvre "Les aventures de Robin des Bois" de la même année. Errol Flynn interprète un shérif sobre et droit dans ses bottes. De la superbe première scène d'ouverture à la fin Michael Curtiz réalise un film de facture classique mais parfaitement maitrisé de bout en bout. La fin est un bel appel à l'aventure. Les seconds rôles sont particulièrement réussit, de ceux qui apportent de l'humour à ceux plus dramatiques ; à noter la mort d'un enfant, chose rare pour l'époque du film. Ce film a aussi l'une des bagarres de saloon la plus réussie du cinéma. Un western magnifique à voir et à revoir.
    Maqroll
    Maqroll

    157 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2011
    Un western classique entre les classiques, réalisé par ce cinéaste plus qu’estimable qu’est Michael Curtiz, auteur de quelques bijoux parmi lesquels l’immortel Casablanca. On assiste ici à tous les grands faits marquants de la mythologie américaine et de la conquête de l’Ouest, de la construction du chemin de fer à la création d’une ville qui devient un nid de bandits et sera finalement nettoyée par un shérif courageux et intègre qui aura pour prime la jeune femme courageuse et entêtée qui se montre aussi hardie que son amoureux… Errol Flynn et Olivia de Havilland reforment une fois de plus leur couple mythique (comme dans Robin des Bois un an auparavant) et sont escortés de quelques seconds rôles savoureux et bien en place. La réalisation est tout aussi classique que le sujet et nous entraîne dans un grand moment de détente depuis la course initiale du train contre la diligence jusqu’au final vers le soleil couchant, comme dans les aventures de Lucky Luke.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 octobre 2010
    Excellent western en couleur à découvrir! Par le futur réalisateur du mythique Casablanca qui semblez très inspiré ( ha cet bagarre général !!).
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