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charly thebest
5 abonnés
108 critiques
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1,0
Publiée le 20 décembre 2022
Un drôle de mélange de film d horreur et de film d action. Film à éviter. Vous gagnerez 1h20 de votre vie. Casting de série B, jeu d acteur des feuilletons télé. Scénario écrit par un gamin. Je zappe.
4 541 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 5 juin 2020
Ce film sur une fée psychotiques mortes est étonnamment ordinaire. L' intrigue consiste en une fée qui traque et tue soigneusement tout le monde sur son chemin. On pourrait penser qu'elle serait satisfaite après avoir tué trois douzaines de personnes pour rejoindre l'enfant pour ses dents ? Mais même alors elle n'est pas heureuse. Elle porte également un masque en porcelaine parce qu'elle a été très gravement brûlée lorsqu'elle était en vie et que la lumière lui fait mal au visage. Cette fée n'est même pas effrayante à distance. Le producteur n'a épargné aucune dépense pour le scénario. Un scénariste de 12 ans d'un lycée a écrit les dialogues comme ceux-ci : actrice : Appelez les flics, Acteur masculin : Ils sont morts. actrice (incrédule) : Tous ? Acteur masculin : À peu près. Que se passe-t-il donc à la fin du film ? Eh bien comme tous les autres films d'horreur et d'action des vingt dernières années, la fin se déroule dans un décor de type entrepôt en l'occurrence un phare. Le personnage principal, le héros met le feu à son bras et utilise la lumière de son bras brûlant pour lui faire mal au visage. Elle est imperméable aux douze mille balles tirées sur elle tout au long du film mais sa faiblesse est le feu. Ça et les dents quelle rigolade ce film...
Prévisible de A à Z. C'est plus involontairement drôle qu'effrayant, pire que ça c'est ennuyeux. "Darkness Falls" ne doit être considéré que comme une alternative aux somnifères...
La fée des dents est passée, on l'a vu et c'est flippant. Rendez nous notre petite sourie! Jonathan Liebesman se fait la main avant de nous surprendre avec le non ridicule remake de The Ring ainsi que sa propre version de Texas Chainsaw. Le décevant Killing Room qui suivra est clairement à l'image De cette nuit de terreur, avec ses espaces clos où filmer ses pieds semble s'imposer pour maintenir un quelconque suspens.
La filmographie touche à tout de Jonathan Liebesman nous a habitué à de très bonnes concoctions, autant d'épouvante que d'action. Son premier long métrage identifiait la fée des dents à un spectre vengeur, défiguré et redoutable pour quiconque oserait le regarder en face. La lumière comme unique allié, là où dans la pénombre, il n'y a pas d’échappatoire. Sous des faux aires de série B, Nuits de terreur révèle un incroyable potentiel et de nombreuses qualités, de rythme et d'esthétique. Sa dimension horrifique nous tient en haleine sur la durée, et c'est ce que l'on recherche avant tout, ne pas décrocher dès la première demi-heure. Un retranchement de survie bien ficelé, et cadencé entre noirceur et lumière. Excellente découverte. 3,5/5
Ce film peu connu est plaisant, mais reste très classique. La fin "tout fini bien" est agaçante. Peut-être que s'il est peu connu, c'est qu'il n'a pas marqué les esprits ? ^^
A la vue de cette série B horrifique on se demande pourquoi elle a mérité une diffusion en salle, et non pas une sortie directement en DVD tant son manque d‘originalité en fait un produit insignifiant. L’efficacité de la scène d’ouverture n’en est que plus trompeuse tandis que la suite s’englue dans un schéma de survival nanardesque tel qu’on en a déjà vu des centaines. Chaque scènes, chaque rebondissement, chaque jump-scare semblent être des redites maladroites d’autres films du genre bien plus inspirés. Hormis le premier meurtre dans l’introduction, seule la course-poursuite en forêt est filmée de façon à garantir un minimum de tension alors que la suite, pourtant censée faire monter la peur, devient de plus en plus grotesque, jusqu’à un dénouement purement ridicule. Un début de carrière peu prometteur pour Jonathan Liebesman qui nous prouvera par la suite que, s'il est doué pour une chose, c'est bien pour savoir rendre risible la mise en images de scénarios de films potentiellement spectaculaires.
Le film m'a paru bien classique. Il se situe dans la même veine que tous ces films mettant en scène un démon ou un fantôme...sans vraiment faire peur. On voit en effet ici trop souvent le fantôme et le suspense est plutôt mal amené. De plus le jeu des acteurs, quelconque, n'aide pas. Il y a des incohérences et des approximations. Mais aucun de ces défauts n'est vraiment rédhibitoire car ia réalisation est correcte, il y a pas mal d'action (même si elle est un peu répétitive) et l'histoire quoique simple tient la route. Un film sans grande originalité qui s'oublie facilement, hormis peut-être la scène du début.
le seul film qui a su me faire bondir du siège tous le long avec un home cinéma chez soi digne de ce nom. Parole de cinéphile amateur de "bond sur le siège" A regarde impérativement dans le noir, au calme absolu.
L'idée est bien trouvé , malgré tout , ce film qui a maintenant 10 ans a très mal vieillit. Il ne fait vraiment pas peur , même pas un petit frisson , et la fin est un peu longue et fastidieuse , avec aussi quelques incohérences. Ce film m'a plus fait penser à un bon petit téléfilm , qu'à du cinéma.
Après une bonne introduction angoissante qui annonce la couleur, on tombe petit à petit dans la médiocrité avec un beau gosse à deux sous qui va retrouver son amour de jeunesse et sauver son petit frère de ce qu'il a connu petit...des phobies nocturnes ! Un scénario qui vire au cauchemar en somme. Les apparitions du fantôme débutaient bien mais au final elles lassent pls qu'elles ne font peur et l'actrice Emma Caulfiel aussi mignone qu'elle soit n'apporte rien de consistant au personnage qui sert plus de décor qu'autre chose. Il y a quelques scènes sympathiques pourtant (en forêt etc) mais la bataille dans le phare est ratée. Dommage.
Bien avant l'insipide World Invasion Battle Los Angeles et le mitigé La Colère Des Titans, Jonathan Liebesman s'est essayé au film d'épouvante avec ce Nuits De Terreur. Il poursuivra l'aventure avec Massacre À La Tronçonneuse, Le Commencement. À Darkness Falls, Matilda Dixon recueillait les dents de lait des petits enfants. Elle fut tuée après la disparition de deux marmots. C'était jadis. Kyle, qui vient de perdre sa dernière dent de lait, sent une présence. Il ne devra son salut qu'à sa peur. 12 ans plus tard, il revient aider le frère d'une amie, qui n'arrive pas à trouver le sommeil... La petite souris est de ces légendes qui ont bercé notre enfance, le noir nous aura marqué pour d'autres raisons. Sur une base plus qu'intéressante, Liebesman va ouvrir son métrage sur une scène très réussie. Démarrant ainsi, Nuits De Terreur place d'emblée le spectateur dans l'angoisse et laisse présager de bonnes choses. Cependant, le métrage n'arrive pas à tenir la distance, au niveau tension en tout cas. Il faut bien l'avouer quelques séquences font de l'effet, un bon jeu sur la lumière et une belle photographie (excellent travail de Dan Laustsen qui travailla sur Silent Hill ou Possédée) permettent un visuel particulièrement soigné, très convaincant (tourné dans un joli scope). Mais le film est court (1h10 sans le générique de fin), Liebesman ne veut pas d'un film sans rythme et trop de scènes haletantes perturbent les apparitions de l'angoissante présence. L'interprétation est bonne, bien dirigée et on remarquera dans le rôle de Caitlin jeune, la petite Emily Browning alors inconnue. Réalisé en 2003, Darkness Falls est une production qui vaut le coup d'oeil grâce à sa mise en scène stylée. 3/5