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Jerem69tt
Quelle ouvre! Bien que laisser de coté pour être bien moins connu, les enfants de la pluie est d'un très bon niveau et il n'est pas loin d'égaler les meilleurs Disney ou Pixar, et je pèse mes mots. Ce film d'animation n'a en aucun cas le droit d’être laisser de coté par les cinéphiles et même le public en général.
Malgré une fin légèrement décevante, "Les Enfants de la pluie" est un joli film d'animation franco-coréen, où petits et grands trouveront leur compte dans une histoire prenante qui exalte la fraternité entre les peuples.
NeoLain
Aventure et Fantasy en veux-tu en voilà, ce long-métrage d'animation est pour vous. Deux clans, un de pluie et l'autre de feu et des bébêtes Star Warsienne. Concernant l'histoire vous pouvez compter sur aucun affaiblissement. Bon point également sur la BO, avec quelques morceaux avec des airs d'Era.
Luc H.
Je ne sais pas combien de fois je l'ai, ce film, mais pas beaucoup. Mais en tout cas pas beaucoup de fois. Mais ce dont je me souviens, c'est que j'ai été ravis ... et que je me souvient de l'histoire. Une confrontation entre des hommes de différentes origines et une dictature sans égale. Mais c'est un film qui va plaire toute la famille. Magnifique chef-d'oeuvre d'animation.
J'ai été assez déçue par ce film. Déjà, je m'attendais a voir un film d'une grande beauté visuelle, et finalement, j'ai trouvé les dessins pas très beaux. Le scénario est intelligent. Le début est même bien. Mais j'ai été terriblement déçue par la fin. La bataille finale m'a parue très mauvaise. Disons qu'elle est ennuyeuse. Et le tout reste trop court. Ce film aurait mérité d'avoir quinze minutes de plus. C'est dommage parce qu'il est très original. Ca aurait pû être un très bon film. Certains moment son violents, mais, ça va, je ne pense pas qu'ils soient vraiment effrayants pour les enfants. C'est moyen.
weihnachtsmann
Un beau DA, étonnamment très différent de son début, guerrier et sauvage. Le message est implacable: la soumission du plus faible par le plus fort. Mais c’est aussi un message d’amour et le triomphe de la poésie sur la barbarie. La lutte pacifique contre l’incompréhension et l’aveuglement.
AMCHI
Les Enfants de la pluie n'est pas parfait mais on est vite charmé par ce film d'animation ou la patte de Caza (créateur de la magnifique BD Les Mondes d'Arkadi) est bien présente et offre un somptueux univers. Une histoire certes simple mais belle et bien montée avec beaucoup d'inventivité et d'imagination malgré tout. C'est beau et cela fait rêver.
Teuteu8391
Un sujet intéressant malgré un scénario trop prévisible.Ca en reste pas moins un bon film d'animation qui nous changent de tous ceux qu'on voit en ce moment. Un agréable moment passer sur ce film d'animation franco-coréen. 3/5
Santu2b
Dix-huit ans pour voir le jour ! Quand on voit le résultat, c’est à peine croyable mais c’est pourtant ainsi ! "Les enfants de la Pluie" fit en effet sa sortie en salles en 2002 sous l’égide d’une production franco-coréenne menée par Philippe Leclerc. Adapté d’un livre de l’auteur Serge Brussolo, l’œuvre se résume à une histoire d’amour avec en toile de fond la guerre que se livrent deux peuples ; les Pyross (adorateurs du soleil) et les Hydross (adorateurs de la pluie). Une alléchante et assez originale idée de départ qui en plus de rendre hommage à un écrivain trop souvent occulté des sphères cinématographiques aurait pu également laisser présager l’avènement d’une véritable heroic-fantasy à la française, notamment animée. Des espoirs hélas tout de suite entachés par les défauts du dessin, visibles dès le début du film. Moche, sans éclat, à la fois agressif et suffocant, il ne permet pas au spectateur de rentrer de plain-pied au sein de cette histoire. Tout le reste n’est que manichéisme consternant. De l’escapade jusqu’au duel final en passant par l’histoire d’amour, on a quand même l’impression d’avoir déjà vu ça un bon millier de fois. Un schéma hautement classique adopté par son auteur qui, nous l’aurons compris, ne lui sert vraiment pas d’avantage. L’exemple parfait du dessin animé où forme et fond sont au plus bas. Passable.
Via une animation de qualité, Les Enfants de la Pluie raconte une opposition entre deux peuples, une manipulation des puissants pour contrôler les faibles a des fins personnelles, tandis qu'une rébellion se met en place contre l'adversité.
https://m.facebook.com/AubinBouilleJoinville/
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Les enfants de la pluie est un bon film d’animation de René Philippe Leclerc. Un scénario travaillé, de belles images, sur le plan technique c’est un sans faute, mais les personnages sont parfois peu attachants et le film n’est pas toujours très divertissant. Je mettrais donc un 10 / 20.
Une jolie histoire, de jolies musiques, de jolis personnages, de jolis décors ... Les Enfants de la Pluie va permettre a beaucoup de connaitre enfin le travail de Philippe Caza. Le dessin animé est à proscrire pour des enfants en dessous de 10 ans, certaines scenes etant assez choquantes (femmes dénudées, decapitation, paroles vulgaires des "Pyross"). A noter la beauté incroyable des 2 peuples, avec leurs mythes, leurs costumes, leurs modes de vie ... un vrai régal (bien qu'un peu long sur la premiere partie, avant l'arrivee des Hydross)
Les enfants de la pluie de Philippe Leclerc, film franco-coréen. Un dessin animé qui gène par le paradoxe entre des décors somptueux et des personnages aux graphismes loupés et aux animations au rabais. On se croit revenu vingt ans en arrière à l'époque des Mondes Engloutis à la télé... Mais l'histoire est magnifique, une sorte de Roméo et Juliette mythlogique, qui vous transporte de bonheur. Un bon moment donc, même si on ressent une pointe de déception en sortant de la salle.
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4sur5 Scandaleusement passé inaperçu, Les enfants de la pluie est une énième démonstration de la richesse de l'animation française. Production franco-coréenne, le film est un mariage abouti de deux pôles majeurs du genre quel seul Pixar peut envisager égaler (ou rattraper). Dans sa narration langoureuse, ses accès contemplatifs et son pendant ''initiatique'' se retrouve la touche qui fait des studios asiatiques une référence. Son réalisateur, le français Philippe Leclerc, y injecte une marque déjà identifiable que La Reine Soleil, projet moins complet, viendra pourtant confirmer. Cette french touch s'inscrit dans la plus noble tradition. Dense et ambitieux, Les enfants de la pluie ne trahit pas ses classiques, s'amarrant à des bases solides avant de mieux s'engager dans un élan moderniste. Membre charnière mais participant dans l'ombre de la mise au point du Roi et l'Oiseau en tant qu'animateur, accessoirement assistant de René Laloux [La Planète Sauvage] qui avait justement souhaité porter à l'écran le projet initial du film en question [adaptation, au départ, du roman A l'image du dragon (1982)], Leclerc, par son CV, écarte tout doute à son sujet même chez les puristes les plus pointilleux. Sa première réalisation s'installe modestement dans la lignée des chefs-d'oeuvres ultimes mentionnés. A l'instar de ces derniers mais dans un style propre, Les enfants de la pluie emploie avec talent et ferveur toute une vision du domaine de l'animé, tendant à accorder à son récit d'un maturité exemplaire une couche maîtrisée de fausse naïveté [abondance de symboles forts : les deux mondes se distinguent par des couleurs ocres, orangées pour l'un, des tons bleu pour l'autre]. Dans un espace ou adultes comme enfants se sentiront maintenus dans un état d'éveil constant s'immiscent astucieusement des thèmes édifiants projetés dans un gant de velours ; passage à l'âge adolescent, choc des cultures (les enfants du titre s'abordent malgré leurs différences pour se trouver des points communs), ''guerre sainte'', pouvoir autoritaire, conditionnement, obscurantisme, fanatisme. A cela s'ajoute une réussite formelle, éblouissante, indéniable. Créative sans se complaire dans la profusion écrasante de gadgets trop abondants qui confineraient au vain exercice de style [façon Disney du 21e siècle], l'animation est ici le prétexte à développer toutes les richesses d'un univers exotique dans la forme et parabolique dans le fond. Les créatures, les costumes, l'architecture des mondes explorés émerveillent [seule la musique fait quelque peu défaut par son manque de singularité]. En parfaite cohérence avec son mouvement assez esthétisant, le film s'attarde moins sur les habitudes que sur les hauts faits bousculant l'ordre des Mondes à l'oeuvre, la peinture de personnages charismatiques, souvent profonds [un méchant dont les traits rappellent Klaus Nomi, ou la mère-pionnière du jeune héros, unique voix à s'élever contre la tyrannie]. Globalement, le film emprunte des détours convenus mais se les approprie avec ingéniosité. Il exalte notre curiosité avec son goût des cultures fastes et son imagination graphique débordante. On le quitte certain que ces Enfants de la pluie pourraient constituer de parfaits premiers émois cinéphiles à la jeunesse à laquelle ils se proposent.
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