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    Dracula
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    ClashDoherty
    ClashDoherty

    234 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2023
    Une assez bonne, mais curieuse, version de "Dracula" malgré qu'elle ne soit franchement pas une des plus fidèles au roman de Stoker. Et pour cause, elle adapte une pièce de théâtre librement inspirée du roman initial ! spoiler: Ici, Van Helsing, interprété par un Laurence Olivier qui en fait un peu trop, a une fille qui sera une des premières victimes de Dracula. Ce qui donne au spectateur, au passage, une scène absolument remarquable où Van Helsing, dans un tunnel de mine (l'action se passe dans les Cornouailles, en pays minier), tombe sur sa fille, morte et vampirisée, transformée en vraie goule répugnante.

    Les acteurs sont très bons, à commencer par Frank Langella, qui campe un Dracula terriblement séducteur, un peu trop minet quand même.
    Le film possède une belle atmosphère assez lugubre, certains décors sont réussis, mais ne fait pas vraiment peur (hormis dans la scène dont je parle dans le spoiler). Le final, par contre, est remarquablement...peu réussi. A la limite du ridicule. Entre ça et le fait que le roman est traité par-dessus la jambe parfois, il m'est difficile de donner plus que 3.5 sur 5, mais ça reste un film à voir, pour son ambiance et ses acteurs et décors.
    Christobalx
    Christobalx

    9 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2023
    J'ai vu cette version de Dracula il y a quelques années (pas si longtemps) mais été déçue... le film a peut-être mal vieillit que sais-je, où tout simplement est-il pas terrible et kitch.... on a vu mieux... pas besoin de s'étaler sur les femmes gnangnan cherchant leur buveur de sang préféré, attendant dans leur chambre qui veulent bien grimper le mur... n'est-ce pas ? bref, le film m'a déçue... oubliable..
    Redzing
    Redzing

    1 149 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2021
    Sortie en 1979, cette adaptation de "Dracula" a depuis allègrement sombré dans l'oubli... et c'est bien dommage ! D'autant plus qu'outre ses qualités intrinsèques, elle fait office de belle transition entre les "Dracula" gothiques de la Hammer, et la version de Coppola de 1992, plus baroque et romantique. En effet, Frank Langella campe un vampire à mi-chemin entre Christopher Lee et Gary Oldman. On retrouve la classe stoïque et l'assurance du premier, et la romance portée par le second. Ici, comme dans la version de Coppola, Dracula éprouve de réels sentiments pour sa proie... qui le lui rend bien. Une prestation qui permet à Langella de trouver l'un de ses meilleurs rôles. L'acteur ayant par ailleurs eu l'occasion de "s'échauffer" sur scène, puisque le film adapte une pièce de théâtre qu'il interprètera près de 900 fois sur les planches ! John Badham ne limite pas l'inventivité à ce traitement romantique du célèbre vampire. Car ce "Dracula" cuvée 1979 est très étonnant. Soutenu par des acteurs talentueux (Donald Pleasence et Laurence Olivier, tout de même), le film offre une atmosphère gothique de très bel effet. Jolis paysages brumeux, intérieurs chargés, extérieurs sinistres, scènes nocturnes à la photographie travaillée : le film jongle avec ces divers éléments visuels pour aboutir à un ensemble qui en jette. On y trouve même quelques séquences réellement effrayantes (l'arrivée de Dracula par le mur, la confrontation avec Mina...), et d'autres pour le moins inattendues, dont une scène d'amour psychédélique ! La BO de John Williams, dont les sons trouve le juste milieu entre l'horreur et la romance, apporte beaucoup au film, renforçant considérablement l'impact des séquences en question. Une jolie version donc, qui fut un semi-échec en salles. A noter que le public était gâté par les vampires en 1979, car Werner Herzog sortait la même année sa version de "Nosferatu" !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    706 abonnés 3 075 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2021
    La réussite flamboyante de ce Dracula reste avant toute chose, comme dans la majorité des films, une réussite collective, le savoir-faire de John Badham en matière d’efficacité étant prolongé par des artistes qui confèrent au long métrage son âme et son atmosphère si particulière. D’abord, Gilbert Taylor (The Omen en 1976, Star Wars en 1977) signe une photographie somptueuse, forte de partis pris de cadrage et de composition des plans symboliques et gothiques : pensons notamment à ce dîner aux chandelles au cours duquel le comte comme son invitée apparaissent parmi quantité de bougies, en arrière-plan, ou à la nuit d’amour qui suit, séquence psychédélique où l’érotisme se teinte de macabre. Julie Harris, qui avait travaillé auparavant sur Casino Royale (John Huston, 1967), The Private Life of Sherlock Holmes (Billy Wilder, 1970) ou encore Rollerball (Norman Jewison, 1975), crée des costumes qui ressuscitent l’héritage de la Hammer et iconisent celles et ceux qui les portent, leur octroyant une authenticité et un potentiel de séduction certain. La partition que compose John Williams, qui compte parmi ses meilleures – il y en a beaucoup, certes –, apporte à l’ensemble la noblesse d’un orchestre symphonique, forte d’un thème emblématique qui se déclinera selon les situations. Elle participe pleinement de son dynamisme interne, apporte une ampleur et une gravité bienvenues, dans la tradition des grandes partitions de l’âge d’or hollywoodien. De très bons acteurs, dont un Frank Langella inattendu qui insuffle à son personnage une humanité et un charme, achèvent de faire de ce Dracula 1979 une excellente adaptation du roman de même nom, adaptation fidèle mais dotée de scènes visuellement impressionnantes qui continuent de nous hanter après visionnage – la descente inversée du vampire agrippé au mur du château, son arrivée au cimetière, l’ouverture et la clausule maritimes.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2020
    Le 'Dracula" de John Badham, réalisé juste après le triomphe inattendu au box-office de "La fièvre du samedi soir" est un film singulier qui avec le temps s'installe progressivement au panthéon des adaptations les plus réussies de l'œuvre de Bram Stoker. La réussite du projet initié par les studios Universal, doit beaucoup à Frank Langella qui depuis 1977 avait repris comme autrefois Bela Lugosi (en 1927), le rôle de Dracula dans la pièce qu'Hamilton Dean et John L. Balderston avaient tiré du roman de Stocker. En 1979, il souhaite bien sûr s'écarter des allures figées et ampoulées de Bela Lugosi mais aussi du mutisme hiératique incarné par Christopher Lee, celui qui pour la Hammer a réveillé le vampire depuis longtemps endormi. Un érotisme chatoyant sera la composante forte de l'interprétation de Langella qui il faut le reconnaitre est particulièrement troublante et réussie, justifiant pleinement l'envoûtement que le vampire suscite auprès la gent féminine tout à fait disposer à tendre son cou et plus encore pour accéder à un septième ciel malheureusement trompeur. John Badham épouse parfaitement la vision de l'acteur tout en l'insérant dans un environnement qui ne trahit en rien les canons imposés par Universal depuis la période de gloire du genre au début des années 1930. La présence de Donald Pleasance et de sir Laurence Olivier qui ne se privent en aucune manière de cabotiner à qui mieux-mieux est un régal tout comme la photographie de Gilbert Taylor et les décors de Peter Murton . Ajoutée à tout cela, la présence des très accortes Kate Nelligan et Jan Francis réjouira les quelques récalcitrants. Sorti la même année que "Nosferatu le vampire" de Werner Herzog et "Le vampire de ces dames" de Stan Dragoli, le film n'aura malheureusement qu'un succès d'estime. Le temps comme souvent a fait son œuvre. Justice est donc rendue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juillet 2016
    Pas besoin d'effets spéciaux ultra-modernes pour réussir un film. Ce Dracula possède le charme et la classe inhérents à la seconde moitié des 70's. Les décors sont beaux, l'ambiance horrifique est bien restituée, les quelques moments d'épouvante réussissent leur mission. Le scénario est bon et la réalisation aussi. Le spectateur est tenu en haleine jusqu'à la fin. On ne peut pas oublier ce film lorsqu'on l'a vu, c'est certain.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    150 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2015
    Un chef d'oeuvre . Frank Langella interprète le légendaire vampire. Laurence Olivier le pourchasse. Deux grands acteurs s'affrontent dans un bon film d'épouvante.
    Estonius
    Estonius

    3 490 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 décembre 2020
    Etrange challenge de la part d'Universal de ressusciter de ses studios le mythe de Dracula, 48 ans après Browning, après que la Hammer avait tout dit et que Polanski était passé par là. Et pourtant le pari est réussi avec un Frank Langella étonnant qui n'a pas à rougir de la comparaison avec Bela Lugosi ou Chritopher Lee, il joue simplement autrement, abatant la carte du vampire séducteur. Quant à la quasi inconnue Kate Nelligan, elle est rayonnante de beauté. L'atmosphère gothique et la folie omniprésente sont particulièrement bien rendues par le jeu des couleurs, et puis ce romantisme qu'on est peu habitué à voir dans ce genre de production nous charme. Il nous faut faire, hélas avec un Laurence Olivier absolument exécrable, et on remarquera quelques incongruités de scénario comme spoiler: Dracula qui a peur des croix, mais qui 20 minutes plus tard, n'en a plus peur ! Où la dernière scène qu'on a rendu hollywoodienne avec cette escalade désespérée aux gréements, alors que le vampire aurait pu fuir en chauve-souris ? Le dernier plan est très beau dans son ambiguïté, est-ce la cape de Dracula qui s'envole provoquant un sourire de soulagement de Lucy, ou alors, Dracula renaissant en chiroptère pour le plus grand plaisir de Lucy ?
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Comme le film de Tod Browning, le Dracula de John Badham est une adaptation de la pièce de Hamilton Deane et de John L. Balderston et non pas du roman de Bram Stoker. Malgré tout, il se permet d’être extrêmement libre avec ces matériaux d’origine. Ainsi, il supprime purement et simplement la partie se situant en Transylvanie et modifie considérablement les personnages. Etrangement, le rôle tenu par Mina spoiler: (fiancée de Jonathan Harker et dernière victime de Dracula)
    est désormais tenu par Lucy et inversement. Comme la Mina du film de Browning (et non pas comme dans le roman), Lucy est désormais la fille du docteur Seward et Mina devient la fille d’Abraham Van Helsing (chose complètement inédite). Ce dernier possède donc une implication émotionnelle plus importante. A l’instar du Browning, Jonathan Harker ne rencontre Dracula qu’en Angleterre. Renfield, quant à lui, devient un employé de l’abbaye de Carfax. Dracula, pour sa part, possède un aspect sexuel plus développé tout en conservant son aspect maléfique (contrairement à la version de Coppola où le vampire perd en diabolisme ce qu’il gagne en humanité). Il possède également (comme dans le roman de Stoker) la capacité de se transformer en chauve-souris, en loup (ce qui donne une séquence au trucage simple mais efficace) et en brume (qui renforce l’aspect surnaturel du personnage par l’intermédiaire de belles séqences d’apparitions). Pour ce qui est de son rapport à la lumière, Badham utilise une optique originale. Alors que, dans le roman, la lumière affaiblie le personnage mais n’est en aucun cas mortel pour lui, la lumière s’est transformée en arme mortelle contre Dracula dès le Nosferatu de Murnau. Badham opte pour une solution intermédiaire : Dracula peut vivre de jour à condition que cela se fasse dans l’obscurité, c’est la trop grande quantité de lumière du soleil qui devient mortelle spoiler: (même si les derniers plans peuvent laisser planer le doute)
    . De plus, Badham utilise certaines scènes à des emplacements différents (les épisodes concernant Lucy dans le roman sont désormais répartis entre Lucy et Mina).
    Malgré ces grandes libertés, les amateurs du célèbre vampires peuvent trouver leur compte dans ce film. En effet, John Badham nous offre une réalisation efficace, rythmée et élégante (même si certaines séquences comme la scène d’amour entre Dracula et Lucy possède une esthétique seventies trop marquée et pouvant décrédibiliser le tout). Les acteurs sont assez crédibles dans leurs rôles (et notamment Frank Langella qui campe un Dracula très convaincant). Pour ce qui est de la composition musicale, John Williams nous livre une fois de plus un très beau score.
    Un Dracula méconnu qui demande à être redécouvert.
    cylon86
    cylon86

    2 549 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2013
    Loin de la version un peu ridicule de Tod Browning et de celle grandiloquente de Coppola, John Badham réalisait en 1979 sa propre adaptation de "Dracula", basée sur une pièce écrite par Hamilton Deane et John L. Balderston. Tout en gardant quasiment tous les personnages du livre mais en changeant quelques faits, le scénario n'en devient que plus intéressant, se posant comme une variation de l'histoire originale. Si la surprise n'est pas au rendez-vous, il faut cependant avouer que l'on passe un très bon moment notamment grâce à la mise en scène de John Badham qui s'adapte parfaitement à l'atmosphère mi-gothique, mi-envoûtante de l'histoire. Grâce à de superbes décors et une magnifique photographie aux tons grisâtres qui donnent parfois l'impression que le film est en noir et blanc, ce "Dracula" se pose comme une des meilleures adaptations faites du roman de Bram Stoker. Dans le rôle titre qu'il tenait déjà sur scène, Frank Langella est grandiose, imposant sa carrure et sa voix pour mieux charmer ses victimes et menacer ses victimes. Face à lui, l'immense Laurence Olivier compose un excellent Van Helsing vieillissant et Donald Pleasence fait un très bon docteur Seward.
    Toutou to you
    Toutou to you

    35 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2012
    Dracula en pleine période disco.
    Tout auréolé du succès planétaire de La Fièvre Du Samedi Soir, John Badham réalise ce Dracula pour Universal. Une version qui est une adaptation d'une pièce de théâtre plutôt que du livre de Stoker. L'histoire prend place au début du XIXè siècle au Nord de l'Angleterre, un navire, le Demeter se fracasse sur les côtes. À son bord, tout le monde est retrouvé mort mais un être a survécu, le Comte Dracula...
    Beaucoup de variantes, des personnages n'ayant pas le même rôle que chez Bram Stoker, ce Dracula peut déstabiliser voire agacer le puriste. Si le film n'a pas été un échec grâce aux recettes mondiales, il n'est pas resté dans la mémoire collective. Et pourtant, à bien y regarder, ce Dracula version 1979 conserve un charme certain et une qualité artistique évidente. Il est vrai que le scénario de W.D Richter (Brubaker, Les Aventures de Jack Burton) est trop linéaire, sans réelles surprises, il offre de surcroît un vampire presque trop effacé. C'est ailleurs que le métrage brille. Les décors naturels sont sublimes, ils ancrent une ambiance chargée, surannée et gothique (le château, les côtes rugissantes). Les décors en studio contribuent également à la beauté visuelle (l'intérieur de l'édifice, l'hôpital, l'antre). Plus encore, certaines séquences demeurent aussi étonnantes que marquantes (Dracula sur le mur, le loup) et d'autres flirtent avec un esthétisme trangressif (le rouge dans la scène charnelle). Si artistiquement le film vaut le coup, les acteurs sont au diapason : Laurence Olivier (Spartacus), énorme acteur shakespearien, Donald Pleasence (Halloween) et Frank Langella en Dracula n'est pas vilain (attention à la coupe quand même !). Moins fiévreux que le Dracula de Coppola, plus romantique que celui de Terence Fisher, ce film est à voir pour les passionnés. 3,5/5
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 avril 2012
    Quelle surprise de voir de si bonnes critiques... Moi j ai trouvé ce film très mauvais de par son histoire horrifique/romantique un peu brouillon mais surtout par le jeu d acteurs , en particulier notre fameux Dracula qui pour moi et un des pires que j aie pu voir. Non vraiment j ai pas croché du tout...
    Xyrons
    Xyrons

    688 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2009
    Ce film sur Dracula de John Badham n’est pas l’un des meilleurs mais ça reste tout de même une bonne adaptation. Une bonne mise en scène, un bon casting avec des acteurs comme Frank Langella, Laurence Olivier ou encore Donald Pleasence, un excellent scénario… Bref c’est un bon film mais qui vieilli assez mal, 12 / 20.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    305 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juin 2009
    Un film inédit méconnu aux images parfois réussies (dont la fuite à Londres) mais à l’ensemble au ton commun: l'ensemble souffre en effet d’un manque de réelle personnalité sinon d'une qualité graphique lisse à la différence d'autres oeuvres précédentes, les auteurs semblants confondre originalité avec pure besoin de distinction. Reste la scène-climax de Dracula haranguant les rudes gueux et ces payans grossiers mais armés venus le chercher dans son château avec Van Helsing derrière…
    alf38000
    alf38000

    16 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2021
    Si il est evident que john Badham a pris quelques libertés avec le roman originel (inversions de quelques personnages, lieux différents, fin alternative) il n'en a pas moins su en faire un grand film; Ici point de canines dégoulinantes d'hémoglobine pas plus que de monstre assoiffé de sang, non ce Dracula -ci (magistralement interprété par un Frank Langella au sommet de son art) nous transmet non pas de la répulsion mais bien au contraire du rêve à défaut d'espoir, les mechants ont changés de camp.
    Le jeu des acteurs est excellent (presque tous viennent du théatre) les décors flamboyants et baroques nous transmettent les derniers feux d'un monde en plein changement (les vieilles légendes s'estompent face a l'ère moderne qui approche), jusqu'au choix de cette pellicule au grain si particulier que nous ne savons plus si le film est en couleur ou en noir et blanc.
    Sans aucun doute la meilleure version avec celle de F.F. Coppola.
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