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Votre avis sur Qu'as-tu fait à la guerre, Papa ? ?
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Les cinq premières minutes démarres comme un film de guerre classique,mais la loufoquerie de Blake Edwards ne tarde pas à surgir. Edwars démonte avec un humour imparable l'absurdité de la guerre dans une comédie parfaitement huilé et maitrisé. Non seulement le film est truffés de vrais moments hilarants mais son discourt antimilitariste est toujours subtile et habile. Les deux heures passent avec une incroyable rapidité, l'aventure de ces soldats est un bonheur à suivre.
Pendant la seconde guerre mondiale, un bataillon américain de bras cassés -parmi lesquel James Coburn est un personnage à peine plus important que les autres- est désigné pour investir un village sicilien. Sur place, les sodats américains et italiens fraternisent et partagent ensemble la fête locale du vin, dont Blake Edwards, parce qu'il est Blake Edwards, fait une beuverie, une bacchanale qui laisse tout le monde ivre mort au petit matin.
Edwards met en place de petits quiproquos et, conformémént à son goût, une grosse pagaille spoiler: à laquelle viendra se méler plus tard un escadron allemand qui subira toute sortes d'avanies
. Le cinéaste a rarement fait dans la dentelle et, sauf à être fan de son style comique, on trouvera ce "film de guerre" globalement indigeste. Le ton est à la farce, à la grosse rigolade, et on peut le regretter quand se profile de bonnes idées que Blake Edwards torpille avec un style burlesque trop lourd. Le film perd en possibilités satiriques et en subtilité ce qu'il gagne en action mouvementée -qui ne dépasse pas les limites du village de Valerno- en grimaces et en personnages épais.
Edwards met en place de petits quiproquos et, conformémént à son goût, une grosse pagaille spoiler: à laquelle viendra se méler plus tard un escadron allemand qui subira toute sortes d'avanies
. Le cinéaste a rarement fait dans la dentelle et, sauf à être fan de son style comique, on trouvera ce "film de guerre" globalement indigeste. Le ton est à la farce, à la grosse rigolade, et on peut le regretter quand se profile de bonnes idées que Blake Edwards torpille avec un style burlesque trop lourd. Le film perd en possibilités satiriques et en subtilité ce qu'il gagne en action mouvementée -qui ne dépasse pas les limites du village de Valerno- en grimaces et en personnages épais.
Je peux aimer Blake Edwards, sincèrement. Mais, il y a une condition pour cela : il faut qu'il laisse (du moins, en partie) sa loufoquerie de côté. C'était passé ric-rac avec "La Party" et ça avait fini par me gonfler avec "La panthère rose" et "La grande course du monde". En revanche, pour ce qui est de ce "Qu'as-tu fait à la guerre, Papa ?", j'adhère vraiment. J'en viens même à me demander si, pour l'une des rares fois de sa vie, Edwards n'a pas eu envie de faire rire les gens. Quand on y réfléchit un peu, son film est nettement plus humain, plus mature que réellement comique même si certains échanges et certaines scènes s'y prêtent. Voilà un film très peu diffusé sur nos télévisions, pour une fois que l'occasion se présente, il ne faut pas se priver. Et puis, de vous à moi, tout ce qui peut rappeler l'existence du merveilleux comédien que fut James Coburn est bon à prendre.
Super film pacifiste, a pleurer de rire... A voir pour qui aime le burlesque.
Drôlissime et la preuve s'il en fallait une que le papa dont il est question ici c'est bien Blake Edwards, le génie et père fondateur d"un genre qui s"épanouira plus tard avec les films d'Abraham et Zucker, els Top Secret et autres Y at-il un pilote dans l'avion ?, les Hot Shots et autres Scary Movie. Et rien que pour ça, il fait se replonger dedans et se taper un énorme tranche de rire.
Excellent film de Blake Edwards dont je n'avais jamais entendu parler.
C'est drôle, sans longueurs malgré les presque 2 heures, avec d'excellents gags visuels.
Et c'est en V.O. au Publicis aussi !
C'est drôle, sans longueurs malgré les presque 2 heures, avec d'excellents gags visuels.
Et c'est en V.O. au Publicis aussi !
Sicile 1943, une troupe américaine doit obtenir la réédition de la petite ville de Valerio. Chose à laquelle consentent avec plaisir les habitants mais à la condition que les américains attendent la fin d'une fête qui est en cours. Il va s'ensuivre un lot de quiproquos qui fera que les américains et les italiens seront obligés de faire semblant de se battre, auquel vont s'ajouter des nazis très méchants et très bêtes qui eux n'ont nullement envie de faire semblant...
Une comédie de guerre complètement délirante et dans lequel les rebondissements de plus en plus saugrenus au fur et à mesure que l'intrigue avance s’imbriquent pourtant avec une étonnante efficacité et un beau sens du timing.
Si l'ensemble n'est pas pleinement abouti (il aurait été bien par exemple de plus creuser les relations entre le rigide, mais il ne va pas le rester longtemps, capitaine américain et la très canon fille du maire !!!), on se marre souvent. Il faut bien dire que ce n'est pas un manche qui est derrière la caméra puisque c'est Blake Edwards, le meilleur réalisateur de comédie de la seconde moitié du XXe Siècle après Billy Wilder, et qui va profiter de son talent pour égratigner au passage, avec légèreté certes mais avec une bonne pointe de satire féroce tout de même, l'Armée américaine.
Au final, on a l'impression que le message du film c'est "Faites l'amour, pas la guerre", bien dans l'ambiance de l'époque du tournage et qui ne perdra jamais de sa pertinence. Et quand en plus, c'est dit de la manière la plus agréable qui soit... Peace...
Une comédie de guerre complètement délirante et dans lequel les rebondissements de plus en plus saugrenus au fur et à mesure que l'intrigue avance s’imbriquent pourtant avec une étonnante efficacité et un beau sens du timing.
Si l'ensemble n'est pas pleinement abouti (il aurait été bien par exemple de plus creuser les relations entre le rigide, mais il ne va pas le rester longtemps, capitaine américain et la très canon fille du maire !!!), on se marre souvent. Il faut bien dire que ce n'est pas un manche qui est derrière la caméra puisque c'est Blake Edwards, le meilleur réalisateur de comédie de la seconde moitié du XXe Siècle après Billy Wilder, et qui va profiter de son talent pour égratigner au passage, avec légèreté certes mais avec une bonne pointe de satire féroce tout de même, l'Armée américaine.
Au final, on a l'impression que le message du film c'est "Faites l'amour, pas la guerre", bien dans l'ambiance de l'époque du tournage et qui ne perdra jamais de sa pertinence. Et quand en plus, c'est dit de la manière la plus agréable qui soit... Peace...
Une farce antimilitariste délirante, savoureuse et pleine de dérision, grâce à un scénario brillant porté par un casting sans fausse note.
S'il y a bien un des rares cinéaste au monde qui arrive à me faire rire de film en film, c'est bien le cinéaste et scénariste Blake Edwards !
Mélange de comédie et film de guerre , "Qu'as tu fait à la guerre, papa?" commence comme une comédie avec un gradé, fraîchement nommé par son supérieur de l'armée U.S, qui a pour mission d'attaquer un village Italien mais celui-ci et ses hommes ont du mal à se faire respecter dans ce patelin festif ou les Italiens aiment faire la fête bien arrosé auquel l'armée Américaine se joignent, le problème, la gueule de bois, viennent après., pour camoufler à l'arrivée des généraux puis contre les Allemands. Hormis l'excellent James Coburn, le casting, pour ma part, est joué par de drôles de comédiens méconnus et ce long métrage, de nos jours, mérite d'être reconnu et faire re-découvrir, c'est drôle, inventif, qu'on se demande comment tout cela va se finir. Belle musique du fidèle au cinéaste d'Henry Mancini. Blake Edwards nous épate une nouvelle fois et c'est du bon.
Mélange de comédie et film de guerre , "Qu'as tu fait à la guerre, papa?" commence comme une comédie avec un gradé, fraîchement nommé par son supérieur de l'armée U.S, qui a pour mission d'attaquer un village Italien mais celui-ci et ses hommes ont du mal à se faire respecter dans ce patelin festif ou les Italiens aiment faire la fête bien arrosé auquel l'armée Américaine se joignent, le problème, la gueule de bois, viennent après., pour camoufler à l'arrivée des généraux puis contre les Allemands. Hormis l'excellent James Coburn, le casting, pour ma part, est joué par de drôles de comédiens méconnus et ce long métrage, de nos jours, mérite d'être reconnu et faire re-découvrir, c'est drôle, inventif, qu'on se demande comment tout cela va se finir. Belle musique du fidèle au cinéaste d'Henry Mancini. Blake Edwards nous épate une nouvelle fois et c'est du bon.
Chef d'oeuvre de la farce et du burlesque. Rien que ça, et c'est pas peu dire ... Rares sont les films ou une douce folie impregne à ce point la pellicule. L'immense Blake Edwards en a fait sa carte de visite : soirée parisienne chez Holly Golightly dans Breakfast at Tiffany's, soirée déjantée au final de The Party, attaques de tartes à la crème dans The Great Race ... mais rien n'est plus jouissif que la fiesta entre siciliens et soldats américains dans le petit village de Valerno, en plein débarquement allié. On retrouve une fois de plus tous les thèmes chers à Edwards : changement d'identité, éthylisme, parodie ... Dick Shawn (l'auteur fanatique hitlérien des Producteurs), James Coburn, Giovanna Ralli et Sergio Fantoni sont magnifiques. Enfin sorti en dvd chez les introuvables Fnac.
Etonnant !
Ce film est éblouissant par son scénario, bien moins prévisible que celui de "La Party", le rythme est constant, les acteurs excellents, les situations à mourir de rire, et le tout ouvre une réflexion sur l'absurdité, au sens propre, de la guerre.
Etonnant disais-je, car méconnu, peu diffusé en TV et surtout pas disponible en DVD. Alors à quand la fin de ce paradoxe ?
Ce film est éblouissant par son scénario, bien moins prévisible que celui de "La Party", le rythme est constant, les acteurs excellents, les situations à mourir de rire, et le tout ouvre une réflexion sur l'absurdité, au sens propre, de la guerre.
Etonnant disais-je, car méconnu, peu diffusé en TV et surtout pas disponible en DVD. Alors à quand la fin de ce paradoxe ?
ce film est un pur chef d'oeuvre méconnu d'edwards.
le scénario est désopilant et les acteurs ahurissants de naturel dans des situations parfaitement loufoques.
l'un des plus beaux films anti-militaristes en circulation.
un grand moment de rires.
le scénario est désopilant et les acteurs ahurissants de naturel dans des situations parfaitement loufoques.
l'un des plus beaux films anti-militaristes en circulation.
un grand moment de rires.
Le début du film est inspiré par le début de Paisà de Rossellini ce qui situe déjà le niveau cinématographique.
Attention, l'inspiration ne dure que quelques minutes à peine, ça part très vite en gros délire enôrme, façon Blake Edwards. Entre Italiens, Américains et Allemands bien malin le général qui y retrouvera ses petits. Une bonne comédie sur le thème de la guerre, tournant en dérision... l'armée !
Un thème que le réalisateur explorera de nouveau et différement avec Opération jupons.
Attention, l'inspiration ne dure que quelques minutes à peine, ça part très vite en gros délire enôrme, façon Blake Edwards. Entre Italiens, Américains et Allemands bien malin le général qui y retrouvera ses petits. Une bonne comédie sur le thème de la guerre, tournant en dérision... l'armée !
Un thème que le réalisateur explorera de nouveau et différement avec Opération jupons.
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