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ygor parizel
239 abonnés
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4,5
Publiée le 7 novembre 2012
Un des plus célèbres films de guerre de tout les temps, il a marqué les esprits. Scénario solide avec pas mal d'action et parfois drôle. Un casting parfait et prestigieux pour le genre (Marvin, Bronson, Sutherland, ...). L'attaque dans la scène finale est d'anthologie même si elle manque un peu de panache, film culte qui a influencer beaucoup de cinéaste.
Excellent film de guerre de Robert Aldrich, la carrière de celui-ci a connu de grands pics et aussi de grands creux, ici c'est un de ses chefs-d'oeuvre incontestable ! Une mise en scène impeccable, une histoire des plus originale qui vaudra de nombreuses copies et dérives. Le film prend une ampleur énorme grâce à son casting de rêve : Lee Marvin, Charles Bronson, George Kennedy, Ernest Borgnine, Robert Ryan, Tely Savallas, Clint Walker ... rien que ça ! La première partie du film marquée par l'entraînement de ces 12 salopards et n'est pas ennuyeuse du tout, Aldrich fait le nécessaire de ce côté et s’arrange pour qu’on s’attache finalement à ces 12 gaillards. On se plaira à décrypter à travers ce film un petit message politique, à rire devant quelques scènes humoristiques très habilement placées et des dialogues fracassants ! Les scènes d’action sont efficaces et les rebondissements nombreux dans l’action. Attention, grand classique !
Film culte à l'image de son casting, "les douze salopards" est un film de guerre aussi atypique que ses heros. On peut,certe, reprocher que le côté "entrainement" dure trop longtemps mais l'humour est omniprésent et Lee Marvin est un savoureux instructeur. Le côté "guerre est plus court mais est conduit avec une certaine efficacité et un sens du spectacle plutôt solide.
Un des meilleurs films de guerre jamais réalisé. Aldrich nous apporte son savoir faire en concoctant un scénario bourré d'actions, de spectaculaires affrontements mais aussi d'humour. La psychologie et les caractères de tous les protagonistes sont dépeinds très soigneusement par le réalisateur, bien aidé par ses "salopards" emmenés par un Cassavetes en grande forme et une pléiade de stars toutes excellentes. Une réussite du genre et l'une des meilleures prestations de Lee Marvin à l'écran. Une oeuvre souvent plagiée, jamais égalée.
Un film de guerre très intense dont l'action est bien mise en scène, le scénario, archi solide, et les répliques très intelligentes. Chaque performance est flamboyante et justifie la réputation et les énormes cachets des comédiens. Les allemands sont hélas archi stéréotypés, mais la tendance de l'époque n'était pas à la subtilité lorsqu'il s'agissait de dépeindre "l'ennemie". Un Aldrich, en apparence facile, mais indiscutablement très bon.
Excellent premier tiers, à la fois palpitant et souvent très drole, mais au fil des heures (!) le film se prend trop au sérieux et son coté politiquement correct finit par énerver. Quoi de plus naturel pour l’opinion publique que de voir ces "anti-héros" mourir au combat? Finalement ça n’est que justice pour des grands criminels condamnés à mort. J’aurais préféré une fin moins conventionnelle, que nos 12 salopards rentrent au pays et voient leurs peines réduites. Dans le genre et de la même époque, rien ne vaut "Quand les Aigles attaquent".
Avec son casting remarquable et son intrigue inédite (pour l'époque), Les douze Salopards aurait pu devenir un film culte. Cependant, certaines idées ont trop mal vieilli et le film a choisi un mélange incongru d'humour et de troubles au lieu de s'assumer pleinement dans un de ces deux domaines. Mais bon... malgré quelques éléments dérangeants, Les douze Salopards reste un film détendant et amusant. A voir.
Excellent film de guerre, ce dernier est maintenant estampillé CULTE par le fait que 40 ans après il n'a pas pris une ride et par son côté choral, le film regroupant une pléiade d'acteurs qui ont ensuite fait carrière. Comme dans la tradition, le film comporte plusieurs étapes avec le recrutement, la formation et la mission et chacune à sa façon fonctionne. On retiendra de grands moments comme la dernière mission d'entraînement où tous s'amusent, la mission finale qui tourne au carnage et surtout Lee Marvin en meneur de troupe dont s'inspirera Clint Eastwood dans son Maître de Guerre. Un CLASSIC à voir absolument!
Les Douze salopards présente un paradoxe qui peut laisser perplexe : d'un côté, il tient en haleine tout au long des deux et demie du film, et se parre d'une morale pour le moins ambiguë. Le major John Reisman est chargé de former 12 hommes condamnés pour meurtre ; ils se verront chargés d'une mission suicide en France lors de la seconde guerre mondiale. De leur présentation à leur intervention au château, nous ne décolons pas de l'écran. Cependant, le fait de légitimer l'héroïsme de condamnés à mort et d'entreprendre une sorte d'apologie de la guerre, soulève de nombreux doutes quant aux intentions de Robert Aldrich. Cinématographiquement parlant, tout est parfait, de l'interprétation (Bronson, Marvin...) à la mise en scène, à la progression du récit : seulement, persiste cette troublante morale qui laisse planer de nombreux soupçons dès que le générique de fin fait son apparition.
Excellent film avec un casting exceptionnel ! Même si l'épisode de la guerre est court, on se réjouit de suivre l'évolution de ces 12 têtes brûlées du début à la fin. Monumental !!