Road House est un bon film d’action de Rowdy Herrington. La mise en scène du réalisateur est correcte, le scenario est travaillé et recherché, les personnages sont bien développés, le film est bien rythmé, divertissant et on passé un très bon moment. De plus, les acteurs comme Patrick Swayze, Ben Gazzara, Kelly Lynch ou encore Sam Elliott sont convaincants dans leurs rôles.
Culte pour certains mais perso j'avais trouvé que ce film un nanar sans intérêt puis je viens de le revoir et ma foi ça se laisse voir. L'histoire c'est un peu n'importe quoi mais dans l'ensemble ça marche, on aurait souhaité voir plus de castagne à l'écran car il faut attendre le dernier tiers pour ça devienne vraiment nerveux. Patrick Swayze passe bien dans un rôle qui aurait pu être ridicule, et il est bien entouré notamment avec Ben Gazzara et Sam Elliott l'un dans la peau du salaud, l'autre dans celle du pote du héros. Il manque un truc à ce film d'action pour qu'il soit aussi jouissif à mater que d'autres productions du genre de la même époque. Cependant on peut s'amuser avec ce film simple qui cherche juste à divertir sans prise de tête, puis le côté kitch est assez clinquant par moment. A voir...avec philosophie.
Une œuvre à voir principalement pour ses bastons funs et sa VF hilarante, typique des films des années 80 !! Patrick Swayze , beau gosse porte le film et le fait bien !!
Voilà un film typiquement de son époque. Patrick Swayze du temps de sa splendeur. Moins impressionnant musculairement parlant que les gros bras de l'époque. Schwarzenegger et Stallone en tête. Mais acteur plus polyvalent et dont le succès auprès des femmes depuis Dirty Dancing n'était plus à prouver. Les hommes n'ont pas à être jaloux. Ils pourront profiter des courbes de Kelly Lynch et Julie Michaels. Deux magnifiques blondes tombées en pâmoison dès le premier regard lancé par le beau et ténébreux Patrick. Alors que j'ai du mal à voir ce qu'une brillante toubib peut trouver à un videur de boîte de nuit fumant comme un pompier. Certes, c'est une légende, paraît-il, dans son domaine. Mais quand même. Un bandage, un verre et direct en couple ? Ah, si, ça y est. J'ai deviné. Dalton est un philosophe bouddhiste. Adepte du kung-fu. C'est peut-être pour ça. Comme on est dans une production Joel Silver, il y a plusieurs explosions de bâtiments (le parrain local a la main mise sur toute la ville, terrorise les commerçants, ce qui énerve profondément Patrick enfin Dalton), du kung-fu puisque Dalton ne se met pas en tête de nettoyer seulement sa boîte de nuit mais la ville toute entière et du romantisme avec nos deux protagonistes au physique digne de Barbie et Ken. Ils sont d'autant plus mis en valeur que tous les autres sont des américains profonds avec chemises à carreaux, bide à bière, casquette sur la tête, bretelles, salopette en jean. Un couple vedette pour faire rêver les spectateurs grâce à leur plastique, de la castagne. Pas très évolué. Mais effet nostalgie garanti.
Ce Road House laisse une impression assez puissante, surtout en ce qui concerne la tranquillité et le charisme de Patrick Swayze. L'histoire est vraiment différente par rapport à celle du nouveau, car le scénario est mieux centré sur les émotions et crée une histoire assez touchante avec Kelly Lynch. Les chorégraphies sont parfaitement adaptées à l'époque, car si le film devait sortir en 2024, cela semble très kitsch. Sam Elliott, qui joue un rôle crucial dans le développement du personnage de Dalton et Ben Gazarra en tant que caïd de la ville, est excellent. La musique de ce film est vraiment géniale.
Que de souvenirs de ma jeunesse avec ce film kitchissime ! Il y a de l’action, on se prend au jeu et on fini par détester le vieux grand méchant de la ville, 2 splendides blondes, de la camaraderie, un monster truck, un peu de romance et forcément le Happy End. Divertissant et so 80’s
Considéré comme un monument du "film pour mec", Road House est une sympathique série B d'action ou Patrick Swayze fait preuve d'aptitudes martiales à faire pâlir Jean-Claude Van Damme et Chuck Norris réunis.
En débarquant dans un bar en tant que nouveau videur, James Dalton ne se doutait pas qu'il allait non seulement devoir se débarrasser de la vermine des lieux, mais aussi de toute la ville... Malgré son métier, Dalton n'est pas le gros bagarreur que l'on croit même s'il ne faut pas le chercher. D'ailleurs, plusieurs lui font la remarque sur son physique. Titulaire d'un doctorat en philosophie, il a une vision plus cérébrale de son métier et n'utilise la force qu'en dernier recours. Son recul et sa manière d'être font de lui quelqu'un d'assez amusant. Je ne sais pas s'il y avait une volonté parodique, mais cette célébration de la masculinité toxique avec des types qui vont toujours plus loin est vraiment fun à voir. On est sur du bon kitsch avec beaucoup de violence, dont une fatality qui fait son petit effet, et quelques scènes de sexe. Pour ma part, je trouve qu'il a bien vieilli et que c'est toujours un sympathique divertissement avec un très bon Patrick Swayze.
Une péloche qui sent bon les années 80, je dirais même qui pue les 80's ! C'est très sympa de voir Patrick Swayze à contre emploi, le corps taillé dans la roche et qui distribue les bourre-pifs par valise. Son personnage est cool et quand on a grandi avec ce film c'est compliqué de mal le noter. Car honnêtement c'est beauf à souhait, pas crédible et mal joué. Oui mais le charme est présent et ça opère toujours et puis le regretté P. Swayze porte le film à lui seul. Sans prise de tête c'est toujours plaisant de revoir Road House premier du nom. Un remake avec Jake Gyllenhaal est pressenti, beh pour une fois je prends, à voir.
A l'orée de la sortie du remake, Road house premier du nom respire les années 80 que ce soit dans sa réalisation, ses dialogues ou chorégraphies. Globalement, malgré tout, le film vieillit plutôt bien, en même temps son scénario est d'une telle simplicité qu'il ne faut y voir rien d'autre qu'un defouloir au service de la plastique de Swayze. Les combats sont tous les mêmes, les enjeux inexistants et la plupart des personnages sont des clichés ambulants, mais cela fonctionne tout de même. Ayant acquis une petite renommée au fil des années, pas au point de devenir culte, le film se laisse toujours voir avec plaisir et sûrement que la nouvelle mouture signée Doug Liman, se chargera de dépoussiérer le tout.
Ce film n'a certainement pas été fait pour les amis de la poésie, des amateurs de bibines se castagnent à tout va pour des motifs futiles dans des bars peu accueillant. Le pitch peut faire peur mais c'est terriblement efficace. Auréolé aux razzies, ce n'est pas pour son scenario très faiblard que ce film est devenu culte assez rapidement. Il possède tout un charme bien typique de cette période la et bénéficie surtout d'un Patrick Scwayze au top de sa forme.