AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,5
422 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Critters ?
5
2 critiques
4
13 critiques
3
17 critiques
2
19 critiques
1
7 critiques
0
1 critique
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
On suit dans ce film l'aventure d'une famille qui se fait attaquer par des copies des Gremlins. Le film s'en sort pas trop mal, le fait est que l'action se passe en pleine nuit donne une assez bonne tension. À ne pas vraiment regarder avec sérieux mais le film reste convenable dans les grandes lignes et assez plaisant à regarder.
Le film est la réponse de New Line aux Gremlins de Warner. Les Critters est plus dur et sombre que ce dernier. Il n'y a quasiment pas d'humour et les bestioles ne rigolent vraiment pas et ce malgré des petites répliques amusantes. On comprend dès la première mort que le ton sera plus sec que les Gremlins mais bon ça reste du PG-13. Si le début et les passages avec incrustations du vaisseau tout le long du film sont un peu cheap, le charme opère malgré tout et pour les cinéphiles qui le redécouvrent le facteur nostalgique fonctionne bien mais ça a vieilli. Ajoutons à celà la bande originale qui va bien et ce premier film se redécouvre avec plaisir.
Maintenant l'histoire est simple, une oeuvre qui fleure bon les 80's, son petit budget se fait ressentir, ceci dit les bestioles sont bien foutus, un croisement entre les Gremlins et les Popples. Les rares effets spéciaux sont corrects à l'exception bien entendu de ce qui est relaté un peu plus haut. Le casting est sympa, les chasseurs de primes intergalactiques ont une gueule fun avant d'avoir un visage humain.
Il est différent des Gremlins avec un scénario plus orienté sur la science-fiction pour ce qui concerne les origines de ces petites boules de poils qui roulent, sautent et détruisent tout sur leur passage. C'est la référence qui suit de très près le film de Joe Dante, bien meilleur dans le genre que les Ghoulies.
Maintenant l'histoire est simple, une oeuvre qui fleure bon les 80's, son petit budget se fait ressentir, ceci dit les bestioles sont bien foutus, un croisement entre les Gremlins et les Popples. Les rares effets spéciaux sont corrects à l'exception bien entendu de ce qui est relaté un peu plus haut. Le casting est sympa, les chasseurs de primes intergalactiques ont une gueule fun avant d'avoir un visage humain.
Il est différent des Gremlins avec un scénario plus orienté sur la science-fiction pour ce qui concerne les origines de ces petites boules de poils qui roulent, sautent et détruisent tout sur leur passage. C'est la référence qui suit de très près le film de Joe Dante, bien meilleur dans le genre que les Ghoulies.
Une navette amenant des créatures en prisons sur un astéroïde mais les c'est créatures appeler crittes ou critters s'enparent d'un véso pour s'enfuir de la prison.
J'ai vraiment adoré ce film car il raconte une vraie histoire et nous fais voyagé à travers les années 80 par les moyens et le disgn des créatures. De très bon effet spéciaux des personnages très doué. La fin me laisse perplexe et annonce du mauvais pour le deuxième épisode. Points négatif le manque de développement de l'histoire des critters et chasseurs de primes.
J'ai vraiment adoré ce film car il raconte une vraie histoire et nous fais voyagé à travers les années 80 par les moyens et le disgn des créatures. De très bon effet spéciaux des personnages très doué. La fin me laisse perplexe et annonce du mauvais pour le deuxième épisode. Points négatif le manque de développement de l'histoire des critters et chasseurs de primes.
Je suis tombe sur ce film probablement un peu trop jeune, mais justement, le choc en etant d'autant plus intense. En le regardant a nouveau plus tard et adulte. Je le trouve toujours aussi bien. Un coup de coeur.
Excellent film de fiction que j'ai adoré lors de son passage à la tv à l'époque, ayant eu acheté la cassette vhs, l'histoire et trop bien, c'est les années 80, l'histoire commence gentiment par une histoire de famille, Brad le fils se dispute avec sa sœur, une histoire dans une histoire.
spoiler:
Pour une histoire de fronde,il est puni, mais les critters arrivent, et dévorent tous sur place, 2 chasseurs de prime arrivent dans leur vaisseau et la, ils viennent aider la famille terrienne à combattre les critters, de bonne scène, en traute celle du piano, je me souviens plus, ou un prêtre jouait un air religieux un critters passe sur les touche et la il panique et joue un air sinistre, ça met de l’ambiance, excellent je recommande.
De plus il a eu une suite de 2017 tout aussi bonne.
spoiler:
Pour une histoire de fronde,il est puni, mais les critters arrivent, et dévorent tous sur place, 2 chasseurs de prime arrivent dans leur vaisseau et la, ils viennent aider la famille terrienne à combattre les critters, de bonne scène, en traute celle du piano, je me souviens plus, ou un prêtre jouait un air religieux un critters passe sur les touche et la il panique et joue un air sinistre, ça met de l’ambiance, excellent je recommande.
De plus il a eu une suite de 2017 tout aussi bonne.
Roub E.
Une série B d’horreur qui veut se greffer sans vergogne sur le succès des Gremlins mais qui reste au final assez sympathique. On peut y trouver un peu de tout, si on est amateur de Nanard ou pourra s’amuser de son côté fauché, de ses acteurs obligés de se secouer dans tous les sens pour faire croire que les petites bêtes les attaquent. Si on aime l’horreur il y a quelques passages sympas dans une ambiance assez amusante. Le look des Critters est lui aussi plutôt réussis avec quelques maquillages et effets spéciaux artisanaux qui rendent aussi le film sympathique. Il y a dans quelques scènes un côté sale gosse toujours plaisant (l’arrivée des chasseurs de primes à l’église par exemple). Bref à part sa présentation un peu longue de la famille qui passe par moment vraiment pour du remplissage on trouve dans Critters ce qu’on vient y chercher, de la serie b de vidéo club très amusante.
Première mise en scène de Stephen Herek qui signe à seulement vingt-huit ans un film culte qui ne pourra que satisfaire les amateurs de bêbêtes poilues aux dents pointues, venues du fin fond de l'espace! On se souvient tous des terribles "Gremlins" en 1984! Deux ans après, c'est au tour des "Critters" de foutre le boxon et de faire une petite descente sur notre belle planète Terre! ils sont aussi vicieux et affamès que les bestioles de Joe Dante en augmentant sans cesse! Le film affiche trente cinq ans au compteur donc ne pas s'ètonner sur l'histoire qui relève du kitch rigolo (le vaisseau spatial, le rocker de M.T.V, les dialogues, les F /X...). Un classique joliment troussè dans lequel l'humour et l'efficacitè sont constants! On y voit la mythique Dee Wallace Stone et même le jeune Billy Zane qui joue le niquedouille de service! Ont suivi plusieurs suites, quatre au total, sans surpasser l'original! Mais reconnaissons que cette franchise d'horreur parodique se suit toujours avec le même plaisir...
Un petit film d'horreur sans prétention très inspiré des Gremlins. Le film mise beaucoup sur le gore et l'humour noir et ça fonctionne très bien. A défaut de faire peur le film est drôle et fun. On passe un agréable moment.
Fêtons le cinéma
Sur quels critères juger Critters ? Il y a de la science-fiction un peu ridicule, de l’horreur par instant, du burlesque, de la survie à la home invasion. Critters est un peu de tout cela, s’avère difficilement définissable mais s’apprécie par la qualité de sa mise en scène et de ses effets visuels. On ressent deux influences majeures d’ailleurs explicitement citées : tout d’abord les Gremlins dans la conception même des petits monstres, leurs mimiques, leur gestuelle, leur langage ; ensuite E.T. avec son enfant à vélo, seul véritable héros parmi les adultes qui ne comprennent jamais rien. La composition musicale de David Newman ne propose aucun thème mémorable, s’intéresse davantage à la construction d’une ambiance électronique parfois efficace, souvent peu inspirée. On ne passe pas un moment devant le film heureusement court qui joue la carte du divertissement, ce qu’il réussit moyennement – nos deux chasseurs intergalactiques sonnent vraiment faux et alourdissent un récit déjà peu original –, mais qui réussit ses effets. Il y a dans Critters une paresse d’écriture et d’inventivité qui l’empêche de s’émanciper de ses sources d’inspiration pour proposer quelque chose de neuf. Reste une déclinaison acceptable.
Un pure film des années 80 critters et un film culte! moins populaire que gremlins ! Des creature ignobles et drôles !
Pauline G.
Franchement mal fait et aux méthodes plus que grossières, Critters n'est pas un chef d'oeuvre de technique - on devine sans mal la faiblesse du budget et des moyens technologiques de l'époque. Cependant, on retrouve aussi avec joie les contours des films d'aventure des années 1980-1990 : le courage des enfants, l'esprit d'équipe, la solidarité, la débrouillardise... qui donnent l'impression du début à la fin que rien n'est jamais impossible. C'est toujours agréable de se laisser porter par un vent de naïveté selon certains, de liberté diront d'autres.
Le début laisse présager un film de SF à l'ancienne, avec des aliens aux masques de latex, des vaisseaux pleins de boutons lumineux, et des scènes spatiales au look rétro mais plus que correctes.
La majorité de Critters se déroule pourtant dans un patelin en pleine campagne, qui se retrouve attaqué par des aliens affamés, des boules de poils équipées de piques empoisonnés et de larges rangées de crocs.
Ces aliens, les Krites, on les voit le moins possible, la plupart du temps uniquement lors de plans très rapides, sûrement pour des questions d'animation. Néanmoins leur look est très réussi, et on le doit aux frères Chiodo, devenus deux ans plus tard les créateurs du très bon Killer klowns from outer space.
Pour éliminer les Krites sont envoyés deux chasseurs de prime, dont la tenue me fait penser à ce que des cowboys de l’espace porteraient, si une telle chose existait.
Ils sont capables d’adapter leur visage selon les habitants de la planète sur laquelle ils arrivent, ainsi, lors du visionnage express de vidéos provenant de la Terre, l’un d’eux s’arrête sur un clip musical, pour prendre l’apparence du chanteur. Il s’agit de l’acteur Terrence Mann, qui interprète lui-même la chanson de son personnage, "Power of the night", spécialement créée pour le film, ce qui ne l’empêche pas de déchirer totalement. Un pur concentré de l’esprit des 80’s, ça donne la pêche ; il m’arrive des fois de l’écouter en dehors du film, que je n’avais pas revu depuis fin décembre 2007 !
L’autre chasseur ne trouve rien, et reste pendant un temps avec sa tête qui ressemble à une boule de chewing-gum mâché, verte et phosphorescente.
Le body count du film est très léger, les Krites faisant plus de victimes chez les animaux que chez les humains, avec lesquels ils se contentent parfois de mordre (ou d’arracher des doigts, bon, c’est un peu mieux).
Il y a quelques touches d’humour de temps en temps (les chasseurs dans l’église, le Krite qui avale de la dynamite, l’autre qui mange la tête d’une peluche d’ET, …), mais trop rares, ce qui pose un problème de ton étant donné qu’une grande partie du film est sérieuse, à voir le désarroi des humains pris d’attaques par les aliens. Une plus grande part d’humour aurait été plus favorable au film, car ça aurait pu faire passer la lenteur de l’action.
En effet, les scènes traînent en longueur, même dans les moments d’attaque. Dans une scène en particulier, alors que les Krites sont juste en face de nos héros humains désarmés et coincés devant une porte fermée, les créatures ne chargent pas, bizarrement. A partir de là, il ne peut y avoir de sentiment de danger, et on comprend que les personnages principaux ne sont pas censés mourir.
Malgré les efforts de l’équipe et la qualité de nombreux aspects du film, on sent quand même que le budget devait être assez faible, pour avoir à combler des manques en rallongeant toujours un peu la durée de certaines scènes.
La majorité de Critters se déroule pourtant dans un patelin en pleine campagne, qui se retrouve attaqué par des aliens affamés, des boules de poils équipées de piques empoisonnés et de larges rangées de crocs.
Ces aliens, les Krites, on les voit le moins possible, la plupart du temps uniquement lors de plans très rapides, sûrement pour des questions d'animation. Néanmoins leur look est très réussi, et on le doit aux frères Chiodo, devenus deux ans plus tard les créateurs du très bon Killer klowns from outer space.
Pour éliminer les Krites sont envoyés deux chasseurs de prime, dont la tenue me fait penser à ce que des cowboys de l’espace porteraient, si une telle chose existait.
Ils sont capables d’adapter leur visage selon les habitants de la planète sur laquelle ils arrivent, ainsi, lors du visionnage express de vidéos provenant de la Terre, l’un d’eux s’arrête sur un clip musical, pour prendre l’apparence du chanteur. Il s’agit de l’acteur Terrence Mann, qui interprète lui-même la chanson de son personnage, "Power of the night", spécialement créée pour le film, ce qui ne l’empêche pas de déchirer totalement. Un pur concentré de l’esprit des 80’s, ça donne la pêche ; il m’arrive des fois de l’écouter en dehors du film, que je n’avais pas revu depuis fin décembre 2007 !
L’autre chasseur ne trouve rien, et reste pendant un temps avec sa tête qui ressemble à une boule de chewing-gum mâché, verte et phosphorescente.
Le body count du film est très léger, les Krites faisant plus de victimes chez les animaux que chez les humains, avec lesquels ils se contentent parfois de mordre (ou d’arracher des doigts, bon, c’est un peu mieux).
Il y a quelques touches d’humour de temps en temps (les chasseurs dans l’église, le Krite qui avale de la dynamite, l’autre qui mange la tête d’une peluche d’ET, …), mais trop rares, ce qui pose un problème de ton étant donné qu’une grande partie du film est sérieuse, à voir le désarroi des humains pris d’attaques par les aliens. Une plus grande part d’humour aurait été plus favorable au film, car ça aurait pu faire passer la lenteur de l’action.
En effet, les scènes traînent en longueur, même dans les moments d’attaque. Dans une scène en particulier, alors que les Krites sont juste en face de nos héros humains désarmés et coincés devant une porte fermée, les créatures ne chargent pas, bizarrement. A partir de là, il ne peut y avoir de sentiment de danger, et on comprend que les personnages principaux ne sont pas censés mourir.
Malgré les efforts de l’équipe et la qualité de nombreux aspects du film, on sent quand même que le budget devait être assez faible, pour avoir à combler des manques en rallongeant toujours un peu la durée de certaines scènes.
Yetcha
Certes il a vieillit, mais finalement pas si mal que ça par rapport à d'autres. Certains effets spéciaux sont mauvais et d'autres tout à fait bons. Critters surfe bien entendu sur la vague Gremlins, mais en plus méchants. Les montres ont un design vraiment sympa avec leurs yeux rouges, leurs mains et pattes griffues, leurs nombreuses rangées de dents et, clou du spectacle, leurs épines empoisonnées qu'ils peuvent lancer à distance. De nombreux clins d'oeil à des films cultes des années 80, SOS fantômes (la chemise du père), Gremlins (la scène dans la chambre du garçon), E.T. (avec la peluche). Le scénario est simple mais efficace. Le casting n'est pas en reste avec des acteurs souvent cantonnés à des rôles secondaires mais qui durent encore aujourd'hui, preuve de leurs qualités. Un film que j'ai vu alors que j'avais 12 ans, qui m'a marqué et fait plutôt peur à l'époque mais que j'apprécie de regarder encore aujourd'hui, et pas uniquement pour son aspect nostalgique. Sa réussite a donné suite à 3 autres films d'ailleurs, dont l'intérêt diminue proportionnellement à l'augmentation de la numérotation.
Si l’aventure Critters sent l’opportunisme à plein nez avec son histoire largement pompée sur celle des Gremlins et son envie de ratisser un public ado adepte des productions Amblin (l’appel du pied au metal pour midinettes, les gamins à vélo et une ambiance bon enfant), force est d’admettre que le spectacle demeure encore fort sympathique à suivre de nos jours. Tout d’abord parce que le jeune héros incarné par Scott Grimes est plutôt attachant et surtout parce que les créatures en question sont plutôt charismatiques. Tourné avec un savoir-faire certain par Stephen Herek qui s’est ensuite spécialisé dans le spectacle familial insipide, Critters a tout de la série B sympa, limitée, mais efficace et sans prétention aucune. Ce ne sera pas le cas des suites, pour la plupart déplorables.
Shawn777
Ce film d'horreur, qui fait un peu penser à "Greemlins" est très bien fait, c'est l'histoire d'une bande d'extraterrestres, les Krites (ou Critters), qui viennent sur Terre car ils ont faim et ils vont donc traquer une petite famille américaine mais ils sont aussi poursuivis par deux chasseurs de primes, venus eux-aussi de l'espace, pouvant prendre l'apparence qu'ils veulent. Ce film fait donc preuve d'un peu d'originalité même si le monde des extraterrestres à été déjà bien utilisé dans les années 80, le réalisateur utilise tous les codes de l'horreur : l'histoire se passe la nuit, dans une ferme éloignée de tout, le téléphone est bien sur coupé etc. mais on ne se lasse pas de ce genre de truc. Au niveau des acteurs, ils jouent assez bien et la B.O est sympa et rappelle bien le monde des années 80.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse