Nul de chez nul et mièvre comme un cake! Travolta est perdu, dans ce "stand alone" nauséusement inspiré du Cultissime "La fièvre du samedi soir", sans aucune profondeur ni réflexion philosophique, qui seyait tant à la noirceur badine du soit disant "premier film"; Stallone y dégueule son désamour du disco pour balancer des corps body buildés aux amateurs de salle de fitness du dimanche, sur des musiques synthétiques en plastiques, des années 80 américaines, qui ne savaient aucunement que la "New wave" venait de balayer "artistiquement" le disco, en europe. D'amourettes niaises en coup de théâtres à deux balles, j'ai baillé d'un profond ennui et d'une "haine indicible", envers Stallone, qui a fait de Travolta un "pantin" à sa solde d'inspirations calomnieuses, véritable atteinte au 7ème art et à la dance "Artistique" des samedis soirs fiévreux. Simple avatar de "Rocky", Travolta ne fait aucunement ressortir la personnalité de Tony Manero, comme il y arrivait si justement et si pertinemment, dans l'illustre film de 1977! A oublier et donc à fuir, au plus vite!! et que ceux qui ne l'auraient pas vu, nr se jettent pas dessus, car il s'agit, ni plus, ni moins, que d'une bouse parfumée à l'eau de romans photos torches fesses (musclées)!!