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    Le Boucher
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    90 critiques spectateurs

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    Philcroc
    Philcroc

    53 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2020
    Un très bon Chabrol avec une magnifique actrice S. Audran dans le rôle de la maîtresse d'école de ce village perigourdin Tremolat qui est un des personnages centraux de ce thriller psychologique aux petits oignons chabroliens
    brianpatrick
    brianpatrick

    83 abonnés 1 603 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2020
    C'est très bien réalisé et c'est très bien interprété, et c'est pour cela que le film mérite une étoile supplémentaire. Après avec du Claude Chabrol, les scènes restent incroyablement longues. C'est pour cela qu'il faut aimer. Là l'histoire se situe dans un village dans le Périgord. Il y a toute l'ambiance de village, avec sa mairie, son église, son cimetière, son école et sa boucherie. Par contre il y a un troquet sur la place du village, mais ils n'y mettent pas les pieds. Oui, avec Maigret, ils y passaient toute la journée. Enfin, autrement, la vie en campagne en 1970. Cette tranquillité, cette vie paisible. Après cela, c'est vrai qu'en campagne, on trouve le temps long.
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 janvier 2020
    Mais qu'est qui m'a pris de regarder du Chabrol ? Venant de sortir d'un film magnifique avec le même Jean Yanne je tombe grace au lien sur ça. Trois acteurs au casting (+ Zardi évidemment) pour le reste des inconnus. Mais des inconnus qui jouent comme des pieds et qui regardent la caméra. Lors du marriage il n'y a que Jean Yanne qui interprète bien son rôle même Stéphane Audran semble à cote de la plaque ! Quand soudain un amateur Italien pousse une chansonnette insupportable !!! J'ai tenu huit minutes quatre secondes dans un Chabrol, record personnel battu...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    101 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Les géniaux Stéphane Audran et Jean Yanne portent à bout de bras ce film mythique de Claude Chabrol, qui offre une superbe réflexion sur les liens entre nature et culture, entre pulsions et aspirations et sur l’origine profonde de la violence humaine - le ton est donné dès le générique d’ouverture qui s’inscrit sur les murs d’une grotte préhistorique. Plus tendre qu’à son habitude avec ses personnages principaux, malgré la face extrêmement sombre de son boucher, le cinéaste ne nous épargne pas pour autant des séquences angoissantes, mâtinées d’une bande-son oppressante. Une superbe histoire d’amour entre une institutrice et un assassin au passé militaire obsédant.
    Vincent D
    Vincent D

    3 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2019
    je ne sais pas trop pourquoi mais le film dégage un certain charme poétique .
    peut être à cause de Stéphane Audran qui arrive à rendre son personnage d'institutrice attachante. et aussi à cause de la reconstitution de la vie provinciale des années soixante dans un village du périgord joliment photographié ( ça sent bon la France)
    Et pourtant le film ne raconte pas grand chose.
    Pourquoi le tueur qui s'avère un bon gars tue?
    On ne le saura pas vraiment, l'explication selon laquelle il a été traumatisé par les horreurs de la guerre et qu'il est poussé par un élan irrésistible est un peu téléphoné.
    Si c'est juste pour dire que notre voisin d'apparence normal ou notre boucher qui nous prépare nos cotelettes et avec qui on aime échanger quelques banalités quotidiennes peut s'avérer un tueur , c'est un peu léger pour justifier un film.
    Mais bon le film a un côté vintage assez agréable ( mon boucher du coin ayant en fait disparu depuis longtemps pour être remplacé par un magasin de fringues franchisé )et on est à prêt à tout pardonner à jean yanne surnommé popaul quand avec son regard de chien battu il renonce par amour à tuer son héléne alors qu'institutrice des élèves qu'il trucide, elle ne peut que le dénoncer.
    A la limite sans ce détail gênant , ils auraient pu former un gentil couple .
    Le seul probléme est que sans crime, il ne peut y avoir de film.
    Pour attirer les spectacteurs, Claude Chabrol ne peut se contenter de raconter une histoire de personnes simples qui sympathisent au cours d'une cérémonie de mariage pour se mettre ensuite ensemble .
    D'ou l'intérêt de faire de Jean Yanne un boucher-sérial killer ( savoir découper un gigot, ça aide... )
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2019
    Hélène, une institutrice instruite, belle, libérée et citadine rencontre, lors d’un mariage Popaul, un boucher rustre et hanté par les guerres coloniales auxquelles il a participé. On est en 1970 et les guerres d’Indochine et d’Algérie sont dans toutes les mémoires. On est dans un film de Chabrol, donc l’action se déroule dans un petit village. Dans le film, Hélène fait allusion devant sa classe à Honoré de Balzac qui a construit son œuvre comme une peinture de la société de son époque. Cette réplique n’est pas innocente chez Chabrol qui, lui, n’a de cesse de disséquer la France rurale de son époque et faire craquer le vernis entourant les bourgeoisies locales. Ici, dès une scène inaugurale de mariage quasi naturaliste donnant le sentiment d’assister à une véritable fête de famille de province des 70’s ; Hélène la parisienne et Popaul le boucher de retour des colonies ne semblent pas à leurs places. Deux solitudes s’associant autour d’un dénominateur commun ne pouvant aboutir que sur une fin malsaine. Elle, Hélène, flattée par l’admiration qu’elle suscite, est aveuglée et joue l’apprenti sorcière avec un homme pas fait pour elle. Lui, Popaul, obsédé par cette femme inaccessible ne peut retenir ses pulsions et ne sait comment afficher son attrait pour elle; offrir un gigot d'agneau comme on offre un bouquet de fleurs est le plus éloquent. Autour de l’installation d’un climat angoissant, les éléments narratifs sont bien pauvres pour tenir en haleine tout au long du film. On connait le meurtrier, on connait très vite l’objet qui va le compromettre. Le script aussi affiche quelques faiblesses ; par exemple, comment une institutrice peut aller faire pique-niquer avec ses élèves au bord d’une falaise. Le final digne d’Alien où la victime se réfugie dans un lieu clos pour se protéger d’un danger extérieur et se rendre compte que le danger est enfermé avec soit est digne d’un thriller avant l’heure. Audran et Yanne jouent parfaitement la partition de l’amour impossible. Au final, un bon petit polar bien ficelé.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 504 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2019
    Ce film raconte l'histoire d'un petit village de Dordogne dont la vie paisible est chamboulée par un puis un deuxième assassinat de jeunes femmes.
    En parallèle, on suit l'histoire de l'institutrice et directrice de l'école et du boucher.
    Ils se sont rencontrés au mariage de l'instituteur qui marque le début du film.
    On apprend que le boucher revient au village, reprendre la boucherie de son père, après avoir passé 15 ans dans l'armée, ce qui l'a profondément marqué.
    Petit à petit les 2 personnages vont se rapprocher et passer de plus en plus de temps ensemble.
    spoiler: Jusqu'à ce que la directrice se rende compte que le boucher est le coupable, puis à penser le contraire pour finalement comprendre que c'est bien lui.

    Chabrol filme donc le bourru J. Yanne et la belle S. Audran. Il filme des banalités la plupart du temps. Mais il réussit parfaitement à transformer tout cela en un vrai thriller aidé par une musique travaillée.
    C'est simple, mais élégant donc.
    Un film qui m'avait marqué lorsque je l'avais vu pour la première fois, il y a déjà longtemps et pour lequel j'ai pris plaisir à revoir.
    SociN
    SociN

    11 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2019
    J'ai été assez déçu par ce Chabrol. On y trouve certes une bonne étude de mœurs et un témoignage intéressant de la vie campagnarde de la fin des années 60, mais au-delà de cette histoire d'amour ratée, le scénario est trop faible et les incohérences trop importantes (notamment la scène finale) pour m'avoir convaincu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 février 2019
    Bonjour,
    Une atmosphère envoutante, nostalgique d'une époque révolue ...
    Mais quelle est donc cette musique classique, pendant la répétition du spectacle des enfants ?
    Merci
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 octobre 2017
    On m’objectera que les monstres de cinéma paraissent tellement monstrueux qu’ils ne peuvent pas être si monstrueux que ça. C’est exactement ce que je me disais en regardant « Le Boucher » de Claude Chabrol. Voilà un monstre, fils d’un boucher monstrueux, qui après quinze ans d’armée en Indochine et en Algérie, où il a vu et commis des actes monstrueux, revient s’installer au village. Chabrol a eu l’intelligence de choisir Jean Yanne pour incarner l’ignoble boucher. Stéphane Audran, elle, campe la directrice de l’école communale. Elle est vive, intelligente, équilibrée, mais après un chagrin d’amour elle a décidé de vouer sa vie à des enfants qui ne seraient pas les siens. Le boucher, célibataire, aurait donc bien voulu courtiser Mam’zelle Hélène, la directrice engagée à la solitude chaste. Il la fréquente, certes, lui fait des cadeaux, accepte les siens, l’aide à préparer les fêtes de fin d’année, participe aux sorties avec les enfants, dîne chez elle… Rien de plus. En échange, elle se contente d’accepter les gigots saignants du boucher…

    La jeune mariée de l’instituteur adjoint est assassinée ! « Ah ! me suis-je dit, sacré Chabrol ! Il ne va quand même pas nous mettre sur la piste du boucher ! » Il y a bien le métèque de service, celui qui chantait à la noce et qui pelotait ses cavalières, leur volant des baisers à bouche que veux-tu. Et l’adjoint ? le mari ? Pas clair l’adjoint ! Le flic d’ailleurs le suggère, comme ça, mine de rien, en revenant du cimetière. Mais tout de même, le boucher !... Il s’appelle Popaul, le boucher ! Popaul, curieux surnom pour un boucher qui revient de près de quinze ans à faire couler le sang ou à le regarder couler ! C’est du moins ce qu’il prétend. Il a le goût du sang dont il dit qu’il a toujours la même odeur, partout, même s’il change de couleur et de force. Au cours d’une sortie avec les enfants, Hélène se retrouve sur les lieux d’un deuxième meurtre. Il s’en est fallu de peu que ses élèves et elle y assistent. Une très jeune fille ! On n’en saura pas plus. Elle découvre près du cadavre dégoulinant de sang le briquet qu’elle avait offert peu de temps avant au boucher pour son anniversaire. Ce serait donc ce monstre patenté, presque officiel, l’auteur des crimes monstrueux ? Allons, Chabrol, tu nous abuses avec la réputation de Jean Yanne ! Mais où était donc Popaul ? À Périgueux, dira-t-il, la ville d’à-côté, et d’ailleurs on apprendra plus tard qu’un meurtre a aussi eu lieu à Bergerac… Bergerac, Périgueux, pour un Parisien… Alors, le monstrueux boucher Popaul, amoureux de Mamzelle Hélène ?

    Pourtant, il avait l’air comme tout le monde, Popaul. Il était bon en histoire et en français à l’école mais détestait les problèmes de trains qui se croisent et de robinets qui fuient. Et Chabrol en profite pour nous donner un de ces problèmes des écoles primaires d’antan, véritables tortures pour cerveaux en formation. Le voici, tel qu’il est énoncé par un jeune garçon, Charles, élève et protégé de l’institutrice, à l’attention de Popaul qui repeint le plafond d’Hélène en son absence :

    « Un train part d’Orléans à 14 h 37 à une moyenne de 104 km/h pendant les 50 premiers kilomètres puis à 110 km/h pendant le reste du trajet. Un autre train part de Toulouse à 14 h 43. Il roule à 65 km/h pendant les 80 premiers kilomètres et à 106 km/h après. Les deux trains se croisent à 17 h 45. Quelle est la distance entre Orléans et Toulouse ? »

    Et juste le temps de l’énoncé du problème, Monsieur Tomba (l’unique fois que Popaul est appelé par son nom de famille – et quel nom !), fait tomber de la peinture rouge qui dégouline sur le tapis et retrouve son briquet caché dans un meuble. Grâce à qui ? Au gamin des trains qui l’aide de ses conseils à effacer la tache ! On retrouve Chabrol, là : qui est le tortionnaire, la victime, l’initiateur, le complice ? Ne répondez pas trop vite. Résolvez d’abord le problème de trains et vous verrez après. Il y a du Ionesco chez ce Chabrol-là. Chez le Roumain le prof était le violeur, le sadique pervers lui qui, aussi, tourmentait les jeunes cerveaux avant de les réduire, de les anéantir. Il est assez symptomatique que « La Leçon » commence par une leçon d’arithmétique… C’est par un problème d’arithmétique que se dénoue l’intrigue du film. Je crois franchement que Chabrol s’est souvenu de Ionesco pour cette histoire de trains et d’institutrice.

    Pourquoi donc Hélène David – elle porte ce nom-là, pourquoi ? – pourquoi n’est-elle pas allée témoigner à la gendarmerie après la découverte du briquet ? Quel rôle joue donc Mamzelle Hélène dans la perpétration des trois crimes ? Le fait est que c’est elle qui initie son jeune élève – elle lui donne la permission, sur la demande de sa mère, de boire une goutte de champagne ; la mère consent ainsi à se déposséder de sa fonction ; elle protège, ouvertement ou non, son ami qu’elle soupçonne d’assassinat par son silence ; quant à la scène finale… Sans vouloir la déflorer, il est évident que la demoiselle institutrice y apparaît dans toute son ambiguïté.

    Est-ce à dire que le monstre n’était pas monstrueux ? Sans doute que si, mais il avait des complices parmi les gens les mieux placés et les mieux considérés de la commune. De parfaits innocents, tous ! Le mot « complices » est peut-être trop fort. Disons des « témoins actifs ». Mieux encore « des témoins que la passivité consciente et volontaire rend complices ».
    Christine Brakhausen
    Christine Brakhausen

    10 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2017
    Un Chabrol d'une grande perfection comme d'habitude. Une histoire toute simple interprétée admirablement, et mis en scène avec un talent immuable!!!
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 375 abonnés 4 414 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2017
    Je ne sais pas trop comment ça se fait, mais en ce moment je tombe sur pas mal de films de réalisateurs connus qui manquent d’enjeux. Le Boucher est de ceux-là.
    Encore une fois, beau casting, bon sujet, réalisateur expérimenté, mais pour un résultat qui laisse un peu à désirer. Le Boucher n’est en effet pas terrible sur le fond. Outre le fait qu’il n’y a ni enquête ni suspense, ce qui nous amène d’emblée à abandonner l’idée d’assister à un polar, à un thriller, ou même pourquoi pas à un film d’horreur, on ne peut pas dire que la relation entre les personnages soit très enthousiasmante, ni même que le film soit très crédible (au gré de quelques scènes assez invraisemblables). On s’étonne même d’arriver à 50 minutes de film (sur 90) en ayant le sentiment de ne pas avoir vu grand-chose, et cela sans s’être réellement ennuyé non plus. C’est sans doute ce qui sauve Le Boucher, bien que peu emballant, le film est court, et on ne ressent jamais un véritable ennui, en dépit d’un rythme assez lent.
    Le casting est bon. Yanne est à l’aise dans ce rôle dramatique, sans être complètement convaincant, tandis que Stéphane Audran livre une prestation peu critiquable. Elle est tout à fait convaincante, et son duo avec Yanne est attrayant. Peu de mystères sur leurs personnages, j’aurai clairement aimé un approfondissement plus marqué du personnage de Jean Yanne, qui reste un peu vide, malgré les tentatives de lui donner un passé, lequel reste un peu flou. En tout cas, pas trop de choses à redire de ce côté-là.
    La forme est plaisante, mais sans plus. Chabrol signe quelques bons passages, mais d’autres sont faiblards (la découverte du corps, moyennement bien amenée) en terme de mise en scène, et il peine à donner beaucoup de relief à sa réalisation, qui semblera parfois pépérisante. Le film délivre de toute façon un ressenti un peu plat, et la musique dissonante, l’image et l’ambiance provinciale assez statiques ne sont pas pour rien dans l’impression de lenteur, qui sans desservir franchement le métrage, lui donne un côté académique et presque suranné.
    Le Boucher reste un Chabrol regardable, mais on est loin de ses meilleurs films. Pour ma part il a choisi une approche plus psychologique, centrée sur ses personnages au détriment du polar et du thriller, un choix hasardeux car tout en se privant d’une dimension vraiment divertissante, il ne réussit pas franchement à offrir toute la richesse et la complexité qu’on pouvait attendre d’un face à face psychologique et sentimental entre les deux acteurs. 2.5
    pierrre s.
    pierrre s.

    423 abonnés 3 300 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2017
    Voilà un thriller troublant porté par un duo d'acteurs qui l'est tout autant. En nous montrant le "quotidien" d'un petit village Chabrol signe un film subtil et maitrisé.
    Estonius
    Estonius

    3 286 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2016
    Curieux film qui oscille lentement entre le thriller et l'étude de mœurs. Très bon film mais qui a des défauts : erreurs de script (on ne fait pas pique-niquer une bande de gosses auprès d'un précipice, de plus ils n'ont qu'un seul accompagnateur !) faiblesses (la scène de la découverte du cadavre est partiellement ratée et maladroite et la panique des enfants n'a rien de crédible), lourdeurs (la référence à Balzac). Et puis il y a quelque chose d'assez étonnant dans la direction d'acteurs : Audran et Yanne sont tout simplement fabuleux dans les scènes intimistes qu'ils interprètent avec un naturel délicieux, mais dès qu'il s'agit de faire de la composition dramatique, ils sont moins bons (surtout Yanne). Parlons aussi de la musique, ce genre de plaisanterie était assez tendance dans les années 70, aujourd'hui on en est revenu. Et malgré tout cela le film est bon, très bon même, parce que c'est de ce quotidien si bien interprété par Audran et Yanne et si bien distillé par Chabrol que nait l'horreur, une horreur qui n'aurait pas été si intense sans ce quotidien (une horreur partagée, puisqu'en n spoiler: e dénonçant pas l'assassin, Audran lui se rend indirectement complice d'un troisième crime,
    Stéphane Audran, véritable apparition fascinante de sensualité, on peut comprendre que le personnage joué par Jean Yanne en devienne zinzin !..
    Sonia K.
    Sonia K.

    18 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2016
    Un film long et lent, où il ne se passe pas grand chose. L' histoire peut se résumer en trois ligne. Jean Yanne y excellent; S. Audran un peu moins. C'est tout. On s' ennuie.
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