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    Un Couple épatant
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    3,0
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    33 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    545 abonnés 4 941 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 avril 2024
    La partie comédie du triptyque de Lucas Belvaux (et nettement la moins sympa), un vaudeville assez poussif qui détonne avec la noirceur des deux autres.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    33 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 novembre 2023
    C'est un des volets de la trilogie de Lucas Belvaux qui constitue, entre un polar ("Cavale") et un drame ("Après la vie"), l'épisode fantaisiste. Le film a l'apparence du vaudeville dans le milieu de la petite bourgeoisie provinciale. Alain et Cécile se soupçonnent réciproquement, et à tort, d'adultère.
    Cependant, c'est du vaudeville bridé et pas drôle que met en scène Belvaux. En premier lieu, sa réalisation est terne, sans élégance ni rythme, et si c'est à dessein que l'auteur se détourne de la farce, refusant les effets courants et les pitreries d'un genre, il n'en demeure pas moins que son histoire manque de relief et d'une dynamique. A quoi s'ajoute le faible intérêt que recouvre le couple inattendu formé par Ornella Muti et François Morel, couple qu'on peut juger par ailleurs peu complémentaire et, du point de vue de l'interprétation, assez pauvre, à l'image de la personnalité comique de François Morel (dont je continue de penser que son personnage des Deschiens reste sa meilleure création à ce jour). Même affublé de quelconques tendances à l'hypocondrie et à la paranoia, Alain est un personnage falot, tandis qu'Ornella Muti joue les épouses inquiètes dans un rôle sans matière.
    Une comédie ni épatante ni savoureuse.
    selenie
    selenie

    6 181 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2023
    Le film débute avec la désagréable sensation que l'acteur principal n'est pas bon, ou plutôt que François Morel ne semble pas à l'aise ou impliqué. Cette sensation s'ajoute à un style très théâtral, ou plutôt très figé qu'on peut sans doute mettre sur le dos de la direction d'acteur et/ou d'un manque total d'improvisation qui se ressent. Ainsi dès le départ il y a un déficit de naturel et de fluidité qui empêche d'y croire pleinement, qui freine toute immersion dans cette comédie dramatique qui joue la carte du vaudeville trop sérieux. Le scénario semble pourtant bien ficelé, accumulant les quiproquos, les malentendus, les maladresses à un tel point que les ficelles ont bien du mal à rester plausibles. Niveau crédibilité, le pire concerne le flic. Pourtant merveilleusement et justement incarné par un Gilbert Melki tout en ambiguité, le flic agit et réagit de façon complètement conne voir dangereuse ou contre-productive ; le gyrophare constamment allumé (?!), il sort son flingue pour un oui ou pour un non (far-west belge ?!) et pire est parfois une sacré caricature du flic à la Dirty Harry. Dommage...
    Site : Selenie.fr
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    119 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2021
    (Critique de la trilogie)

    Un diagramme de Venn, ce sont des cercles qui s'intersectionnent. Quand on en utilise trois, il existe un espace où chaque cercle rencontre les deux autres, et un espace où les trois se rencontrent. C'est exactement comme cela qu'est conçue la série de Belvaux, une trilogie sans ordre ou presque où chaque œuvre existe individuellement mais devient quelque chose en plus en union avec les autres.

    Un drame (*Après la vie*), un thriller (*Cavale*) et une comédie (*Un couple épatant*, un peu en retrait par rapport aux autres) s'allient non seulement pour étudier la part d'inconnu et d'incompréhension qui joue dans nos interactions avec les autres, mais aussi montrer celle qu'on considère souvent comme acquise dans un scénario, parfois sans s'en rendre compte - parce que c'est "comme ça". Pourquoi tel personnage se trouve à tel endroit à tel moment, pourquoi il est de bonne humeur ou a mauvaise mine, voilà le genre de détails que Belvaux ne laisse plus au hasard. On saura pourquoi. Chez lui, ce n'est pas simplement "comme ça".

    Grenoble sociale, Grenoble grisâtre, Grenoble inquiétante avec ses murs de montagnes, la ville s'entrouvre au passage de cette écriture soignée qui nous fait découvrir, dans la sordidité du crime aussi bien que dans le désespoir d'un foyer ou les idées les plus tordues conférées par les grands sentiments, que les facettes et les humeurs humaines sont bien plus proches les unes des autres qu'on peut le croire. Le bonheur peut surgir sans crier gare et le malheur s'immiscer partout : tous deux sont là, au coin de la rue, à cinq minutes près, derrière la réaction étrange d'une amie ou ce que nous sussurre notre sixième sens.

    Merveille sociopsychologique et cauchemar à distribuer, la trilogie est un ensemble lourd et froid qu'il vaut mieux voir sans savoir à quoi s'attendre, mais un travail de tissage narratif énorme.

    → https://septiemeartetdemi.com
    Incertitudes
    Incertitudes

    201 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2020
    Ça a été tourné vers chez moi à Grenoble et ça confirme ce que je pense. La ville n'est pas super belle mais tout autour, dès qu'on sort un peu, il y a de très jolis coins à la campagne ! Enfin, ce n'est pas tellement le propos de Un Couple épatant. Premier des trois films tournés par Lucas Belvaux avec Cavale et Après la vie. Pour Un Couple épatant, il s'intéresse au cas de Cécile et Alain qu'il traite sur le mode de la comédie. Alain est entrepreneur mais hypocondriaque et persuadé que sa femme le trompe. Son meilleur ami est un coureur de jupons. Sa femme a des soupçons elle aussi. Sa fille a des problèmes de cœur. A force, on ne sait plus trop qui est réellement amoureux de qui. La secrétaire, tiens, aurait-elle une attirance pour son patron ? C'est peut-être l'usure du couple la cause de tous leurs atermoiements. Chacun enquête dans son coin, dans le dos de l'autre. En filigrane, se dessinent déjà le parcours d'autres personnages cabossés par la vie : un flic pointilleux, sa copine droguée, un voyou en cavale. Ça promet pour la suite car j'imagine qu'ils vont tous être amenés à s'entrecroiser. Et ce sera sûrement moins léger.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    61 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2018
    Cette comédie douce-amère, affrontement entre deux personnages décalés et disparates, est cohérente avec le projet réussi de Belvaux. Elle n'atteint pas cependant l'intensité des deux autres volets. Les regards de Morel vers la caméra sont des petits clins d'oeil de complicité avec le spectateur inhabituels.
    La musique a été travaillée différemment pour coller au "genre" du film mais il faut être bien attentif pour s'en apercevoir.
    Bref, un moment agréable pour attendre la suite, qui est déjà en train d'arriver.
    DVD2 - fevrier 2018
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    101 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2017
    Premier volet de la trilogie de Lucas Belvaux, Un couple épatant raconte sur un ton de comédie aux accents quelque peu schizophrènes la naissance du soupçon dans un ménage bourgeois jusqu'ici heureux. Joliment interprété en premier lieu par Ornella Muti et François Morel, le film tourné à Grenoble monte en cadence et finit par nous imposer un rythme assez impressionnant de rebondissements successifs, intelligemment basés sur...des faits fictifs inventés par les personnages eux-mêmes. Épisode clairement le plus à part de la trilogie, tant au niveau du ton que des protagonistes, il constitue une vraie réussite.
    Eselce
    Eselce

    1 378 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2016
    Le premier volet d'une trilogie qui commence mal. Les personnages principaux sont parano et hypocondriaque avec excès sans que cela soit drôle. L'aspect romantique est presque totalement mis de côté et la suite de la trilogie n'apportera pas plus au récit, les personnages secondaires étant peu charismatique ni suffisamment intéressants. C'est chiant à regarder.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    Un couple qui se fait une montagne pour rien, c'est forcément universel. Du manque de confiance en l'autre, jaillit un hypothétique adultère. Un couple qui se dit tout se dire, est en fait coincé par la parole. On ne reconnaît plus son alter-ego, et pourtant il n'a pas tellement changé. Le film est très drôle, le scénario cavale derrière la fresque de l'amour. Mise en scène théâtrale. Il est urgent que je continue cette trilogie.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 133 abonnés 5 094 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 janvier 2015
    Quel excellent résultat et une prouesse géniale. Les films peuvent se voir dans n'importe quel sens et se complètent tellement bien..... Dans le trio c'est la comédie ici et les acteurs sont excellents. Morel en tête. Belvaux commençait très très bien sa carrière. C'est léger et en même temps on sent une tension sourdre.
    Louis Morel
    Louis Morel

    45 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Pour son début de trilogie, Lucas Belveaux frappe un grand coup avec une pure comédie, bourrée d'idées et de réussites.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 169 abonnés 4 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2012
    « Rashomon » 1950, « Shorts Cuts » 1993, « Memento » 2000, « Amours Chiennes » 2000, « Cavale/Un couple épatant/Après la vie » 2002, cinq travaux majeurs qui réinventent une nouvelle manière d’aborder le récit cinématographique. L’entreprise de Lucas Belvaux imbriquant trois films tournés simultanément selon le système des poupées russes est sans conteste la plus ambitieuse du lot. La démarche de Belvaux n'était pas appelée à faire école car sans doute trop titanesque pour devenir monnaie courante dans le système de production actuel essentiellement basé sur la rentabilité assurée. C’est plutôt la recette maligne et spectaculaire proposée par Alejandro Gonzalès Inarritu et son complice scénariste Guillermo Arriaga qui a fait des émules, générant souvent de pâles copies tant le procédé immédiatement séduisant de l'histoire dans l'histoire peut vite se transformer en piège fatal si l’alchimie n’est pas parfaitement maîtrisée. Il aura fallu le talent du grand Sidney Lumet pour à plus de 80 ans réussir le tour de force de montrer aux deux jeunes mexicains qu'on ne la lui faisait pas. « 7h58 ce samedi-là » sera la dernière copie rendue par Lumet qui conclut de la plus admirable des manières son éclectique carrière. Lucas Belvaux s'il s’inscrit dans cette recherche d’un bouleversement de la narration filmique, propose une sortie hors des frontières du simple métrage. Trois films , trois personnages féminins, trois personnages masculins , trois histoires, trois genres mais un seul lieu d’action et un espace temps ramassé sur une seule journée. Il y a eu le dogme 95 de Lars Von Trier et de ses comparses danois puis européens , Lucas Belvaux s'est crée le sien pour lui tout seul. Tel Hercule et ses douze travaux, le wallon qui ne manque pas d’appétit se coltine en entrée le scénario, en plat de résistance la mise en scène et en dessert comme il a encore une petite faim il se prend le rôle principal du polar inclus dans sa trilogie. Le garçon a certes une solide expérience d’acteur mais en terme de mise en scène ce n’est pas encore loin s'en faut un stakhanoviste de la mise en scène comme l’étaient les Ford ou Curtiz de l’âge d’or Hollywood. Il a pour tout bagage quand il se lance dans le projet, une jolie comédie romantique réalisée six ans plus tôt (« Pour rire ! » 1996). Il faut que le garçon soit légèrement inconscient soit qu’il ait une idée très précise de ce qu’il veut faire pour proposer aux producteurs frileux une telle audace. Un peu des deux sans doute, personnellement je pencherais plutôt pour la deuxième hypothèse. L’exercice était donc périlleux mais s’il le réussissait plus rien ne pourrait plus lui faire peur. Depuis après une petite pause de trois ans bien légitime pour se remettre de ses efforts , il enchaîne les perles devenant un maître du film noir à dimension sociale. Pas bête il a pu se rendre compte à l’épreuve de sa trilogie que c’était l’exercice qui lui convenait à priori le mieux, l’épisode comique « Un couple épatant » étant un poil en dessous des deux autres. De quoi est donc fait cet OVNI cinématographique, fort bien accueilli à l’époque par la critique (Prix Louis-Delluc 2003) mais au succès public un peu décevant si on le mesure à la hauteur du tour de force réussi par Belvaux ? Parler de poupées russes comme évoqué plus haut à propos de cette trilogie n’est pas exact car si chaque film peut être relié aux autres, chacun a son identité propre qui l’autonomise complètement. Ainsi les trois films peuvent être vus dans n’importe quel ordre. Mais une chose est sûre, chacun des spectateurs ne sera plus "vierge" à compter du deuxième film. C'est à partir de cette certitude que Lucas le roué, déploie son savant stratagème qui produit lentement son effet délicieux, complétant les manques de l'épisode précédent ou contredisant certaines vérités acquises sur les personnages. Le tour de magie invérifiable étant bien sûr que l’effet recherché fonctionne dans tous les sens. Belvaux devenu Mandrake, nous a bien berné, on sait qu'il y a un tour mais on est bien incapable d'en trouver les ressorts. Chacun des films possède une colonne vertébrale suffisamment solide pour se tenir debout tout seul et permettre au spectateur de rester en éveil sur la durée totale de l’expérience qui dure quand même près de six heures. Rétrospectivement à la vue de « Cavale » on se dit que c’est bien dans le genre noir que l’acteur/réalisateur possède la plus grande dextérité. La minéralité de Bruno Le Roux terroriste d’extrême gauche (allusion à Jean-Marc Rouillan du groupe action directe ?) évadé de prison, fait immanquablement penser au « Samouraï » de Jean-Pierre Melville auquel Lucas Belvaux rend un hommage appuyé en laissant son film muet pendant près de vingt minutes. Le jeu ascétique de Belvaux est en droite ligne de celui du Delon des grandes collaborations avec Melville, Losey ou Deray. Quand Leroux relâche un peu son extrême tension pour venir en aide à Agnès institutrice toxico on se dit que cette part d’humanité retrouvée sera son chant du cygne et que comme le Delon du « Samouraï » il mourra selon un rite sacrificiel qu’il mettra lui-même en scène. Mais devant rester fidèle à son exercice imposé, Belvaux se doit d'apporter de l'eau au moulin des deux opus frères. C'est là que l'auteur développe les personnages secondaires appelés à tenir les premiers rôles leur tour venu. S'il nous manque quelques explications aux agissements de Leroux, l'atmosphère distillée nous ramène sans problème aux grandes heures du polar à la française des années 70/80. La musique de Riccardo Del Fra compositeur italien exclusif du réalisateur contribue grandement à l'envoûtement qui nous saisit dès le long prologue sans parole. "Un couple épatant", comédie fort honnête au demeurant ne tient pas toutes ses promesses sans doute parce que le couple formé par François Morel et Ornella Muti ne fonctionne pas parfaitement. Il manquait sans doute quelques années à François Morel pour emmener jusqu'au bout de sa folie ce personnage hypocondriaque qui paraît forcément un peu fade quand on a été nourri aux crises existentielles d'un Woody Allen. Fabrice Luchini aurait sans doute été plus raccord avec l'ambiance écheveleé réclamée par le scénario. Il ne faut toutefois pas faire la fine bouche et reconnaître que certaines scènes sont franchement drôles, notamment celles où apparait un Bernard Mazzinghi parfait en médecin libidineux prêt à raccompagner chez elles toutes les femmes qui passent à sa portée. "Après la vie", le drame, met en lumière le couple formé par Gilbert Melki et Dominique Blanc. Ces deux acteurs au regard pénétrant parfaitement en osmose sont à leur meilleur et Lucas Belvaux montre qu'en plus de savoir se diriger lui-même il est capable de laisser sortir le plus inattendu de ses comédiens. Dominique Blanc dont les yeux nous emmènent au tréfond de la détresse humaine se montre capable d'une férocité que l'on ne lui connaissait pas jusqu'alors. Lucas Belvaux a su réveiller chez cette magnifique actrice la Bette Davis qui sommeillait en elle. Gilbert Melki acteur rare et impénétrable montre dans cette partie dramatique une facette qui nous était cachée dans "Cavale". Au-delà de l'exercice vertinigineux auquel se livre Belvaux, il nous démontre de la plus belle et la plus efficace des manières qu'il faut toujours se méfier de la lecture univoque d'un personnage et que les vérités d'un être sont multiples suivant l'angle sous lequel on le regarde. Il nous montre aussi qu'au même moment les mêmes personnes peuvent vivre plusieurs histoires simultanées aux tonalités complètement opposées. Ainsi est faite la vie et au diable ceux qui se nourrissent de certitudes ! C'est peut-être le message que veut nous faire passer Belvaux et c'est peut-être aussi pour cette raison qu'il a réservé cette fin si sordide à son propre personnage pétri jusqu'à l'absurde de sa vision de la bonne marche du monde. Après un tel effort en début de carrière, pas étonnant que notre compatriote belge (les belges ne sont-ils pas un peu nos frères !) soit devenu un réalisateur si aiguisé qui s'il sans donne la peine sera notre Robert Sodmiak ou notre Otto Preminger national. Je suis sûr qu'il en serait fier.
    Nico2
    Nico2

    83 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2012
    Lucas Belvaux s'était lancé un défi : créer une trilogie où trois histoires s'entrecroisent et où chaque film serait d'un genre différent. Ainsi est né Un couple épatant/Cavale/Après la vie. Le premier volet est un vaudeville assez sympathique, un peu long à démarrer, mais qui réserve son lot de surprises et sait se faire parfois franchement comiques, notamment grâce à un couple François Morel/Ornella Muti en parfaite alchimie. Les quiproquos s'enchaînent jusqu'à repousser les limites de l'invraisemblable pour notre plus grand plaisir. Un grand moment de fraîcheur et de bonne humeur qui vous remplit d'optimisme.
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 janvier 2012
    C'est dommage de commencer une trilogie par un navet, ça fait mauvais genre. Morel & Mutti sont très mauvais, le rythme est lent, melki à coté, la musique digne d'un ascenseur. Seul est à retirer cette idée d'histoire refilmée pour 3 films, tous dans un genre différent, même si le 1er aurait du être une comédie, espéront que les autres seront meilleurs...
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    45 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 juin 2011
    Pas aimé du tout ce 1er opus de la trilogie de Belvaux ,les comédiens pour la plus part chevronnés ne m'ont pas semblés tres concernés par le sujet ,la palme revenant certainement au gentil Morel plus a l'aise dans des rôles de comiques alors qu'ici en hyperchondriaque ,son jeu n'est jamais credible.Ornella Muti est toujours aussi sublime mais ça ne suffit pas ,en fait c'est surtout l'histoire elle même qui est chiante a mourir ,je n'ai jamais réussi a rentrer dedans : pas le moindre intérêt a suivre les pérégrinations de ce couple dont la vie est tout sauf épatante ,des dialogues sans reliefs et peut être le pire pour une soit disant comédie : aucune séquence un tant soit peu drôle a l'horizon..Je vais tenter de regarder la "suite" même si apparament (et heureusement) ce n'en pas vraiment une et puis on verra bien.
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