Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Sous la peau de la ville est une oeuvre culte qui en Iran a fait l'effet d'une bombe (...). Tout sauf une surprise, puisque sa réalisatrice Rakhshan Bani-Etemad est une star locale (...). Le film livre donc un aperçu de son talent dans cette chronique familiale (...). Sous la peau... est imprégnée d'une folle authenticité, ingérée, quasi involontaire (...). Un atout maître pour le film qui puise là une force insoupçonnée. (...) si Rakhshan Bani-Etemad ne mâche pas ses mots, son cinéma témoigne surtout d'une implacable résignation.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une belle vue en coupe de la modernité iranienne et de ses contradictions tragiques. (...) avec cette fiction dynamique et équilibrée, Rakhshan Bani-Etemad élude brillament "le pittoresque, les clichés souvent véhiculés par certains cinéastes iraniens". La cinéaste tient les promesses de son titre en offrant une vision ample et diverse de la vie urbaine en Iran. Un film à chaud.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Une traque des réalités sociales qui persistent malgré les interdits. Le cinéma iranien a beau hanter les festivals du monde entier depuis quinze ans, on a l'impression ici d'entrer en ville pour la première fois. (...) C'est l'horizon du film : choral, il laisse passer des morceaux du quotidien (...). Sous la peau de la ville, qui a déjà cinq ans, donne des informations plus cadrées mais néanmoins fortes et inédites (...).
Télérama
par Cécile Mury
Issue du documentaire, la cinéaste iranienne puise dans la réalité le délicat matériau de son film, une plongée dans le quotidien d'une famille modeste de Téhéran. La ville est au centre du récit, une cité moderne, fébrile, étonnante, révélée par des plans amples et nerveux. (...) un petit monde sensible et attachant palpite, plaisante et souffre, loin de toute pesanteur démonstrative, de tout exotisme. La réalisatrice, qui a frôlé la censure, ose s'attaquer à tous les carcans (...) elle sait donner chair à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Le passé nourri de documentariste de l'auteur se sent tout au cours de ce film qui, s'il présente une histoire de fiction, sonne juste. Les comédiens sont tous remarquables et confèrent une aura particulière à cette oeuvre. (...) On peut juste reprocher à la fin d'adopter un peu trop les méandres d'un scénario un peu convenu, mais globalement ce film (...) est un parfait exemple de ce que le cinéma peut offrir en matière de découverte, intelligente et sensible.
Première
par Gaël Golhen
Avec un tel sujet, on pourrait s'attendre à un mélo social anémique, photo cracra et naturalisme ingrat à l'appui. Mais Bani-Etemad connaît bien le pouvoir de la fiction et elle nous entraîne rapidement dans les combines du héros, entre petits trafics et gros deals. On quitte alors la cité étouffante pour les monts enneigés, le réalisme crapoteux pour le thriller introspectif. Et le film n'en est que plus convaincant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par V. McKey
Sous la peau de la ville a beau être d'un minimalisme absolu, il réussit à établir, grâce à des images aussi fortes que symboliques, l'état des lieux d'une nation incapable de basculer dans la démocratie. Fort et courageux, Sous la peau de la ville ose un regard frontal sur l'Iran d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Rakhshan Bani-Etemad témoigne des inégalités sociales de son pays avec une acuité lucide mais déniée de tout misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Olivier Pélisson
Raskhshan Bani-Etemad dresse un portrait frontal de la réalité iranienne. Malgré les embûches et les coups durs du destin, une plongée pleine de vie et d'espoir dans le quotidien de Téhéran, par une cinéaste à suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Naviguant entre chronique sociale et véritable polar, ce mélodrame urbain relève, d'un côté, d'une audace certaine eu égard au contexte dans lequel il a été réalisé, mais, d'un autre côté, manque de ce mystère et de ce lyrisme qui sont indispensables à l'envolée du genre (...). On en ressort mitigé, sans s'interdire de recommander le film à titre de document intéressant dans la production iranienne contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thiery Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
Sous la peau de la ville est une oeuvre culte qui en Iran a fait l'effet d'une bombe (...). Tout sauf une surprise, puisque sa réalisatrice Rakhshan Bani-Etemad est une star locale (...). Le film livre donc un aperçu de son talent dans cette chronique familiale (...). Sous la peau... est imprégnée d'une folle authenticité, ingérée, quasi involontaire (...). Un atout maître pour le film qui puise là une force insoupçonnée. (...) si Rakhshan Bani-Etemad ne mâche pas ses mots, son cinéma témoigne surtout d'une implacable résignation.
Les Inrockuptibles
Une belle vue en coupe de la modernité iranienne et de ses contradictions tragiques. (...) avec cette fiction dynamique et équilibrée, Rakhshan Bani-Etemad élude brillament "le pittoresque, les clichés souvent véhiculés par certains cinéastes iraniens". La cinéaste tient les promesses de son titre en offrant une vision ample et diverse de la vie urbaine en Iran. Un film à chaud.
Libération
Une traque des réalités sociales qui persistent malgré les interdits. Le cinéma iranien a beau hanter les festivals du monde entier depuis quinze ans, on a l'impression ici d'entrer en ville pour la première fois. (...) C'est l'horizon du film : choral, il laisse passer des morceaux du quotidien (...). Sous la peau de la ville, qui a déjà cinq ans, donne des informations plus cadrées mais néanmoins fortes et inédites (...).
Télérama
Issue du documentaire, la cinéaste iranienne puise dans la réalité le délicat matériau de son film, une plongée dans le quotidien d'une famille modeste de Téhéran. La ville est au centre du récit, une cité moderne, fébrile, étonnante, révélée par des plans amples et nerveux. (...) un petit monde sensible et attachant palpite, plaisante et souffre, loin de toute pesanteur démonstrative, de tout exotisme. La réalisatrice, qui a frôlé la censure, ose s'attaquer à tous les carcans (...) elle sait donner chair à ses personnages.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Le passé nourri de documentariste de l'auteur se sent tout au cours de ce film qui, s'il présente une histoire de fiction, sonne juste. Les comédiens sont tous remarquables et confèrent une aura particulière à cette oeuvre. (...) On peut juste reprocher à la fin d'adopter un peu trop les méandres d'un scénario un peu convenu, mais globalement ce film (...) est un parfait exemple de ce que le cinéma peut offrir en matière de découverte, intelligente et sensible.
Première
Avec un tel sujet, on pourrait s'attendre à un mélo social anémique, photo cracra et naturalisme ingrat à l'appui. Mais Bani-Etemad connaît bien le pouvoir de la fiction et elle nous entraîne rapidement dans les combines du héros, entre petits trafics et gros deals. On quitte alors la cité étouffante pour les monts enneigés, le réalisme crapoteux pour le thriller introspectif. Et le film n'en est que plus convaincant (...).
Score
Sous la peau de la ville a beau être d'un minimalisme absolu, il réussit à établir, grâce à des images aussi fortes que symboliques, l'état des lieux d'une nation incapable de basculer dans la démocratie. Fort et courageux, Sous la peau de la ville ose un regard frontal sur l'Iran d'aujourd'hui.
TéléCinéObs
Rakhshan Bani-Etemad témoigne des inégalités sociales de son pays avec une acuité lucide mais déniée de tout misérabilisme.
Zurban
Raskhshan Bani-Etemad dresse un portrait frontal de la réalité iranienne. Malgré les embûches et les coups durs du destin, une plongée pleine de vie et d'espoir dans le quotidien de Téhéran, par une cinéaste à suivre de près.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Naviguant entre chronique sociale et véritable polar, ce mélodrame urbain relève, d'un côté, d'une audace certaine eu égard au contexte dans lequel il a été réalisé, mais, d'un autre côté, manque de ce mystère et de ce lyrisme qui sont indispensables à l'envolée du genre (...). On en ressort mitigé, sans s'interdire de recommander le film à titre de document intéressant dans la production iranienne contemporaine.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com