Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Le ravissement opère, les sens triomphent. Coment rêver plus belle dissolution ?
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Les machiavéliques machinations de ses personnages, toutes âprement discutées, commentées au fil de l'action par des dialogues ciselés, exhalent toutefois un parfum troublant, comme si ce romanesque étaient sous-tendu par autre chose qu'une nécessité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le grand réalisateur portugais, Manoel de Oliveira, retrouve le goût du romanesque et affirme une fois de plus son génie de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Guy Scarpetta
(...) c'est parce qu'il n'hésite pas à se réapproprier librement des codes littéraires que Manoel de Oliveira ne cesse, à plus de 90 ans, de sans fin réinventer le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Libération
par Philippe Azoury
Comme toutes les bonnes maisons, celle d'Oliveira ne recule devant aucun sacrifice. Ici, celui de son personnage : Camilla, la fille au visage d'hostie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Certes, parfois le factice de certaines situations peut prêter à sourire (...). Certaines situations ou certains dialogues peuvent sembler tout droit sortis d'un autre temps. Mais c'est plutôt du côté de l'intemporel qu'il faudrait aller pour évoquer De Oliveira. Intemporalité qui s'incarne dans des visages comme celui, magnifique, de Leonor Silveira.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A l'inverse du titre de son film, Manoel de Oliveira prouve encore une fois sa subtile maîtrise del'art du cadre et de la direction d'acteurs, conférant à cette étude un rien cérébrale de la passion un souffle de sensualité qui en parachève l'élégance.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
C'est un film qui rend la vertu trouble et la dépravation altière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Michel Eltchaninoff
(...) ce film est surtout un brillant essai sur l'incertitude. L'exposition, volontairement sibylline, inonde le spectateur d'histoires de famille, de mariages arrangés. Le film regorge de discussions paradoxales emplies de théologie. Chaque plan fixe est une énigme: au spectateur de saisir les machinations des personnages.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Aden
par Philippe Piazzo
Oliveira explore les atermoiements du coeur, les tentations de l'adultère et de la fidélité dans un cadre précieusement figé où se succèdent bavardages et considérations philosophiques interminables.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Mais peu à peu on s'éloigne, et on s'en va sur la pointe des pieds.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
A travers de longs plans fixes, une interprétation presque théâtrale (...), ces jeux de l'argent, de la servitude et du pouvoir, où l'amour et le hasard n'ont guère de place, pourront fasciner ceux que l'éblouissante maîtrise formelle du cinéaste a depuis longtemps séduits : il n'en a rien perdu. Les autres, cette fois, risquent de rester... dans l'incertitude, et de frôler l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Olivier De Bruyn
On peut pourtant aimer très fort certains films du monsieur (...) et rester de marbre face à ses fictions verbeuses qui plombent l'oeil et les neurones.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Le ravissement opère, les sens triomphent. Coment rêver plus belle dissolution ?
Chronic'art.com
Les machiavéliques machinations de ses personnages, toutes âprement discutées, commentées au fil de l'action par des dialogues ciselés, exhalent toutefois un parfum troublant, comme si ce romanesque étaient sous-tendu par autre chose qu'une nécessité dramatique.
Le Monde
Le grand réalisateur portugais, Manoel de Oliveira, retrouve le goût du romanesque et affirme une fois de plus son génie de la mise en scène.
Positif
(...) c'est parce qu'il n'hésite pas à se réapproprier librement des codes littéraires que Manoel de Oliveira ne cesse, à plus de 90 ans, de sans fin réinventer le cinéma.
Libération
Comme toutes les bonnes maisons, celle d'Oliveira ne recule devant aucun sacrifice. Ici, celui de son personnage : Camilla, la fille au visage d'hostie.
MCinéma.com
Certes, parfois le factice de certaines situations peut prêter à sourire (...). Certaines situations ou certains dialogues peuvent sembler tout droit sortis d'un autre temps. Mais c'est plutôt du côté de l'intemporel qu'il faudrait aller pour évoquer De Oliveira. Intemporalité qui s'incarne dans des visages comme celui, magnifique, de Leonor Silveira.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
A l'inverse du titre de son film, Manoel de Oliveira prouve encore une fois sa subtile maîtrise del'art du cadre et de la direction d'acteurs, conférant à cette étude un rien cérébrale de la passion un souffle de sensualité qui en parachève l'élégance.
Télérama
C'est un film qui rend la vertu trouble et la dépravation altière.
Zurban
(...) ce film est surtout un brillant essai sur l'incertitude. L'exposition, volontairement sibylline, inonde le spectateur d'histoires de famille, de mariages arrangés. Le film regorge de discussions paradoxales emplies de théologie. Chaque plan fixe est une énigme: au spectateur de saisir les machinations des personnages.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Aden
Oliveira explore les atermoiements du coeur, les tentations de l'adultère et de la fidélité dans un cadre précieusement figé où se succèdent bavardages et considérations philosophiques interminables.
Le Parisien
Mais peu à peu on s'éloigne, et on s'en va sur la pointe des pieds.
Les Echos
A travers de longs plans fixes, une interprétation presque théâtrale (...), ces jeux de l'argent, de la servitude et du pouvoir, où l'amour et le hasard n'ont guère de place, pourront fasciner ceux que l'éblouissante maîtrise formelle du cinéaste a depuis longtemps séduits : il n'en a rien perdu. Les autres, cette fois, risquent de rester... dans l'incertitude, et de frôler l'ennui.
Première
On peut pourtant aimer très fort certains films du monsieur (...) et rester de marbre face à ses fictions verbeuses qui plombent l'oeil et les neurones.