Derniers Avis sur Le Sapin a les boules

Écrit par John Hughes, le roi de la comédie américaine des années 90, mais réalisé par Jeremiah S. Chechik, ce film est dans la même veine que la série des "Maman, j'ai raté l'avion" avec un rythme soutenu où s'enchaînent les gags et les situations comiques, ce qui ne nous laisse pas le temps de s'ennuyer. C'est une histoire simple, celle d'un père de famille maladroit qui veut offrir à ses proches un Noël mémorable. Clark Griswold est attaché à ce qui fait la "magie de Noël". Pour cela, il veut placer dans le salon un authentique sapin, déraciné on ne sait trop comment dans une forêt, et qui éclaire la maison avec des milliers de boules. On suit cette période de fêtes au gré de gags outranciers qui font parfois mouche (le chat grillé derrière le canapé, l’arrivée du cousin Eddie) et d'autres qui tombent à plat (Clark qui ne cesse de se prendre en pleine tête les planches du grenier), accompagnés d'une certaine tendresse : bien que tous ces personnages soient aussi irrécupérables les uns que les autres, la solidarité et l'amour qui les unit l'emportent. C’est une vraie comédie, certains penseront à la facilité humoristique ou aux clichés américains mais moi je dis que c'est un film magique et très marrant à mater absolument pendant les périodes de fêtes en famille ! Ce n’est pas non plus à réserver aux allergiques des dindes et sapins de Noël. Non, car en fait, c'est sans doute l'un des films qui dépeignent le mieux la réalité des fêtes en famille ! Mais regarder ce grand fou de Clark, empli de magie de Noël, qui se débat dans tous les sens pour assurer un réveillon inoubliable à toute sa famille, c'est super. Ce film est véritablement loufoque et même le générique sous forme de dessin animé est très amusant. Le charme des Griswold se retrouve vraiment dans les souvenirs de voyage de John Hughes, qui rendent le film crédible et où tout le monde ayant voyagé avec sa famille peut se retrouver. Le plus drôle, chez les Griswold, c’est de voir ces quatre bons américains plongés dans un endroit où ils n’ont plus de repères. Là, ils sont chez eux et savent bien ce qu’ils doivent faire, où ils doivent aller. Ainsi, le scénario joue la carte classique de la préparation du Noël parfait orchestré par des losers malchanceux auxquels il ne va arriver qu'une série de tuiles... Désormais mis en scène par Jeremiah Chechik (sorti de nulle part et dont c'est le premier long-métrage), ce troisième épisode va vite s'avérer être le meilleur épisode de la tétralogie... Non pas que "Le sapin a les boules" soit un chef d'œuvre de la comédie américaine mais le film a le mérite de divertir au minimum le spectateur le plus lambda possible grâce à une bonne humeur chaleureuse et familiale. Dans l'ensemble, ce troisième opus s'amuse à démontrer la ridicule importance de fêter Noël en famille, avec des membres que l’on n’a pas forcément envie de voir comme le cousin Eddie qui revient après son absence dans le précédent volet, toujours plus ignoble que jamais. Visuellement c’est un film de Noël, dans l’académisme du genre, mais pour le coup c’est ce qu’il y a de mieux, et qui ravit le soir en famille, surtout si on n’a pas la même chose dehors. On a de beaux décors de Noël, avec de la neige à profusion, c’est regrettable qu’on reste sur un quasi huis-clos, et que l’on ne profite finalement qu’assez peu des grandes illuminations, mais le long-métrage arrive à offrir une ambiance de Noël malgré tout. J’ai déjà vu bien mieux cependant. La musique aurait pu être clairement plus recherchée, et la mise en scène aurait pu être plus inspirée aussi. Le casting s’en sort remarquablement bien pour une comédie de Noël (Chevy Chase en tête bien sûr). Bref, c’est vraiment un très chouette film à voir en famille, et qui rappellera à tout le monde des choses vécues pendant les fêtes de Noël, un film hilarant pour petits et grands, qui au-delà du cliché et de la parodie nous fait vraiment aimer Noël. Un film qui détonne de ce que John Hughes a l'habitude d'écrire, lui qui est tant familier dans le registre des films adolescents, même si ceux-ci restent en général également des comédies

« Je dédie cette maison au Noël de la famille Griswold. »

Ce troisième volet des National Lampoon’s Vacation, dédié aux vacances de Noël, toujours scénarisé par John Hughes, n’est plus un road trip en mode clichés comme les deux précédents et est réalisé par Jeremiah S. Chechik, dont c’est le premier film. On retrouve toujours Cheevy Chase et Berverley D’Angelo dans le rôle des parents, les enfants étant une nouvelle fois interprétés par un acteur et une actrice différent·es. Au rayon des surprises, on notera d’ailleurs l’apparition de Juliette Lewis et de Johnny Galecki, dont c’est seulement le 3ème film, ainsi que de Julia Louis-Dreyfus en voisine coincée, alors plus connue pour son appartenance au Saturday Night Live où a également officié Chevy Chase.

Si les gags sont toujours franchement prévisibles, ils bénéficient d’un rythme similaire au premier volet. Hélas, on ne retrouve toujours pas l’esprit noir et glauque qui l’avait enrichi d’une aura culte et le scénario s’enlise irrémédiablement dans un entrelacs incertain.

Le Sapin À Les Boules de Jeremiah S. Chechik avec Chevy Chase et pour moi un film qui m'a pas plus et que j'ai trouvé long.

Je sais pas par où commencer a part dire que uniquement Chevy Chase et le seul intéressant dans ce film tout le reste du casting je me demande a quoi servent t'il sur les 1h30 de film il y'a a que 20 minutes qui et drôle le reste c'est que des discussions qui servent à rien par exemple Randy Quaid qui incarne Eddie le cousin de Clark (Chevy Chase) je l'ai trouvé tellement lourd on a que des discussions qui servent à rien il nous explique sa vie alors que sa sert a rien quand il fesait une bêtises je me demandais si c'était vraiment drôle a la fin ils ont voulu placer un moment émotionnelle quelques chose de sympa mais non sa été bâclé et mal joué.

Le point positif c'est Chevy Chase qui et drôle avec quelques autres blagues par-ci par-là étalée sur 1h30 de discussion comme le chat, la sapin qui brûle, au moment où la police débarque et les voisins j'ai adoré les quelques passage qu'y avait mais c'est pas grand chose.

En globalité seul Chevy Chase m'a interressé les quelques cascades bêtises mon plus mais c'est tout beaucoup de passage et d'acteur en trop qui servent à rien 1h20 on explique la vie de chaque personnage alors que sa ne sert a rien au film pour un film classer dans comédie slapstick pourtant qui et un genre que j'adore comme Y'a T-il Un Pilote Dans L'avion, Hot Shot ! ou encore Jackass qui sont bien meilleurs.
J'ai été déçu je m'attendais a mieux.

Les aventures de la famille de National Lampoon's Vacation part maintenant en vacances... d'hiver. Le titre français est un jeu de mots digne du tonton bourré en bout de table ("Le Sapin a les boules"... Vraiment ? On en est là ?), mais le titre en VO qui inscrit ce film dans la saga des "Lampoon" est également trompeur : la famille ne part pas à l'aventure (sauf dans les dix premières minutes pour aller chercher son sapin), elle reçoit ses proches chez eux. Et en toute franchise, la sauce n'a jamais prise dans ce film de Noël qui présente un père de famille abject (il était râleur dans les films précédents, mais ici son côté colérique, limite bipo, cynique à l'excès et rabat-joie nous empêche de nous amuser... On aurait ça à la maison, on le mettrait dehors pour tenir compagnie au bonhomme de neige du jardin). Ce rôle principal détestable (où, étrangement, Chevy Chase semble ne pas trop forcer pour jouer le gars infect) est associé à des gags très plats et qui se répètent en boucle (qu'il s'électrocute avec sa guirlande, bon sang, et qu'on n'en parle plus...), avec un esprit de Noël totalement absent au profit des seules préoccupations consumméristes (c'est moi qui aurait le plus gros sapin, la plus grosse guirlande, la dinde la mieux cuite... Eh ben, pour ressentir un brin d'émotions, on repassera). Le final se souvient d'ailleurs qu'il s'agit (à la base) d'un film de Noël, et essaie de rattraper le coup in extremis avec une énorme louche de bons sentiments niais auxquels on ne croit pas (démesurés, qui déboulent d'un coup, et qui remettent encore le seul intérêt du "miracle" de Noël dans le fait de gagner du fric...). Il y a tellement de films touchants ou drôles de Noël, que cette comédie au Chevy Chase irritant et à la magie de Noël qui se compte en biftons est à zapper sans regret.

Un film qui n'a rien de comique et a très mal vieilli. Tout y est grotesque, surjoué... et mis à part voir des acteurs devenus célèbres, le film n'a aucun intérêt.

C'est une histoire simple, celle d'un père de famille maladroit qui veut offrir à ses proches un Noël mémorable. Clark Grinswood est attaché à ce qui fait la "magie de Noël" ; pour cela, il veut placer dans la salon un authentique sapin, déraciné on ne sait trop comment dans une forêt, et éclaire la maison avec des milliers de boules. On suit cette période de fêtes au gré de gags outranciers qui font parfois mouche (le chat grillé derrière le canapé, l’arrivée du cousin Eddie) et d'autres qui tombent à plat (Clark qui ne cesse de se prendre en pleine tête les planches du grenier), accompagnés d'une certaine tendresse : bien que tous ces personnages soient aussi insauvables les uns que les autres, la solidarité et l'amour qui les unit l'emportent. Ce point de vue manque de subtilité pour émouvoir, la grossièreté des traits d’humour ne faisant pas oublier les quelques marques de douceur dispersés ça et là pour contrebalancer la profusion de gags. On sourit parfois mais le film s’étire inutilement pour s’arrêter sur l’image la plus attendue : une réconciliation familiale aussi improbable que naïve.

Bonjour les vacances (National Lampoon) est une telle merveille qu'on accueille avec plaisir d'autres aventures de la famille Griswold. Sauf que là, en dehors de cousin Eddy, les autres personnages ne sont ni passionnants, ni drôles et c'est plutôt ennuyeux pour une comédie. Une aventure de Noël bien décevante.

Pas désagréable mais très moyen. John Hughes est au scénario et on reconnait ses faiblesses d’écriture, en particulier une tendance à juxtaposer les séquences sans réussir à insuffler du rythme à l’ensemble (ce qui dérange moins dans ses teen movies que dans ce genre de divertissement familial). L’humour est un burlesque très basique (on tombe, on se cogne, on électrocute le chat, etc.), sans vrai moment d’anthologie qui ferait passer la mollesse d’ensemble et les problèmes de rythme dûs au montage. Le film se repose trop sur les mimiques de Chevy Chase, qui du coup en fait des caisses. Pour le reste, l’ambiance de Noël est bien au rendez-vous et il y a quand même quelques gags efficaces, principalement dans la première moitié.

Saison oblige, je regarde quelques films de Noël, et je suis donc tombé sur Le Sapin à les boules, film assez ancien maintenant, au casting intéressant, mais au final tiédasse, sans grande saveur, dont le meilleur devrait rester le titre !
L’histoire est déjà réellement très moyenne. Quelques moments drôles mais de façon éparse (le meilleur reste l’introduction), et un scénario au propos terriblement rebattu. C’est gentillet, et bien sûr on ne pouvait qu’attendre un happy end, ce qui est le propre de ce genre de métrage, mais en fait le souci c’est que ça s’enlise ! Entre l’ouverture et la fin du film il n’y a quasiment aucune évolution, tout est téléphoné, le rythme est planplan malgré l’arrivée de multiples personnages. Le sapin à les boules n’arrive jamais à cacher son manque d’enjeux flagrant. On dirait presque que le film est improvisé au jour le jour par l’équipe qui a cherché des idées pour faire durer le film dans les limites d’1 heure 30, mais sans introduire aucun fil conducteur, aucun relief particulier. D’ailleurs si l’on ne rit pas vraiment, il n’y a pas non plus d’émotions, de sentiments, et le final arrive presque comme un cheveu sur la soupe tant il est quelconque. Pour tout dire je me suis ennuyé, et je n’ai ni été touché ni amusé par ce film.
Le casting est plutôt bon sur le papier pour une comédie, avec Chevy Chase, Diane Ladd, Randy Quaid, une jeune Juliette Lewis, parmi d’autres, mais au final, bof. Chase ne s’en sort pas trop mal, mais parfois il part dans un surjeu éhonté (la scène avec la vendeuse), qui peine à amuser. Par ailleurs il a des difficultés à rendre son personnage touchant dans sa maladresse et son côté « raté ». Ce que l’on a d’ailleurs du mal à croire, vu qu’il a un boulot visiblement bien payé dans une grosse boîte. Enfin. Pour le reste Randy Quaid est amusant, son apparition dans la deuxième partie relance un peu le film, mais globalement la présence de très nombreux personnages et l’absence de véritable écriture les concernant ne permet pas aux interprètes de se démarquer.
Visuellement c’est un film de Noël, dans l’académisme du genre, mais pour le coup c’est ce qu’il y a de mieux, et qui ravit le soir en famille, surtout si on n’a pas la même chose dehors. De beaux décors de Noël, neige à profusion, c’est regrettable qu’on reste sur un quasi huis-clos, et que l’on ne profite finalement qu’assez peu des grandes illuminations, mais le métrage arrive à offrir une ambiance de Noël malgré tout. J’ai déjà vu bien mieux cependant. La musique aurait pu être clairement plus recherchée, et la mise en scène aurait pu être plus inspirée aussi.
Le Sapin à les boules est pour moi un ratage malgré tout. Pas de relief, peu d’humour et pas de profondeur, le film n’est pas non plus suffisamment majestueux visuellement pour compenser la faiblesse de son propos. Bien sûr le film de Noël est un genre codifié dans lequel je ne cherche pas trop d’originalité, mais faut que ce soit bien fait, touchant et drôle à la foi. Là, il n’y a rien de cela, ou trop peu. 1.5

Passé un générique sous forme de cartoon vraiment sympa et bien réalisé, on arrive dans un film où les gags s'enchaînent sans transitions et sans être réellement drôle. Seul Randy Quaid arrive à donné de l'humour au film, on peut dire qu'il le sauve.

Écris par John Hughes, le roi de la comédie US des années 90, ce film est dans la même veine que la série des "Maman, j'ai raté l'avion" avec un rythme soutenu où s'enchainent les gags et les situations comiques, ce qui ne nous laisse pas le temps de s'ennuyer.
Du moins durant la première partie car le film perd de son énergie par la suite.

De la grosse rigolade au premier degré et sans vulgarité, à cette époque.

Un très chouette film a voir en famille , et qui rappellera a tout le monde des choses vécues pendant les fêtes de Noël.Un film hilarant pour petits et grands , qui au-delà du cliché et de la parodie nous fait vraiment aimer Noël .

Après leurs deux premières aventures loin de chez eux, les Griswald étaient de retour chez eux pour Noël. Idée bizarre sur le papier : retrouver les Griswald est génial, mais chez eux, n’est-ce pas perdre le charme de cette saga ?

Il se trouve que si, le charme des Griswald se retrouve vraiment dans les souvenirs de voyage de John Hughes, qui rendent le film crédible et où tout le monde ayant voyagé avec sa famille peut se retrouver. Le plus drôle, chez les Griswald, c’est voir ces quatre bons américains plongés dans un endroit où ils n’ont plus de repères. Là, ils sont chez eux et savent bien ce qu’ils doivent faire, où ils doivent aller. Le film pousse presque trop sur la molette du chaos pour être réellement au niveau des deux autres. Hormis ce petit détail, Christmas Vacation reste un film assez admirable, drôle et doté du plus beau casting de la saga : en effet, aux côtés des toujours parfaits Chevy Chase et Beverly d’Angelo, on retrouve les jeunes Juliette Lewis et Johnny Galecki, dans le rôle des enfants Griswald. Certaines perles de comédie comme les scènes entre Nicholas Guest et Julia Louis-Dreyfus sont à mourir de rire et Randy Quaid a une présence toujours aussi sympathique. Mais la mayonnaise prend beaucoup moins que les deux premiers films.

Christmas Vacation est une bonne comédie, loin des standards de la saga, mais toujours sympathique et amusante pour les fêtes de fin d’année. Les Griswald revinrent au cinéma en 1997, avec Vegas Vacation.

souvenir d'enfance...il me faisait rêver. la vie était moins stressante à ce moment là.