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DO 61
125 critiques
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4,0
Publiée le 9 novembre 2024
Je me souviens avec nostalgie des jours de mon enfance où Tarzan figurait parmi mes héros préférés, aux côtés de Thierry la Fronde et de Davy Crockett. Johnny Weissmuller, avec ses records du monde en natation et ses médailles d'or olympiques, incarne pour moi le Tarzan cinématographique définitif, alliant un physique athlétique à une présence naturelle qui cadre parfaitement avec le rôle. Sa co-star, Maureen O'Sullivan, apporte une dimension cruciale avec son interprétation sensible de Jane, ajoutant à chaque scène une authenticité rare pour l’époque. Ce film, en dépit de ses moments colonialistes d’un autre âge, mais bien réels, et de scènes d'action parfois naïves, demeure un exemple classique d'aventure romantique. Il ne faut pas non plus oublier Cheeta, dont la longévité est aussi remarquable que le film lui-même. Les premiers films de la série Tarzan, notamment celui-ci, sont essentiels pour tout fan du personnage, non seulement pour l'action et l'aventure, mais aussi pour le charme unique que Weissmuller et O'Sullivan apportent à leurs rôles. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle)
Un grand classique du cinéma d'aventure. Il se laisse encore regarder de nos jours malgré ses petits erreurs de réalisme d'époque. Mais l'histoire et l'interprétation sont à la hauteur pour avoir un bon divertissement.
Un grand classique du film d’aventure ! Bien sûr, on est choqué par le racisme profond de l’époque. Pour la conscience écologique , ce n’est pas encore ça non plus avec le massacre des hippopotames et autres lions.
C'est kitch, obsolète, et d'une naïveté profonde, mais il est tout de même difficile ne pas succomber au charme désuet de ce film, qui a bâti la légende de Tarzan. Maureen O'hara et Johnny Weissmuller forment un couple improbable, mais attachant, et on suit avec intérêt les tribulations du monde animal dans une jungle à la fois réelle, et de pacotille. La scène finale de l'attaque du village, reste bluffante, et quand apparaît "The End", on revient doucement sur terre, contraint de revenir à la réalité, loin, très loin, de ces captivantes péripéties, parfois interrompues par le cri le plus célèbre d'Hollywood….
Même s'il a quelque peu vieilli sur certaines séquences, ce film d'aventure, qui marque les débuts de Johnny Wessmuller au cinéma dans le rôle de Tarzan, se visionne tout de même avec plaisir grâce à la belle prestation de son comédien principal, pour le charme de Maureen O'Sullivan qui campe une ravissante Jane et aussi pour sa très belle histoire.
Le temps fait son office de bien des façons: il y a les films qui vieillissent sans problème, et d'autres qui accusent quand même le coup. Ce Tarzan fait partie de la deuxième catégorie, s'avérant plus intéressant par la mythologie qu'il installe et son côté iconique, que par ses qualités techniques ou son scénario plutôt léger. Le spectacle demeure toutefois assez divertissant (faisons abstraction des techniques rudimentaires pour donner l'illusion d'acteurs évoluant au milieu de l'Afrique) et il y a assez de bonnes idées de mise en scène pour tenir la route. Vu toutefois avec le doublage des années 70, qui donne une impression de décalage plutôt incongrue.
Que dire de ce film qui est très réussi tant par ses décors que par ses acteurs, en effet, weissemuller est un acteur parfait dans ce rôle puisqu'il est charismatique et impressionnant par son physique. De plus, les décors représentent assez bien la jungle africaine dans lequel nos protagonistes s'aventurent et les animaux sont assez bien mis en scène. Toutefois en 84 ans le cinéma a fortement évolué et certaines scènes peuvent paraître assez kitsch voir assez nulle créant des moments de longueur et ce notamment vers la fin où le scénario n'arrive plus à nous maintenir une tension dù au chasseur (le méchant) qui fait pale figure devant tarzan car ce dernier ne possède aucune scène propre à lui, son personnage est écrit sur des dires et non sur des actes ce qui casse pour ma part la tension. Bref un film pas mal pour son époque, qui se laisse regarder mais qui dû à son âge pêche un peu dans le kitsch.
Balayons d'abord quelques critiques déplacées, Tarzan ce n'est pas le "Voleur de bicyclettes" et ce gausser ici d'incohérence comportementales n'a aucun sens. Idem pour le trapèze volant dont on nous rabâche les oreilles, les éléphants qui ne sont pas d'Afrique et les transparences malheureuses… On est dans un film d'aventures, c'est de la série B et il faut faire avec. Plus gênant est le personnage de Harry Holt, non pas parce qu'il est raciste et abruti mais parce que malgré qu'il le soit, le scénario finit contre toute attente par vouloir le rendre sympathique. Sinon, c'est pas mal du tout, c'est un bon petit film d'aventures avec tous les ingrédients qui vont bien, Maureen O'Sullivan et rayonnante de beauté et de sensualité, et Cheeta est craquante.
Un grand souvenir de cinéma d’aventure de mon enfance lorsque l’on n’avait pas école le mercredi matin et que l’on regardait un film de « La dernière séance » le mardi soir. 35 à 40 ans après, je remets le couvert en me disant qu’un gamin de 10 ans d’aujourd’hui va s’ennuyer ferme devant ce film. Et bien, ni lui ni moi n’avons failli. Les trucages sont nombreux et techniquement pas toujours bien réussi au regard de ce qui se fait aujourd’hui mais de bonne facture pour l’époque ; et puis un œil neuf d’enfant n’y voit que du feu. C’est le rythme qui est captivant, et il pose déjà les bases des éléments du grand film d’aventure. Des animaux sur de nombreux plans, des combats féroces, un homme singe virevoltant d’arbres en arbres ; c’est du grand spectacle. « King Kong » l’année suivante ; avec Tarzan, ils feront les beaux jours du cinéma commercial mondial longtemps et donc repris de maintes fois ; cependant ces deux opus des 30’s ne seront que rarement dépassés. Dans les vieux pots, on y fait de la bonne soupe. Dans ce Tarzan, le traitement scénaristique de l’indigène pourrait être choquant ; mais il incarne bien surtout le peu de considération de l’homme blanc pour ces troupes de sauvages à moitié à poil. La séquence en surimpression où les colons observent les tribus locales et leurs tenues est assez cocasse. W.S. Van Dyke exploite là bons nombres d’images documentaires qui à l’époque ont dû fascinées les spectateurs. Tout un monde s’ouvrait à eux. Après faire de l’ethnologie, ce n’est pas le thème du film ; montrer des indigènes et des animaux sauvages, c’est la vraie vocation de ce film. Au-delà de çà ; chronologiquement, le code Hays n’a pas encore férocité le cinéma américain. Le couple Johnny Weissmuller et Maureen O’Sullivan est magnifique et se permet même de fricoter gentiment devant la caméra (la scène de la rivière). Ces évocations d’une sexualité heureuse entre une femme et un sauvage étaient osées ; la sexualité à l’image disparaitra même carrément du cinéma américain durant de longues décennies par la suite. Fasciné par cette grande aventure peuplée d’animaux sauvage, mon fils ira même se coucher en reproduisant le cri de Tarzan ; comme quoi, les bonnes histoires n’ont pas d’âge. Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
Tarzan, l'Homme-Singe est un très vieux film qu'il est presque marrant à regarder du fait de son côté très vintage. Johnny Weissmuller joue correctement, même si ces répliques sont assez limitées. Maureen O'Sullivan est bien aussi. L'histoire est connue de tous, même si le film prend pas mal de distances avec les éléments secondaires de l'intrigue pour ne garder en commun que l'essentiel (un homme élevé par des singes). Les costumes sont assez logiquement peu crédibles, on voit bien qu'il s'agit soit de peluches, soit de costumes avec un homme en-dessous. Les scènes de combat sont amusantes à regarder car on voit l'ingéniosité avec laquelle l'équipe technique nous faisait croire que Tarzan se bagarrait avec un léopard avec qu'en réalité, Johnny Weissmuller se battait avec une peluche. Si le film a pris un sérieux coup de vieux, ça a un côté rétro.
Certaines scènes peuvent prêter à sourire mais d'autres sont assez impressionnantes, notamment celle qui voit Tarzan se battre contre un félin. À noter que dans ce film seuls les Noirs se font tuer ce qui montre comment étaient vus les africains à l'epoque.
Ici on a le plaisir de retrouver du vieux cinéma, de l'aventure bien réalisée. Le seul hic c'est le jeu des acteurs assez moyen. L'équipe technique a fait du meilleur travail mais le résultat est tout à fait plaisant et distrayant.
« Tarzan l'homme singe » est un souvenir d'enfance cher à mon cœur. Ce fabuleux film d'aventure est sorti en 1932 et je l'ai découvert, avec mes yeux d'enfant, il y a 40 ans à la télévision. A l'époque, chacune de ses nombreuses diffusions était l'occasion d'une soirée familiale où, exceptionnellement, le petit Didier obtenait l'autorisation de se coucher plus tard. Je n'avais pas revu ce pur chef-d’œuvre depuis cette époque et le redécouvrir a été une vraie joie et un grand et beau moment de cinéma ! Évidemment, le film a vieilli, le contraire serait incompréhensible : Les décors en carton pâte, les images de tribus africaines qui défilent sur un écran derrière les acteurs, les lianes qui pendouillent un peu partout, au niveau technique c'est vraiment du bricolage ! Mais ça ne fait rien, la magie fonctionne encore parfaitement et on y croit comme au premier jour. Et puis il y a Johnny Weissmuller et la belle Maureen O'Sullivan, les premiers interprètes, ceux qui sont à l'origine du mythe... Les meilleurs, tout simplement ! Définitivement culte.
LE TARZAN. Le premier que j'ai vu, le premier cri que j'ai entendu et c'est toujours aussi accrocheur. Je les ai vus il y a 40 ans puis plus tard et encore maintenant. Johnny et Maureen ,ce sont eux les vrais Tarzan et Jane. Pour un cinéphile il faut absolument les deux coffrets de la série complète même avec ses films en V.O.(les moins connus) et en noir et blanc Obligatoire dans une bonne dvd thèque de collectionneur.