Dans la catégorie “film fun des années 80”, “Road House” se place parmi les meilleurs. A l’instar du film “Cocktail” par exemple, “Road House” exploite ce caractère et cette énergie propre à la folie américaine des années 80, au travers du monde de la nuit. Patrick Swayze, la tête d’affiche de l’époque, campe un videur de boite de nuit aux méthodes radicales et expéditives, conférant au film une atmosphère violente qui détonne tout de même de l’ambiance qu’on imagine à priori festive. Le spectacle ne se fait pas tarder, le film n’est pas avare en baston, nudité et alcool, dépeignant un véritable mode de vie d’une jeunesse dans tous ses éclats et dérives. Sur fond de guerre mafieuse, avec un méchant dans son jus, le film ne repense pas à atteindre des sommets de cinématographie mais compose un spectacle divertissant qui amène de la folie dans l’industrie. Patrick Swayze incarne à nouveau un brillant modèle d’anti-héros, qui crève l’écran par sa fougue et son courage omniprésent. D’ailleurs, les grands moments de brutalité amène à repenser notre vision des limites humaines dans la recherche du pouvoir. “Road House” est ce film kitsch, sans compromis, qui traduit d’une certaine vision, dans l’exagération mais surtout l’exubérance. Nostalgique pour les uns, ringard pour les autres, le long métrage est un reflet de son époque, qui aura d’ailleurs le droit à son remake très prochainement.
Tel un Clint Eastwood dans un western spaghetti, Patrick Swayze use de ses forces pour tenir tête a un tyran dans ce film a la violence âpre ou tous les coups bas sont permis.
Bon on est pas dans un film qui va révolutionner le cinéma, l'histoire c'est du déjà vu certain dialogue sont très stéréotypé toutefois le film se suit sans problème et reste très sympa. Le héros n'est pas un genre de superman intouchable et les combats sont bien réalisés. On passe un bon moment.
En le visionnant aujourd'hui, certes Road House est un peu "kitch" dans son ensemble mais se regarde agréablement. Traitant d'un sujet très abordé habituellement, il nous plonge dans l'univers des portiers. Les acteurs sont bons, l'histoire est intéressante. Un petit thriller d'action, simple et efficace.
Une série B musclée, typique des années 80, pas inoubliable mais qui se laisse regarder. Le scénario, tiré par les cheveux de tous les cotés, est juste prétexte à la castagne et Patrick Swayze, en videur de boîte de nuit, cogneur et philosophe, s'impose sans trembler sur le reste du casting.
« Road House » est un divertissement solide qui joue habilement avec les codes du film d'action des années 80. La réalisation de Rowdy Herrington, sans être révolutionnaire, est efficace, donnant au film un rythme qui ne faiblit pas et garde l'attention jusqu'au bout. Le scénario, bien que suivant une trame classique, est suffisamment travaillé pour offrir des personnages intéressants et une intrigue attrayante. Patrick Swayze y est particulièrement convaincant, apportant à son rôle une présence et une intensité remarquables, bien soutenu par des acteurs comme Ben Gazzara, Kelly Lynch, et Sam Elliott qui livrent tous des performances solides. Le film, tout en offrant son lot de scènes d'action et de combats bien chorégraphiés, ne manque pas de moments de tension et d'émotion, contribuant à un ensemble bien équilibré. Tout l’enjeu du film est « quand Patrick Swayze perdra sa cool attitude ? ». WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un western rock 'n' roll sans trop de prétention, mais qui est assez efficace. Avec une histoire classique, Patrick Swayze y joue un videur de boite, expert en art martiaux et philosophe, qui est le meilleur dans son domaine. Il va être recruté pour aider à redresser un établissement, le "Double DEUCE". Il y arrive sans trop de difficulté. Mais il va se retrouver confronté au caïd local "Brad Wensley ", et c'est là que le film commence réellement. Car le héros comme dans tout western avec être poussé à bout par le caïd qui veut le détruire car il n'arrive pas à le soumettre. Ce n'est pas dans l'originalité ni dans le suspense du scénario qui faut voir l'intérêt de ce film mais dans le jeu d'acteur, car Patrick Swayze est bon et les seconds rôles, surtout Wade Garrett joue par Sam Elliott (éternel second rôle du ciné US), le sont aussi. Ils donnent beaucoup de matières aux personnages et renforcent le contexte des scènes d'action et des rebondissements. La vrai réussite est surtout le personnage de Dalton alias Patrick Swayze, qui est impressionnant digne des plus grands western. Parce qu'on ressens une certaine fureur contenue, prête à exploser à n'importe quel moment et qu'on s'identifie à lui très facilement dans les choix qu'il fait. D'accord les phrases chocs et certains scènes genre série B sont assez ringardes mais c'est compensé par ce jeu d'acteurs bien travaillé et une mise en scène très classique sans trop d'excès. Dernier point, négatif pour le coup, la BO qui hormis certains titres rock 'n' roll ou country plutôt classique et bien calqué à l'action du film, il est facile de reconnaitre le style de ce compositeur, Michael Kamen, car ce sont les mêmes morceaux utilisés dans d'autres films pour lesquels il a bossé comme "piège de cristal" ou "L'Arme fatale", et quand je dis les mêmes, c'est bien les mêmes. Il ne s'est pas foulé.
un des films qui ont forgé la légende de Patrick Swayze... Un bar de redneck, un videur charismatique , des filles aux coiffures 80's, un Sam Elliott trop rare..... Castagne et bonne musique
Un film d'action pas mal dans l'ensemble, mais il faut bien se l'avouer, sans le charisme de Patrick Swayze le film n'a plus grand intérêt. Mais c'est plutôt sympa, une ambiance 80's, une B.O pas mal, avec une première partie intéressante mais la romance vient tout gâcher, avec le cliché; la femme que le héros convoite (complètement insipide) est la femme que le rival convoitait ... A partir de là l'enchaînement du scénario devient sans surprise, dommage.
Un film bien agréable à regarder comme il s'en fait plus aujourd'hui, c'est en voyant ce genre de film qu'on remarque à quel point les années 80 étaient différentes de l'époque dans laquelle on vit.
Road House est un film culte des années 90, avec Patrick Swayze qui est en pleine âge d'or, Dirty Dancing, Ghost, Point Break, Road House marque la filmographie de l'acteur. Pourtant le film est simple, un videur de boîte est recruté pour faire régner l'ordre. Il va découvrir que en plus de la boîte de nuit, la ville est contrôlé par un puissant homme d'affaires. On regarde ce film pour l'ambiance, pour Patrick Swayze, voir Sam Elliot, avec des bonnes punchline et surtout pour la bagarre. Road House est un film bon defouloir comme on n'en fait plus, à voir ce que donne le remake avec Jake Gyllenhaal.
Un classique que je viens de revoir avec toujours le même plaisir.
Tout est exagéré, et une fois de plus tout repose ou presque sur une seule personne. Un héros à l'américaine. Mais quand on tombe sur un tel film en étant jeune, on y croit, et quand on le revoit plus tard on se plait à essayer d'y croire encore.
La présence de Sam Elliott est un plus tant ce gars est charismatique; l'alchimie est impressionnante entre lui et Patrick Swayze.
Je n'ai pas encore regardé la version 2024 et je n'ai jamais regardé le 2 de 2006 et qui a l'air d'une nullité qui confine au génie.
Je recommande et je vous invite ensuite à vous faire la discographie de Jeff Healey (Cody dans le film), elle en vaut largement le coup !
J'ai redécouvert ce film, et ça n'a pas si bien vieilli que ça j'ai l'impression mais c'est toujours un plaisir de voir les scènes de combat avec Patrick Swayze ! Finalement pas nécessaire de le revoir avant de découvrir son remake ;)
Cocktail série B pur jus, culte et revu récemment, "Road House" fait partie des bons dans la filmographie de P.Swayze qui enchaîna les succès fin 80-début 90 avec "Dirty Dancing", "Point Break", "Ghost" et "La cité de la joie".