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L'OBELIX ITALIEN. Bud Spencer le roi du slapping assomme dans la bonne humeur tout ce qui passe à moins d'un mètre de lui. Un communication souriante, vieillot et répétitive. Toujours la même recette mais en solo. Terence Hill a aimé.
Film bien sympa, avec Bud Spencer à l'égal de lui même. Petite aventure, non violente, même si les méchants prennent leur tarif de baffes, parfois en musique. Les acteurs sont tous corrects.
Objectivons
"Accusé d'avoir abusé de sa propre sœur, Sonny Bronston, un voleur de chevaux, se voit traqué sans répit par le valeureux Hiram Coburn" : premièrement, le nom des personnages est inversé. Deuxièmement, le personnage qu'incarne Bud Spencer (Coburn) n'a pas abusé de sa propre sœur !
Troisièmement, son poursuivant (Sonny) n'est pas particulièrement valeureux. Par contre, celui-ci est fort doué de son colt.
Et quatrièmement, Coburn n'est pas un voleur de chevaux spoiler: même si on peut avoir un doute lors de la scène où son cheval va voir des pouliche, mais c'est la faute du cheval si celles-ci le suivent, pas de Coburn
. On ne sait pas trop qui il est, si ce n'est, comme toujours avec les personnages incarnés par Bud, un gars qui n'a pas beaucoup de chance...
Pour faire un bon résumé sans spoiler, Coburn est accusé d'avoir apporté le déshonneur à la sœur de Sonny en ayant couché avec elle. Accusation portée uniquement par Sonny, qui tient à tout prix à ce que Coburn épouse sa sœur afin qu'elle sauve son honneur (ainsi que le sien, puisqu'il considère que l'honneur de la famille est bafoué). Et à le descendre immédiatement après...
A noter le titre français qui n'a pas grand chose à voir avec l'histoire. Titre italien, littéralement "Vous pouvez le faire... ami", mais plus à prendre comme "Tu peux le faire... ami", dans le sens de se marier, j'imagine. Titre qui est à peine mieux adapté.
Ce western est agréable à regarder, avec une petite intrigue plaisante à suivre, et bien joué. Pour un fois, Bud Spencer ne se sert pas de revolver; mais ne croyez pas qu'il est non-violent, non, simplement il se sert juste de ses poings...
Publié le lundi 9 juillet 2012, revu ce jour)
Troisièmement, son poursuivant (Sonny) n'est pas particulièrement valeureux. Par contre, celui-ci est fort doué de son colt.
Et quatrièmement, Coburn n'est pas un voleur de chevaux spoiler: même si on peut avoir un doute lors de la scène où son cheval va voir des pouliche, mais c'est la faute du cheval si celles-ci le suivent, pas de Coburn
. On ne sait pas trop qui il est, si ce n'est, comme toujours avec les personnages incarnés par Bud, un gars qui n'a pas beaucoup de chance...
Pour faire un bon résumé sans spoiler, Coburn est accusé d'avoir apporté le déshonneur à la sœur de Sonny en ayant couché avec elle. Accusation portée uniquement par Sonny, qui tient à tout prix à ce que Coburn épouse sa sœur afin qu'elle sauve son honneur (ainsi que le sien, puisqu'il considère que l'honneur de la famille est bafoué). Et à le descendre immédiatement après...
A noter le titre français qui n'a pas grand chose à voir avec l'histoire. Titre italien, littéralement "Vous pouvez le faire... ami", mais plus à prendre comme "Tu peux le faire... ami", dans le sens de se marier, j'imagine. Titre qui est à peine mieux adapté.
Ce western est agréable à regarder, avec une petite intrigue plaisante à suivre, et bien joué. Pour un fois, Bud Spencer ne se sert pas de revolver; mais ne croyez pas qu'il est non-violent, non, simplement il se sert juste de ses poings...
Publié le lundi 9 juillet 2012, revu ce jour)
Ce western un peu déjanté présente un côté comique qui maintient l'intérêt du film. Pour le reste, un scénario classique avec de belles grosses bagarres commme on a l'habitude d'en voir avec Bud Spencer.
Tendresse, humour et action sont au rendez-vous pour ce western de série B. Une petite surprise, l'apparition de Dany Saval (la femme de Michel Drucker) et accessoirement l'épouse de Hiram Coburn...
Tendresse, humour et action sont au rendez-vous pour ce western de série B. Une petite surprise, l'apparition de Dany Saval (la femme de Michel Drucker) et accessoirement l'épouse de Hiram Coburn...
Rèalisè efficacement par le mèconnu Maurizio Lucidi, "Amigo... Mon colt a deux mots à te dire" se situe dans la tradition du western-spaghetti: mouvementè, haut en couleurs, plein de coups et de baffes! A l'affiche de ce film divertissant: Bud Spencer, champion de l'humour et de l'action dans les annèes 70-80, et le grand Jack Palance qui s'amuse ici et qui a su jouer aussi bien le barbare "Attila, flèau de dieu" que les grands producteurs chez Jean-Luc Godard! Poursuites, vengeances, amitiès dans le dèsert, ce western-spaghetti sympathique est surtout dèdiè aux amoureux de Bud Spencer! On signalera pour finir la prèsence de Francisco Rabal en prêtre / juge...
AMCHI
Mais qu'est venu faire Jack Palance dans cette galère (en fait je le devine aisément la raison de sa présence) ; Amigo... Mon colt a deux mots à te dire n'a rien d'emballant et l'on peut même dire que ce film est doublement mauvais car que ce soit comme comédie ou comme western ce film est raté. Pour l'action on se contentera de voir Bud Spencer foutre des baffes.
Même si ce western est conduit avec entrain par Bud Spencer, ce film ne vaut pas un bon Trinita.
Un bon western avec de belles bagarres (dès que bud retire ses lunettes, c'est que ça va cogner !!) surtout la dernière baston est sympathique.
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